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samedi 21 juin 2025

Le corps d'une femme est un temple, un lieu sacré où désir et dévotion s’entrelacent, jamais une caverne dénuée de lumière."

 





"Le corps d'une femme est un temple, un lieu sacré où désir et dévotion s’entrelacent, jamais une caverne dénuée de lumière."

 

Chaque femme est une énigme vivante, un souffle d’éternité dans la chair, un océan de pensées où se mêlent tempêtes et accalmies. Qu'elle soit sculpturale comme une déesse grecque ou simple et lumineuse comme une boulangère de quartier, sa beauté réside autant dans ses courbes que dans les méandres de son esprit.

 

Les femmes aux formes pleines, avec leurs seins lourds et leurs hanches généreuses, appellent à une étreinte puissante, des mains qui savent modeler le plaisir, entre force et tendresse. Les silhouettes sveltes, délicates comme une plume, sont des promesses de frissons subtils, des caresses murmurées sur une peau qui frissonne.

 

Mais c’est dans leur esprit, ce royaume invisible, que réside le plus grand des défis. Une femme pensée est une femme reine. Elle séduit par ses silences, envoûte par ses mots, et désarme par l’éclat d’un regard. Elle est ce labyrinthe mental où l’on se perd volontairement, une toile qu’elle tisse avec une intelligence affûtée et une malice délicieuse.

 

Dans les jeux de l’ombre et de la lumière que le BDSM sublime, c’est elle qui dicte les règles, même en se soumettant. Chaque lien qui entrave, chaque corde qui épouse sa chair, chaque marque qui fleurit sur sa peau sont des offrandes à son consentement, des preuves de respect. Car dans ce monde de supplices et de délices, le respect n’est pas une option ; il est une obligation sacrée.

 

Caresser ses limites, explorer ses désirs les plus enfouis, c’est honorer sa confiance et sa force. Qu’elle crie ou qu’elle murmure, qu’elle se tende sous la morsure d’un fouet ou s’abandonne à la douceur d’un baiser, c’est sa lumière intérieure qui guide chaque geste.

 

Toutes les femmes sont belles, mais rares sont celles dont l’esprit épouse la chair dans une harmonie parfaite. Ces rares-là sont des muses, des maîtresses du plaisir et de la douleur, des énigmes à la fois fragiles et indomptables. À leurs pieds, respect et admiration se prosternent, car leur beauté ne se limite pas à leur apparence : elle réside dans leur courage d’être elles-mêmes, dans leur force à s’offrir sans jamais se perdre.

 



 © copyright Marc Vongotha 63


samedi 14 juin 2025

Petites gouttes brûlantes de cire

 




Petites gouttes brûlantes de cire

 

Elles glissent avec une lenteur délicieuse,

 S’écrasent contre ta peau

 Offerte, dessinant des sillons éphémères

 Sur tes magnifiques courbes.

 

Sur tes globes parfaits, elles embrassent

 Tes tétons durcis, chaque contact

 Arrachant de toi un soupir mélodieux. 

Tes petits gémissements emplissent

 L'air, ajoutant une note envoûtante

 A notre symphonie interdite.

 

Ton regard… Si doux, si rempli de désir,

 Une lueur d’impudeur qui me subjugue. 

Tu es à moi, vulnérable et audacieuse,

 Tes cuisses écartées Sans retenue, 

Offrant l’entrée de ta grotte humide et avide.

 

Les liens, ces complices de notre jeu,

 Capturent tes poignets et chevilles

 Dans leur étreinte de cuir, 

Te rendant encore plus belle 

Dans cette soumission. 

Tes mouvements sont inutiles, 

Tes résistances délicieuses, 

Tandis que la cire continue son œuvre.

 

Chaque goutte qui tombe est une offrande

 A ton plaisir et à ta douleur, 

Un mélange exquis que nous partageons.

 Je ressens tout en toi,

 Jusque dans mon âme, 

Un écho de ton abandon, 

De tes frissons, de ta fièvre.

 

Et alors que j’ajoute

 Encore une goutte… 

Je contemple la magie 

De nos jeux pervers, où

 Chaque instant te transforme

 En un chef-d’œuvre vivant, 

Vibrant, et éperdument à moi.


 © copyright Marc Vongotha 63

 

vendredi 16 mai 2025

Ose être qui tu es

 





Ose être qui tu es, masochiste, sadique ou switch.

Ose explorer les profondeurs de ton âme et de tes désirs,

Et laisse les jugements glisser sur toi.

 

Ose être différent.

Tu n’es pas fait pour te conformer à une norme stérile.

L’audace de ton chemin est ton étendard,

Et chaque pas dans l’inconnu te rend plus vivant.

 

Ose nager à contre-courant,

Choisir une voie où plaisir et douleur se mêlent,

Où contrôle et abandon s’entrelacent.

C’est là que réside ta vérité.

 

Ose désobéir aux diktats de la société,

Qui voudraient t’enfermer dans des cases étriquées.

Ne te trahis pas pour plaire.

 

Ose rire face à l’incompréhension,

Car ton plaisir n’a besoin de l’approbation de personne.

Assez de chaînes invisibles;

Choisis celles qui t’enlacent par consentement et passion.

 

Ose sortir de tes prisons intérieures,

De tes peurs d’être jugé ou rejeté.

Affirme-toi; sois fier de tes désirs,

Car ils font partie de toi.

 

Ose aimer à ta manière, intensément, différemment.

Chaque lien que tu crées est un monde à lui seul.

Avec le temps et la confiance,

Tu apprendras que ton amour est aussi unique que puissant.

 

Ose te faire confiance.

Explore les profondeurs de tes envies avec respect et lucidité,

Et découvre la foi en ce que tu es:

Un être libre et audacieux.

 

Ose sortir de tes peurs.

C’est là que naît la vraie liberté,

Là que tu goûtes au bonheur d’être pleinement toi-même.

 

Ose dire ta vérité.

Qu’importe les regards:

Tu sais qui tu es, et c’est ta plus grande force.

 

Ose incarner tout ce qui fait de toi un être singulier,

Un masochiste assumé, un sadique explorateur,

Ou un switch aux mille nuances.

C’est ta plus belle façon de vivre et de vibrer.


 © copyright Marc Vongotha 63


dimanche 11 mai 2025

À force de vivre, t’apprends à trier le bruit

 




À force de vivre, t’apprends à trier le bruit

Une fois que t’as bouffé assez de poussière,

Que t’as laissé passer les mirages,

Les belles gueules pleines de vide,

Les grandes bouches qui éructent pour exister…

Tu regardes tout ça avec la lassitude d’un vieux chien fatigué.

 

Tu sais ce que ça vaut.

Pas grand-chose.

 

Le monde adore les parades.

Les éclats de voix.

Les postures de paon.

Mais toi, t’as plus l’énergie pour ces conneries.

 

Tu veux du vrai.

Le discret qui parle juste.

Le regard sincère, même s’il tremble.

Le silence qui pèse plus lourd que cent discours de foire.

 

T’as plus le temps pour les clowns qui veulent briller.

T’as besoin de profondeur,

De lenteur,

De choses simples qui ne mentent pas.

 

Et le reste ?

Qu’il continue de faire du bruit.

Toi, t’as déjà compris.


vendredi 9 mai 2025

Tôt ou Tard, une Pulsion, une Déviance Irrésistible Surgira

 





Mesdames,


Tôt ou tard, une pulsion, une déviance irrésistible surgira, plus puissante que toutes vos raisons. Si vous portez en vous les gènes du BDSM, ils s’éveilleront inévitablement, se révélant dans toute leur splendeur. Vous céderez alors, corps et âme, dévoilant cette impudique salope qui sommeille au creux de vos fantasmes les plus obscènes. Vos désirs refoulés jailliront, brûlants et insatiables, vous entraînant dans une voluptueuse perte de contrôle, là où plaisir et soumission se mêlent en une étreinte ardente.  


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 26 avril 2025

Je suis l’Ombre que tu refuses de regarder.

 




Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.





Je suis l’Ombre que tu refuses de regarder.

Je suis ton désir inavouable.

 

Je ne viens pas pour te détruire,

Mais pour te réveiller.

Je suis la face cachée de ta lumière,

L’écho de tes peurs les plus anciennes,

Le reflet de ce que tu fuis dans le silence de tes nuits.

 

Tu m’appelles « obscurité »,

Tu me nommes « bourreau », « sadique »,

« Douleur », « souffrance ».

Mais en vérité…

Je suis la vérité nue.

 

Je suis ce que tu refuses de ressentir,

Ce que tu caches derrière tes sourires et tes masques.

Je suis cette part de toi qui a crié sans jamais être entendue.

Cette blessure que tu as enterrée,

Cette colère que tu as muselée,

Ce cri que tu as transformé en silence.

 

Mais je ne suis pas ton ennemi.

Je suis ton passage.

Celui qui t’oblige à descendre au plus profond de toi,

Là où la lumière ne peut exister que si tu l’as méritée.

 

Car ce n’est qu’en traversant l’obscurité

Que tu puisses vraiment comprendre ce qu’est la lumière.

Je suis l’ombre.

Je suis le seuil.

Je suis l’épreuve.

 

Mais si tu me regardes sans peur,

Je deviendrai ta force.

Alors, ose.

Ose me regarder dans les yeux.

Car je ne suis pas là pour t’éteindre.

Je suis là pour t’élever.

Je suis là pour te révéler.

Je suis là pour te soulager.

 

 © copyright Marc Vongotha 63


lundi 21 avril 2025

Elle Possédait une Dualité Fascinante

 



Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.




Elle Possédait une Dualité Fascinante


Oh, elle n'était pas ce que l'on aurait qualifié d'"avion de chasse", avec ses rondeurs affirmées qui défiaient les standards imposés. Mais qu'importait ? Son charme résidait ailleurs, dans ce mélange déconcertant de douceur et de provocation. Rien que ses yeux, ces éclats brillants de désir insondable, suffisaient à captiver, à subjuguer. Ils étaient son arme, un appel silencieux auquel il était impossible de résister.

 

Elle possédait une dualité fascinante. Oui, elle pouvait être cruellement sadique, jouissant avec une délectation troublante de la douleur qu’elle infligeait. Mais tout était un jeu, une danse savamment orchestrée, car elle savait que son plaisir se nourrissait aussi de vengeance.

 

Et quelle vengeance... Ses formes divines, ces courbes généreuses, appelaient à être travaillées sans relâche. Ses seins opulents, sa vulve offerte comme une provocation silencieuse, semblaient implorer la sévérité, réclamer le supplice avec une ardeur presque insolente. À croire qu’elle vous faisait mal, non pour vous soumettre, mais pour alimenter une cruauté plus vive, une intensité plus brute, et ainsi s'abreuver à la source de son propre plaisir.

 

Elle était l'essence même du paradoxe : une muse et un bourreau, une reine et une servante du désir, un univers où douleur et extase se confondaient dans un éclat sublime.




© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 20 avril 2025

Dans la cuisine baignée d’une lumière tamisée, elle s’affaire.

 



Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.


L'érotisme pourrait être l'art de bien cuisiner ses Amours.

Sony Labou Tansi





Dans la cuisine baignée d’une lumière tamisée, elle s’affaire. Nue sous un tablier qui à peine couvre sa poitrine ferme et son ventre plat, elle s’offre à l’instant. Le tissu léger, attaché négligemment autour de sa taille, souligne les courbes sensuelles de ses hanches et laisse deviner la naissance de ses cuisses. Elle sait qu’elle est observée, et cela électrise chacun de ses gestes.

 

Le couteau glisse sur les légumes, tranchant avec précision, pendant que sa respiration s’alourdit imperceptiblement. L’air est chargé de parfums : celui des épices qu’elle ajoute délicatement, celui de la sauce qui mijote, mais surtout celui de son propre désir, vibrant et palpable. Elle joue, elle provoque, chaque mouvement de ses hanches un message silencieux.

 

Il s’approche enfin, incapable de résister plus longtemps. La voir ainsi, concentrée, dévouée à la création d’un repas qui semble n’être qu’un prétexte, attise en lui une faim bien plus primale. Il se place derrière elle, à quelques centimètres seulement, et sent la chaleur de son corps.

 

Elle s’immobilise, son souffle suspendu. « Tu es impatient ? » murmure-t-elle, d’une voix basse et chargée de malice.

 

Ses mains viennent effleurer ses hanches, puis remontent doucement le long du tablier, caressant la peau nue de son dos. Elle frémit, mais ne se retourne pas. Au contraire, elle incline légèrement la tête, lui offrant la courbe de sa nuque, qu’il embrasse lentement. Ses lèvres, chaudes et insistantes, laissent des traces brûlantes sur sa peau.

 

Elle lâche le couteau, ses mains s’appuient sur le comptoir devant elle, et elle bascule subtilement ses hanches en arrière, venant épouser la dureté qu’elle devine derrière elle. Une main s’aventure sous le tablier, glisse le long de son ventre, effleurant son intimité déjà humide. Elle halète, mordant sa lèvre pour étouffer un gémissement.

 

« Pas ici, » murmure-t-elle faiblement, mais son corps trahit ses paroles, se pressant contre lui avec plus d’insistance.

 

« Si, ici, » répond-il, sa voix rauque et déterminée.

 

D’un geste ferme, il défait le nœud de son tablier, qui tombe au sol en silence. Elle se retourne enfin, le regard brûlant, et leurs lèvres se rencontrent dans un baiser vorace, dévorant, chargé de toutes les envies qu’ils ont retenues jusqu’à cet instant.

 

Ses mains parcourent son corps, glissant sur sa poitrine, son dos, s’attardant sur ses fesses qu’il saisit avec force. Elle gémit contre ses lèvres, ses ongles s’enfonçant dans sa nuque.

 

Il la soulève, l’assoit sur le comptoir froid, et elle écarte les jambes pour l’accueillir. La chaleur de leurs corps contraste avec la surface fraîche du bois sous elle. Ses doigts explorent, caressent, taquinent, arrachant à chaque fois de nouveaux soupirs de ses lèvres entrouvertes.

 

Le repas oublié, les ingrédients éparpillés, la cuisine devient un théâtre de leurs désirs débridés. Le bruit de leurs souffles, de leurs corps qui s’unissent, s’accorde avec les éclats des casseroles et des ustensiles renversés. Chaque sensation est amplifiée, chaque caresse plus intense, chaque mouvement plus urgent.

 

Elle s’accroche à lui, ses jambes enroulées autour de sa taille, l’attirant plus profondément, plus intensément. Ils se perdent dans un ballet fiévreux, où chaque seconde est un délice, chaque frisson un triomphe.

 

Et lorsque l’extase les submerge enfin, ils restent là, haletants, leurs corps mêlés, la cuisine baignée d’une chaleur nouvelle. Le repas peut attendre : ils ont déjà goûté au festin.




Bon Appétit les crapules 


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 19 avril 2025

Seul un amant attentif, un époux dévoué, ou un maître avisé peut explorer

 

 


Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.




"Seul un amant attentif, un époux dévoué, ou un maître avisé peut explorer les méandres de l'esprit de sa soumise, de sa femme ou de sa maîtresse. C'est lui qui, avec patience et passion, découvre et actionne l'interrupteur secret, celui qui libère le flot du plaisir, éveille les désirs inavoués et fait surgir des profondeurs les fantasmes les plus sombres. Ce geste n'est pas anodin : c'est un art, un privilège réservé à celui qui ose écouter, comprendre et jouer avec les ombres et les lumières de l'âme féminine."


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 6 avril 2025

Tout le Monde a des Secrets

 




Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.









Tout le monde a des secrets.


Pas seulement des petites cachotteries anodines ou des fautes de jeunesse. Non. Des vrais secrets. De ceux qu’on cache dans les coins les plus sombres de l’âme. Des images floues, des scénarios qu’on rejoue en boucle dans le silence des nuits blanches. Des envies qu’on n’avoue jamais. Pas même à soi-même.

 

Certains les appellent fantasmes. D’autres y voient de la perversion. Mais entre les deux, il y a un abîme d’humanité. Parce que tout le monde a déjà eu ce frisson de honte mêlée d’excitation. Ce moment où l’on se surprend à désirer quelque chose d’inavouable. Un ordre. Une claque. Une soumission. Une morsure. Une brûlure lente.

 

Le BDSM ne s’invente pas. Il émerge. Parfois brutalement, parfois lentement, comme une réponse trouble à une question qu’on ne savait pas qu’on portait en nous. Pourquoi ce besoin de contrôle ? Pourquoi cette envie de tout abandonner ? Pourquoi ce plaisir dans la douleur, dans l’attente, dans l’humiliation ou dans la retenue ?

 

Peut-être parce que derrière chaque être bien élevé, il y a un masque. Et derrière ce masque, une pulsion. Un désir de perdre pied, de se heurter à ses limites, d’être vu dans sa nudité psychique la plus crue. Le BDSM, c’est cette langue que peu comprennent, mais que beaucoup parlent en silence. Celle des regards lourds de sens, des cicatrices invisibles, des gestes codés.

 



Tout le monde a des secrets.

Des regrets.

Ou une question restée sans réponse :

Et si j’allais jusqu’au bout ?


dimanche 30 mars 2025

La Liberté ? Une Maîtresse impitoyable.

 



Bienvenue dans cet espace où mes mots prennent vie, tissant des histoires, des pensées éparses et des délires littéraires. Ici, je m’octroie avec malice le titre d’écrivain raté, mais l’essentiel n’est pas dans la réussite, plutôt dans ce plaisir intense à donner forme à mes idées. À travers ces murmures, parfois teintés de mon ombre perverse, j’espère éveiller quelques émois et partager un peu de cette passion sincère qui anime mon blog.




La Liberté ? Une Maîtresse impitoyable.

C’est le droit brûlant de céder à ses pulsions,

De s’offrir nu à ses vices,

Enchaîné volontairement aux cordes de ses désirs les plus noirs.

Vivre libre, c’est porter ses cicatrices comme des médailles,

Lécher la douleur comme une amante,

Et courber l’échine, non pas par contrainte,

Mais par une jouissance coupable et totale.

C’est comprendre que chaque marque, chaque morsure,

Chaque cri étouffé est une prière au culte de soi-même.

La liberté, c’est une Dominatrice exigeante :

Elle te fera supplier, pleurer, saigner,

Mais elle te libèrera de ces chaînes

 Invisibles que le monde appelle vertu.


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 29 mars 2025

Avouez-le, mesdames… Il arrive que la fierté vacille

 




"Avouez-le, Mesdames… Il arrive que la fierté vacille, que la dignité se fissure, emportées par une force irrésistible. Ce pouvoir sombre et envoûtant, c'est le désir brut, la luxure débridée. Quand le corps réclame sa jouissance, quand l'esprit se noie dans l'abandon


"Il n'y a plus de barrières quand l'âme s'égare dans les méandres du vice, quand le corps réclame la jouissance crue, viscérale. Plus rien ne compte, sinon l'abandon à l'exquise dualité du Sadisme et du Masochisme, cette danse où l'on donne ou reçoit les sévices avec une délectation sauvage. Soumission ou Domination, tout converge vers ce moment brûlant où plaisir et douleur se mêlent en une extase sans retour. 


Car, qu'elle soit mère de famille, chef d'entreprise ou chômeuse, qu'elle soit jeune quadra ou seniors, une très jolie Femme, ou simplement Mme Tout le Monde, lorsqu'une Femme sent en elle les démons insatiables de l'envie, rien ni personne ne saurait la retenir."


© copyright Marc Vongotha 63