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dimanche 6 avril 2025

Tout le Monde a des Secrets

 











Tout le monde a des secrets.


Pas seulement des petites cachotteries anodines ou des fautes de jeunesse. Non. Des vrais secrets. De ceux qu’on cache dans les coins les plus sombres de l’âme. Des images floues, des scénarios qu’on rejoue en boucle dans le silence des nuits blanches. Des envies qu’on n’avoue jamais. Pas même à soi-même.

 

Certains les appellent fantasmes. D’autres y voient de la perversion. Mais entre les deux, il y a un abîme d’humanité. Parce que tout le monde a déjà eu ce frisson de honte mêlée d’excitation. Ce moment où l’on se surprend à désirer quelque chose d’inavouable. Un ordre. Une claque. Une soumission. Une morsure. Une brûlure lente.

 

Le BDSM ne s’invente pas. Il émerge. Parfois brutalement, parfois lentement, comme une réponse trouble à une question qu’on ne savait pas qu’on portait en nous. Pourquoi ce besoin de contrôle ? Pourquoi cette envie de tout abandonner ? Pourquoi ce plaisir dans la douleur, dans l’attente, dans l’humiliation ou dans la retenue ?

 

Peut-être parce que derrière chaque être bien élevé, il y a un masque. Et derrière ce masque, une pulsion. Un désir de perdre pied, de se heurter à ses limites, d’être vu dans sa nudité psychique la plus crue. Le BDSM, c’est cette langue que peu comprennent, mais que beaucoup parlent en silence. Celle des regards lourds de sens, des cicatrices invisibles, des gestes codés.

 



Tout le monde a des secrets.

Des regrets.

Ou une question restée sans réponse :

Et si j’allais jusqu’au bout ?


dimanche 30 mars 2025

La Liberté ? Une Maîtresse impitoyable.

 






La Liberté ? Une Maîtresse impitoyable.

C’est le droit brûlant de céder à ses pulsions,

De s’offrir nu à ses vices,

Enchaîné volontairement aux cordes de ses désirs les plus noirs.

Vivre libre, c’est porter ses cicatrices comme des médailles,

Lécher la douleur comme une amante,

Et courber l’échine, non pas par contrainte,

Mais par une jouissance coupable et totale.

C’est comprendre que chaque marque, chaque morsure,

Chaque cri étouffé est une prière au culte de soi-même.

La liberté, c’est une Dominatrice exigeante :

Elle te fera supplier, pleurer, saigner,

Mais elle te libèrera de ces chaînes

 Invisibles que le monde appelle vertu.


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 29 mars 2025

Avouez-le, mesdames… Il arrive que la fierté vacille

 




"Avouez-le, Mesdames… Il arrive que la fierté vacille, que la dignité se fissure, emportées par une force irrésistible. Ce pouvoir sombre et envoûtant, c'est le désir brut, la luxure débridée. Quand le corps réclame sa jouissance, quand l'esprit se noie dans l'abandon


"Il n'y a plus de barrières quand l'âme s'égare dans les méandres du vice, quand le corps réclame la jouissance crue, viscérale. Plus rien ne compte, sinon l'abandon à l'exquise dualité du Sadisme et du Masochisme, cette danse où l'on donne ou reçoit les sévices avec une délectation sauvage. Soumission ou Domination, tout converge vers ce moment brûlant où plaisir et douleur se mêlent en une extase sans retour. 


Car, qu'elle soit mère de famille, chef d'entreprise ou chômeuse, qu'elle soit jeune quadra ou seniors, une très jolie Femme, ou simplement Mme Tout le Monde, lorsqu'une Femme sent en elle les démons insatiables de l'envie, rien ni personne ne saurait la retenir."


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 23 mars 2025

Osez entrer dans mon Univers

 





Les portes multiples du BDSM


Osez entrer dans mon Univers 

 

 



 

Le BDSM n’est pas une seule porte, mais une multitude d’ouvertures vers des pratiques, des rôles et des dynamiques différentes. Chaque porte franchie en appelle une autre, offrant une exploration progressive et adaptée à chaque individu. La première porte peut être celle de la curiosité : un livre, un film, une discussion. Puis viennent celles de la pratique : la soumission, la domination, les jeux de rôle, les limites physiques et psychologiques.

 

 

Chaque seuil franchi est une nouvelle étape dans un parcours intime et unique. Mais toutes ces portes ont en commun le respect, la communication et la volonté partagée de vivre une expérience transformatrice.

 

 

De nombreuses citations évoquent le thème de la porte et du passage :

 

 

« Une porte doit être soit ouverte, soit fermée. » – Alfred de Musset.


 Dans le BDSM, cela signifie qu’il n’y a pas de demi-mesure : soit l’on s’engage pleinement, soit l’on choisit d’observer de loin.

 




« La clé de toutes les portes est le courage. » – Paolo Coelho. 

Oser entrer est un acte de bravoure.

 

 

« La curiosité ouvre toutes les portes fermées par la peur. » – Inconnu. La curiosité est souvent le moteur principal de cette exploration.

 

 

À ceux qui hésitent à entrer…

 

Et pour vous, chers hésitants, qui restez plantés devant le seuil en vous demandant si cette porte ne cache pas une arnaque cosmique, laissez-moi vous rassurer. Oui, pour visiter ce blog interdit aux moins de 18 ans, il faudra "l'immense sacrifice" de créer un compte Gmail. Un effort herculéen de… deux minutes ! Et pourtant, que de craintes pour si peu. Alors, est-ce vraiment la peur de l’arnaque qui vous retient ou celle de découvrir un monde où vos curiosités pourraient bien s’épanouir ? Allez, un peu de courage ! On ne vous demande pas de signer un pacte avec le diable, juste de cliquer sur "Créer un compte". Qui sait, peut-être que derrière cette porte se trouve un univers qui changera votre perception – ou à tout le moins, une excellente lecture !

 


 

Franchir la porte du BDSM n’est pas une fin en soi, mais le début d’un voyage. Chaque personne avance à son rythme, découvrant ses limites et ses aspirations au fil du chemin. La porte n'est pas un mur infranchissable, mais une invitation à l'exploration et à l'accomplissement de soi. Oser la franchir, c'est déjà commencer à se révéler.

 



 

© copyright Marc Vongotha 63

Je suis l’Ombre parmi les Ombres, Madame Tout-le-Monde,

 






Je suis l’ombre parmi les ombres, Madame Tout-le-Monde, 

Oui celle que vous croisez sans jamais vraiment voir.


Ni belle ni laide, juste un visage anodin, une silhouette banale que le monde ignore. Une femme ordinaire, pourrait-on croire. Pourtant, sous cette carapace d’apparences se cache une créature dévorée par des pulsions secrètes et des désirs que nul n’oserait deviner.

 

Je suis celle que vous apercevez au détour d’un rayon de supermarché, ou promenant ses chiens sur un sentier solitaire. Une vie qui semble simple, banale. Mais une fois les volets clos et les ténèbres tombées, c’est une autre femme qui renaît. Une femme libre, indomptée, révoltée par la fadeur du quotidien. Une femme qui embrasse ses interdits avec une ferveur dévorante, ses désirs lubriques, ses fantasmes noirs.

 

Je suis une invisible aux envies effrayantes. Une âme licencieuse qui explore l’alphabet des perversions, de A à un Z que vous n’oseriez imaginer.


Je parle à d’autres ombres comme moi, des hommes et des femmes aux plaisirs insoupçonnés, eux aussi prisonniers de leurs nuits solitaires. Et dans ces échanges, je m’ouvre à ma propre folie, me gode, me tourmente, me perds dans des jouissances que la plupart fuirait avec effroi.

 

Ma réputation ? Détestable, bien sûr. On se méfie des solitaires, de ceux qui ne se mêlent pas aux autres, de ceux qui préfèrent le murmure de leurs propres pensées à la cacophonie sociale. Mais ma solitude n’est pas une prison : elle est mon choix, mon abri. Car comment pourrais-je vivre autrement dans un monde où mes plaisirs suscitent la honte et le dégoût ?

 

Je suis une âme tourmentée, oui. Une créature qui se fouette de ses propres mains, qui s’abandonne aux douleurs délicieuses d’accessoires que j’ai soigneusement choisis pour amplifier mes extases. Une femme qui s’écorche et jouit en silence, par honte peut-être, mais aussi par délectation. Ma rareté est ma malédiction : trop peu sont ceux qui pourraient me comprendre, encore moins m’égaler.

 

Un jour peut-être, qui sait… un démon pervers croisera mon chemin.

Un être aussi sombre, aussi dévoré que moi. Il saura me faire mal, mais je le blesserai aussi. Car si je suis masochiste, je suis également sadique, et j’assume cette dualité. Il faudra qu’il me brise pour me conquérir, et que je l’écrase pour l’aimer.

 

Je suis invisible, mais dans les ténèbres, je deviens une reine. Une femme qui vit ses vérités, qui embrasse ses vices, qui se nourrit de ses douleurs et de ses jouissances pour exister pleinement.

 

Alors regardez-moi bien, la prochaine fois que vous croisez une silhouette banale dans la rue. Peut-être que derrière ce visage sans histoire se cache une âme comme la mienne.


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 15 mars 2025

Elle le savait, il la fixait à travers son masque,

 







Elle le savait, il la fixait à travers son masque, son regard chargé d’une tension presque insoutenable.


Ce soir-là, elle avait franchi le seuil de la pièce, sa silhouette découpée dans la lumière tamisée. Chaque pas semblait un défi, chaque mouvement une provocation muette. Le masque qu’elle portait ajoutait une aura envoûtante, un mélange de mystère et d’autorité. La pièce était baignée de silence, mais l’air, lui, était saturé de désir.

 

Lui, il ne se contentait pas de la regarder. Il la sondait, l’explorait du regard comme un prédateur savourant chaque seconde avant de frapper. Il cherchait à briser la carapace, à déchirer les couches de ce qu’elle laissait voir. Elle était un paradoxe, une tempête en équilibre : douce et sauvage, vulnérable et invincible. Un mystère qui l’appelait et le défiait à la fois.

 

Elle sentait son désir, brûlant, presque tangible, mais elle savait qu’il n’avait encore rien effleuré de son essence véritable. Le masque qu’elle portait n’était qu’un leurre, une barrière délicieuse et cruelle. Il invitait à deviner sans toucher, à rêver sans posséder. Mais derrière cette façade maîtrisée se cachait un abîme. Des strates de souvenirs douloureux, des peurs caressées du bout des doigts, une passion sauvage qui n’attendait qu’une étincelle pour éclater.

 

Ce soir-là, il resta immobile, la dévorant des yeux, se gorgeant de cette tension fragile mais violente qui s’enroulait autour d’eux comme une corde invisible. Puis, dans un geste calculé, elle ôta son masque. Pas pour lui. Pour elle. Ce geste, simple en apparence, était une offrande et une provocation. Elle s’exposait, nue dans sa force, consciente du pouvoir brut qu’elle détenait en cet instant. Elle se sentait vulnérable, oui, mais aussi invincible, chaque souffle chargé d’une sensualité qu’elle ne se connaissait pas.

 

Quand ses lèvres effleurèrent les siennes, c’était comme un éclair, un choc électrique qui grondait entre eux. Le masque n’était plus là, mais une autre barrière subsistait encore, plus profonde, plus cruelle. Celle qui séparait leur réalité de leurs pulsions les plus sombres. Dans cet instant suspendu, ils se tenaient en équilibre sur un fil, entre la découverte et le danger, où chaque geste devenait une promesse d’asservissement ou de libération.

 

Sous son masque, elle était une énigme. Sans rien, elle redevenait cette femme qu’il ne devait pas désirer, mais dont il ne pourrait jamais se détourner.


© copyright Marc Vongotha 63


mardi 11 mars 2025

On Murmure Que ...

 




On murmure que 

Si le premier pas

Ne vous conduit pas immédiatement aux sommets des délices,

Il vous arrache au moins à la banalité du quotidien...

 

Alors, osez céder à vos pulsions.

Franchissez la porte des plaisirs défendus,

Là où désir et soumission s’entrelacent,

Où chaque frisson, chaque ordre, chaque caresse brûlante

Vous rapproche d’une extase inavouable.

 

Tentez… Laissez-vous capturer par la promesse de l’interdit.




© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 9 mars 2025

Plonger dans les abîmes de ses désirs inavouables."

 





"Elle n'était pas ignorante, ni hésitante. Elle savait exactement ce qu'elle voulait : des choses indicibles, interdites, rejetées par la morale commune. Elle rêvait de sévices et de supplices, de cet impossible entrechoquement de douleur et de plaisir. Elle cherchait le bourreau impitoyable, l'incarnation sadique de ses fantasmes les plus sombres, pour plonger dans les abîmes de ses désirs inavouables."


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 8 mars 2025

Choisissez avec soin les chaînes auxquelles vous vous Abandonnez

 





"Choisissez avec soin les chaînes auxquelles vous vous abandonnez...

Certaines séductions méritent qu'on leur cède, 

Mais il faut une audace rare pour franchir cette limite.

La vraie vie ne connaît ni recul ni retour.

 Elle se savoure dans l'instant, comme le frisson

 Des secondes qui glissent sur la froideur

 De l'acier et le souffle du désir."


© copyright Marc Vongotha 63



vendredi 7 mars 2025

Je suis l'Ombre et la Lumière.

 



"Je suis l'ombre et la lumière.

Je suis le sadique qui jouit, et le condamné qui endure.

Je suis le voyeur qui s'abreuve du spectacle, 

Et la victime qui se soumet au bourreau.

Je suis le juge qui décide, et l'exécuteur qui frappe.

Je suis la cible qui saigne, et l'arme qui blesse.

Pour m'échapper, une seule issue : fuir l'autre.

Mais si l'autre n'était que le reflet de mes propres ténèbres..."


jeudi 6 mars 2025

Franchir la porte : l'inconnue au seuil du BDSM

 





Franchir la porte : l'inconnue au seuil du BDSM

 

La porte, symbole universel de passage, se dresse souvent comme une frontière entre le connu et l’inconnu, entre le confort et l’aventure, entre l’ordinaire et l’extraordinaire. Dans l’univers du BDSM, cette métaphore prend une résonance particulière, car franchir cette porte, c’est accepter d'explorer des territoires inexplorés de soi et de l'autre.

 

La porte : un symbole de transformation

 

« Lorsque la porte de l'inconnu s'ouvre, elle vous confronte non pas à ce qui est au-dehors, mais à ce qui est en vous. » Cette citation résume à merveille l'importance de ce moment où le seuil est franchi. Entrer dans le monde du BDSM, c'est accepter d'affronter ses peurs, ses doutes, mais aussi ses désirs les plus profonds. La porte devient alors un passage initiatique, une ouverture vers une forme d’éveil personnel.

 

Beaucoup hésitent devant cette porte, non par manque de curiosité, mais par crainte de l'inconnu ou de leurs propres fantasmes. Pourtant, chaque pas vers cette ouverture est une affirmation de soi, un acte de courage face aux jugements et aux conventions sociales.

 

L’acte de franchir : un choix conscient

 

Franchir la porte du BDSM est un choix qui doit être mûrement réfléchi. Cela implique d’accepter des règles, des codes, et surtout de communiquer de manière claire avec son ou sa partenaire. Cette porte symbolise aussi le consentement, une des pierres angulaires du BDSM. Avant de l'ouvrir, chaque individu doit se poser les bonnes questions : suis-je prêt(e) à explorer cet univers ? Quelles sont mes limites ? Ai-je trouvé une personne de confiance pour m’accompagner dans cette exploration ?

 

Comme le disait Carl Gustav Jung, « Celui qui regarde l’extérieur rêve, celui qui regarde à l’intérieur s’éveille. » Franchir la porte n’est pas seulement un acte physique, mais aussi une plongée dans les profondeurs de soi-même.

 

Les portes multiples du BDSM

 

Le BDSM n’est pas une seule porte, mais une multitude d’ouvertures vers des pratiques, des rôles et des dynamiques différentes. Chaque porte franchie en appelle une autre, offrant une exploration progressive et adaptée à chaque individu. La première porte peut être celle de la curiosité : un livre, un film, une discussion. Puis viennent celles de la pratique : la soumission, la domination, les jeux de rôle, les limites physiques et psychologiques.

 

Chaque seuil franchi est une nouvelle étape dans un parcours intime et unique. Mais toutes ces portes ont en commun le respect, la communication et la volonté partagée de vivre une expérience transformatrice.

 

Citations pour inspirer le passage

 

De nombreuses citations évoquent le thème de la porte et du passage :

 

« Une porte doit être soit ouverte, soit fermée. » – Alfred de Musset. Dans le BDSM, cela signifie qu’il n’y a pas de demi-mesure : soit l’on s’engage pleinement, soit l’on choisit d’observer de loin.

 

« La clé de toutes les portes est le courage. » – Paolo Coelho. Oser entrer est un acte de bravoure.

 

« La curiosité ouvre toutes les portes fermées par la peur. » – Inconnu. La curiosité est souvent le moteur principal de cette exploration.

 

À ceux qui hésitent à entrer…

 

Et pour vous, chers hésitants, qui restez plantés devant le seuil en vous demandant si cette porte ne cache pas une arnaque cosmique, laissez-moi vous rassurer. Oui, pour visiter ce blog interdit aux moins de 18 ans, il faudra "l'immense sacrifice" de créer un compte Gmail. Un effort herculéen de… deux minutes ! Et pourtant, que de craintes pour si peu. Alors, est-ce vraiment la peur de l’arnaque qui vous retient ou celle de découvrir un monde où vos curiosités pourraient bien s’épanouir ? Allez, un peu de courage ! On ne vous demande pas de signer un pacte avec le diable, juste de cliquer sur "Créer un compte". Qui sait, peut-être que derrière cette porte se trouve un univers qui changera votre perception – ou à tout le moins, une excellente lecture !

 

Conclusion : un voyage personnel

 

Franchir la porte du BDSM n’est pas une fin en soi, mais le début d’un voyage. Chaque personne avance à son rythme, découvrant ses limites et ses aspirations au fil du chemin. La porte n'est pas un mur infranchissable, mais une invitation à l'exploration et à l'accomplissement de soi. Oser la franchir, c'est déjà commencer à se révéler.


© copyright Marc Vongotha 63



mercredi 5 mars 2025

Une belle Femme masochiste devient irrésistible

 






" Une belle Femme masochiste devient irrésistible quand elle s'abandonne au plaisir de la douleur, sans attendre ni amour ni compassion. Ne succombez jamais à l'illusion de l'amour dans la danse cruelle du BDSM, car le pouvoir s'y dilue, et ca peux faire aussi très mal, l'amour est destructeur plus que la douleur des pratiques  "


© copyright Marc Vongotha 63


lundi 3 mars 2025

Le jeu d'échecs et le BDSM : Stratégie, Contrôle et Sensualité

 







Le jeu d'échecs et le BDSM : Stratégie, Contrôle et Sensualité

 

Le jeu d’échecs, tout comme les pratiques BDSM, repose sur une subtile combinaison de stratégie, de maîtrise et d’anticipation. Ces deux univers, bien que très différents en apparence, partagent un cœur commun : celui de l’art du contrôle et de la conquête, où chaque décision a des conséquences précises.

 




La stratégie et le contrôle

 

Aux échecs, chaque pièce a un rôle défini. Les mouvements sont planifiés, les tactiques s’enchaînent, et la victoire repose sur la capacité à prévoir les actions de l’adversaire. Dans le BDSM, une dynamique similaire se joue. Le dominant, tel un stratège, planifie et orchestre chaque étape de la séance, anticipant les réactions du soumis pour créer une expérience immersive et puissante. De son côté, le soumis, bien qu’à première vue en position de faiblesse, a aussi son rôle : il accepte les règles et s’abandonne à la maîtrise de l’autre, un équilibre délicat où la confiance est essentielle.

 

La sensualité de la tension

 

Un autre parallèle fascinant entre les échecs et le BDSM réside dans la tension émotionnelle et mentale qui accompagne chaque mouvement. Une partie d’échecs, tout comme une session BDSM, peut être une danse subtile entre le désir de domination et l’acceptation de la soumission. La tension croissante, nourrie par l’attente et l’incertitude, devient presque palpable.

 




C’est ici que la célèbre scène de la partie d’échecs dans le film L’Affaire Thomas Crown (1968) résonne de manière si évocatrice. Dans cette séquence mythique, le jeu devient un prétexte à une joute érotique. Les regards, les gestes, et la proximité des protagonistes établissent une tension presque insoutenable. Le roi et la reine sur l’échiquier deviennent des symboles d’une lutte intime et charnelle, un échange de pouvoir où personne ne veut totalement céder mais où les deux se trouvent inexorablement attirés l’un vers l’autre.

 





La mise en scène des rôles

 

Enfin, tout comme aux échecs, le BDSM implique une mise en scène. Les joueurs endossent des rôles précis : dominant et soumis dans le BDSM, blanc et noir sur l’échiquier. Chaque action, chaque décision, chaque mot a une portée et une signification. À travers ces interactions, les deux partenaires s’engagent dans un dialogue silencieux, établissant un équilibre unique entre maîtrise et abandon.

 

Le parallèle entre le jeu d’échecs et le BDSM nous rappelle que les relations humaines, qu’elles soient ludiques ou intenses, sont construites sur des dynamiques complexes. Ce n’est pas uniquement une question de victoire ou de défaite, mais d’échange et de création d’un moment partagé, où la tension et le désir deviennent les véritables moteurs de l’expérience.


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© copyright Marc Vongotha 63