Lettre de
Gustave Courbet datée du 16 ou 17 mars 1873.
"Chère
putain de mon cœur, de mes rêves, de mes désirs ! Ma tête, mes nuits, mes jours
sont pleins de ton image, de tes charmes si exubérants, si puissants par leurs
formes, leur poids, leurs couleurs, leurs sensualités.
Fouteuse
sans pareille, déchargeuse énivrante si délicate au toucher, si accessible à la
jouissance. Je sens que ton foutre s'augmente de jour en jour, qu'il acquiert
de la blancheur et qu'il s'épaissit. Qu'il me tarde de l'entendre clapoter dans
sa belle gogotte aux poils dorés ; quel bruit charmant, quelle musique d'amour
!! Toi qui décharges si bien maintenant, comme tu vas recommencer facilement,
quel bain charmant et doux ma pine va prendre dans ce grand con adoré, dans ces
languettes fines et bandantes, dans ces grandes lèvres rebondies. Pourvu que
nous puissions y faire entrer mes couilles aussi, que je te remplisse le
ventre, que tu me sentes selon tes désirs et ta volupté.
Ah !
Cette belle grande gogotte, comme nous allons en avoir soin, comme nous la
tiendrons fraîche et rose, toujours ferme, avec des petits bains astringents
pour la maintenir dans sa belle forme. Dis-moi encore si ses poils croissent
jusqu'au bord de ses lèvres, ou si elles sont dégagées de ta motte, dis-moi si
ta motte a beaucoup d'ampleur, si ses poils te montent bien haut sur le ventre.
Qu'il me
tarde de la voir, de l'étudier, de la sucer, de lui mordre son bouton rose et
bandant, de jouer avec ses petites langues dans ma bouche, de les agiter, de
sentir ton foutre couler dans ma barbe; de te voir séparer tes belles fesses
avec tes petites mains et ouvrir ton beau petit trou du cul jusqu'à ce qu'il
soit rose et rond comme un con d'enfant.
Qu'il me
tarde de te voir me suçant la pine en la parcourant de tout son long parfois,
et d'autres fois lui suçant seulement son gland, le faisant entrer et ressortir
puis enfin l'enfoncer profondément avec ardeur aussi profond que possible afin
de recevoir son foutre."
















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