Affichage des articles dont le libellé est Les Murmures de la nuit de Vongotha. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Les Murmures de la nuit de Vongotha. Afficher tous les articles

dimanche 2 novembre 2025

Prière à mon Maître

 




Prière à mon Maître

 

Volontairement, je me fais votre captive.

Non par faiblesse, mais par ivresse.

Je me dépouille de toute pudeur,

et vous offre ma chair comme un autel.

 

Je veux être la soumise de vos fièvres,

L’amante impudique de vos ténèbres.

Sous vos doigts d’acier, ma peau se souviendra,

De chaque morsure, de chaque souffle arraché.

 

Maître-bourreau,

Vous serez le cri que je retiens,

Le silence qui m’écorche,

L’ombre qui me traverse.

 

Que vos sévices me brûlent,

Que vos désirs me plient.

Qu’à travers la douleur, je vous entende,

Comme un dieu obscur me parlant dans la chair.

 

Je veux être façonnée, forcée, brisée,

Jusqu’à ne plus savoir où je commence.

Car dans l’abandon, je me trouve,

Et dans votre cruauté, je m’accomplis.

 

Prenez-moi sans pitié,

Faites de moi l’écho de vos démons.

Je serai la prière et le péché,

Le corps et la confession.  




© copyright Novembre 2025 Marc Vongotha 63


samedi 1 novembre 2025

Accepter les plaisirs sombres

 




Accepter les plaisirs sombres

 

Pour bien aimer sa partenaire, 

il faut apprendre à voir au-delà du masque.

Comprendre, c’est plonger dans ses abîmes,

 Là où se mêlent la faiblesse et la force.

C’est oser regarder sa noirceur, sa douleur,

Sa souffrance  et ne pas détourner les yeux.

 

Car certains plaisirs naissent de l’ombre, 

Nourris de désirs troublants que la morale voudrait taire.

Faut-il pour autant se croire démon lubrique parce qu’on les accueille ?

Ou serait-ce être vanille et ennuyeux

Que de refuser d’explorer ces profondeurs ?

 

Aimer, vraiment, c’est accepter.

Sans jugement, sans peur.

Soit on comprend et on accompagne

 Cette part obscure,

Soit on s’efface et on la laisse partir

 Vers celui celle qui saura la reconnaître.


© copyright Novembre 2025 Marc Vongotha 63



vendredi 31 octobre 2025

Cette nuit, je suis son Démon. Je la fais Plier, Vibrer, Implorer.

 





" Elle pensait venir pour jouer.

Elle a compris trop tard que je ne joue pas.

Halloween est ma saison, et la peur ma compagne.

Sous mes doigts, sa peau brûle, son esprit se fissure,

Et quand elle cède enfin, c’est le plus beau des sorts. 


 Le fouet claque comme un tonnerre dans la nuit.

Chaque coup la fait renaître, chaque gémissement est un serment.

Je la garde au bord, dans ce purgatoire où la douleur jouit d’elle-même.

Ses larmes brillent comme des perles d’obsidienne.

C’est Halloween : la beauté du supplice est la seule vérité. 


 Cette nuit, je suis son démon.

Je la fais plier, vibrer, implorer.

Elle porte son masque de soumise, moi mon masque de fer.

Entre nous, un pacte scellé par le cri, la peur et le plaisir.

Et quand la nuit s’éteint, c’est l’enfer qui nous envie.  "



© copyright Octobre  2025 Marc Vongotha 63


dimanche 19 octobre 2025

Quand l’attirance est physique, vous pouvez fuir.






Quand l’attirance est physique, vous pouvez fuir.

Changer de pièce, détourner le regard,

 Prétendre que rien ne s’est passé.

Mais quand l’attirance est mentale,

Tout devient plus dangereux.

Elle s’enroule autour de vous comme une main invisible,

Vous caresse, vous contrôle, vous dicte vos pensées.

Vous perdez pied sans même vous en rendre compte.

 

C’est la déchéance élégante, l’enfer parfumé de désir.

Vous luttez, mais vous savez déjà que vous perdrez.

Et ce renoncement a la saveur d’un baiser trop longtemps retenu.

 

Sa voix devient un piège,

Ses mots une caresse qui traverse vos défenses.

Vous sentez ce frisson qui monte, lentement, jusqu’à vous trahir.

Vos pensées se brouillent, vos gestes tremblent.

La raison s’efface. Le corps réclame.

 

Un simple ordre murmuré, et tout bascule.

Vous obéissez sans comprendre pourquoi.

Vous aimez ce vertige, cette main invisible qui vous conduit,

Ce feu qui glisse dans vos veines et vous brûle de l’intérieur.

 

La douleur devient beauté.

La tension, un langage secret.

Le plaisir, un châtiment délicieux.

 

Ce n’est plus un jeu, c’est une possession douce et cruelle,

Où le mental se soumet avant le corps,

Où la peur se mêle à l’envie,

Où chaque seconde devient une offrande silencieuse.

 

Vous vouliez résister.

Mais il ou elle a su vous briser sans violence,

Simplement en vous comprenant trop bien.

 

Et dans cet abandon parfait,

Vous découvrez que l’enfer

 Peut ressembler à une extase.


© copyright Octobre  2025 Marc Vongotha 63

 

dimanche 28 septembre 2025

On dit toujours : Je ne ferai jamais ça.

 




"On dit toujours : Je ne ferai jamais ça.

Jusqu’à ce que la chair brûle de désir face

 A un être pervers, démoniaque, assez puissant

 Pour tordre vos résistances.

Pour vous donner l'envie

Pour ouvrir les portes de votre esprit

Alors le corps s’ouvre, la raison cède,

 et la bouche qui refusait murmure enfin : encore.

 

Il ne vous a pas fait de mal, non.

 Il a su lire en vous, déchiffrer vos envies les plus noires,

 Celles que vous dissimuliez comme des cicatrices honteuses.

Il les a caressées, attisées, jusqu’à ce

 Qu’elles deviennent votre vérité nue.

Vous pensiez fuir la douleur, mais vous avez joui

De la morsure du cuir, de la brûlure de la cire,

 De la flagellation qui marque et révèle.

 

L’apprentissage se fait toujours à la limite

 Là où la peur se mue en excitation,

Là où le plaisir naît de la douleur, où l’on gémit

 En découvrant que le mot souffrir peut rimer avec jouir.

 

Être différent n’est pas une malédiction,

C’est un privilège rare.

Car seuls les élus osent franchir le seuil

 Et se perdre dans l’abîme d’une passion sans retour.

Se perdre jusqu’à se dissoudre,

S’abandonner jusqu’à se détruire,

Jouir jusqu’à ne plus savoir où commence

 La douleur et où s’achève l’extase."

 

© copyright septembre 2025 Marc Vongotha 63

 

dimanche 14 septembre 2025

Dangereuse est la Femme qui

 






 Dangereuse est la Femme qui fait trembler ton désir par la danse de son corps, par ses hanches qui s’offrent et ses seins qui défient… Mais mortelle est celle qui t’emprisonne par la morsure de ses mots, par l’éclat de son regard qui perce et par l’esprit qui, tel un fouet invisible, t’écorche et t’asservit.

 

Car lorsqu’elle t’ensorcelle de son intelligence, tu ne luttes plus : tu te rends. Qu’elle soit Maîtresse au sourire cruel, distribuant la douleur comme une offrande, ou soumise masochiste au plaisir obscur, jouissant de sa propre mise à nu, elle possède ce don absolu : celui de régner sur tes fantasmes les plus secrets, de t’y entraîner sans retour, et de transformer ton enfer en paradis… et ton paradis en enfer voluptueux.

 


 La Femme dangereuse éveille ton corps… la femme mortelle capture ton esprit. Qu’elle soit Maîtresse au fouet ou soumise à la douleur, elle règne toujours : car la chair se libère, mais l’âme marquée ne s’échappe jamais. 




© copyright septembre 2025 Marc Vongotha 63


dimanche 7 septembre 2025

" Ne soyez jamais Sages… On ne sait pas de quoi sera fait Demain. "

 




" Ne soyez jamais Sages… On ne sait pas de quoi sera fait Demain. "

 




La sagesse est une prison. Elle enferme les pulsions,

 Etouffe les fantasmes, dresse des murs froids 

Autour de la chair brûlante. 

Ceux qui se disent sages ne vivent qu’à moitié. 

Ils survivent, disciplinés par la peur de ce que les autres penseront d’eux.

 

Mais vous, vous savez que dans le noir palpite une vérité plus intense :

 Le plaisir est né de la transgression.

 Une fessée qui claque plus fort qu’un sermon. 

Une morsure plus vraie qu’un serment. 

Une marque laissée sur la peau plus éternelle qu’un souvenir.

 

Demain, personne ne vous garantit rien. Ni l’amour, ni la liberté,

 Ni même la respiration. Alors pourquoi se retenir aujourd’hui ?

 Pourquoi refuser le fouet quand il peut réveiller l’âme ?

 Pourquoi retenir un cri quand il peut vous libérer ?

 

Ne soyez jamais sages.

Mais dans le respect de l'autre 

Bien sûr 


Soyez fous, pervers, cruels et tendres à la fois. 

Offrez votre peau, votre gorge, vos désirs les plus indécents

 Au Maître ou à la Maîtresse qui saura les cueillir. 

Devenez proie, devenez chasseur, devenez la blessure et la main qui la creuse.

 

Demain, vos cicatrices parleront mieux que vos silences.

Demain, vos chaînes seront vos trophées.

Demain, vos souvenirs brûleront encore plus fort que vos peurs.

 

Ne soyez jamais sages.

Le monde n’appartient pas aux dociles, mais aux

 Insoumis qui osent jouir dans la démesure.


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 31 août 2025

Les courbes offertes de la soumise se plient comme une prière silencieuse

 






 Les courbes offertes de la soumise se plient comme une prière silencieuse sous l’œil de son Maître. Sa peau devient territoire à marquer, temple de luxure et de supplices raffinés. Chaque frisson appelle le cuir qui claque, la morsure qui brûle, la pince qui enserre. Les seins gonflés sous l’étau du métal, les fesses rougies par la lanière, les cuisses ouvertes comme un livre obscène : tout son corps parle la langue du désir et de la douleur. Dans cette obscurité perverse, le Maître façonne sa créature, grave ses fantasmes dans la chair, et se repaît de cette offrande où chaque cri devient un hymne, chaque tremblement une création nouvelle.


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 22 juin 2025

Le Frisson : Une Alchimie de Désir et de Soumission

 


Le Frisson : Une Alchimie de Désir et de Soumission

 



Tu sais ce que c'est un frisson ? C’est cet instant suspendu où ton souffle s’accélère, où ta peau se tend, et pourtant tu n’as pas froid. C’est la promesse d’une caresse ou d’une morsure, l’attente insupportable et délectable qui précède le choc d’un plaisir inavouable.

 

Le frisson naît d’un regard appuyé, d’une corde qui glisse lentement sur ta peau ou du claquement sec d’un cuir qui fend l’air. Il est là, entre l’anticipation et l’accomplissement, dans cette frontière ténue où le désir côtoie la peur, où l’adrénaline irrigue chaque fibre de ton être.

 

Je te regarde, ligotée, offerte, et je devine les vagues invisibles qui parcourent ton corps. Ton souffle se heurte à l’attente, à l’inconnu. Tu trembles... mais ce n’est pas le froid, c’est le feu. C’est ce feu intérieur que je manipule, attisant tes flammes à ma guise.

Un murmure à ton oreille :

« Ce frisson, c’est toi qui le réclames. C’est ton corps qui me supplie, même en silence. »

Ma voix grave pénètre ton esprit, amplifiant ton trouble.

 

Et puis, une pause. Une seconde ou une éternité, tu ne sais plus. Mais tu sens… Le frisson devient plus intense, l’adrénaline t’envahit, te submerge. Le claquement arrive, net, précis. Une onde de plaisir traverse ton corps, et tu te laisses aller à cette jouissance qui ne demande pas d’autorisation, seulement ton abandon.

 

Le frisson, ma douce, est notre langage. Une promesse chuchotée, un secret partagé entre domination et consentement, entre douleur et extase. C’est là que je te tiens, où tu veux être : à la limite, dans cet équilibre fragile où chaque souffle est une victoire, chaque tremblement, un cadeau.

 

Alors, dis-moi... que ressens-tu, maintenant ?


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 15 juin 2025

Certains Vices ne se contentent pas de Caresses

 





Certains vices ne se contentent pas de caresses.

Ils s'insinuent dans l'esprit, réclament des 

scénarios tordus, des jeux de domination et de soumission.

C'est le cérébral puissance 10, où chaque pensée

 devient une arme, chaque mot une corde

 invisible qui enlace et asservit.

 

Faire vibrer quelqu’un ? Non, il s’agit de le dévorer.

Jusqu’au dernier frisson.

 

L’instinct et la passion, ces prédateurs insatiables,

 n’ont que faire des limites.


Ils s’abreuvent de gémissements, se nourrissent de regards suppliants.

Ils ont faim, toujours. Et il faut les rassasier… jusqu’à l’épuisement.


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 1 juin 2025

Dans les méandres de l'âme humaine

 





Dans les méandres de l'âme humaine, où se tapissent les désirs inavoués, naissent des fantasmes sombres, indicibles, des pulsions que l'on n'ose nommer, même en pensée. Ces chimères, parfois effleurées dans l'intimité d'une nuit ou dans le frisson d'un rêve interdit, consument, intriguent, et nous possèdent.

 

Mais parmi nous, il existe des âmes puissantes, des êtres capables de transcender ces songes murmurés. Ils ne se contentent pas de rêver – ils façonnent, manipulent et incarnent vos désirs les plus inaccessibles. Ces individus sont des artistes de l'obscurité, des sculpteurs du plaisir et de la douleur, des ombres vivantes donnant vie à vos chimères. Ils sont plus qu’un fantasme : ils deviennent le vôtre.

 

Et vous ? Avez-vous déjà croisé cette personne qui fait basculer votre monde ? Cette âme qui, par sa seule existence, réécrit vos désirs et redessine votre destin ? Sans elle, votre vie serait différente, pâle, peut-être vide. Avec elle, vous suffoquez dans un tourbillon de sensations, porté(e) au bord du gouffre et tenu(e) en suspens… une respiration retenue, une chute infinie dans les abîmes de vos envies secrètes.

 

Alors, oserez-vous franchir le seuil ?


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 25 mai 2025

Quand l'âme s'offre aux ombres




Quand l'âme s'offre aux ombres

 

Rien n'est pervers, rien n'est sale, rien n'est indécent dans l'univers du BDSM, quand deux âmes se rejoignent dans une attraction insatiable. Ce lien secret, viscéral, transcende la chair. Il est l'écho d'un désir profond, d'une communion où chaque geste, chaque soupir, est un rituel d'abandon.

 

Le sexe, lui, n'est jamais seulement physique. Il est l'invocation d'une vérité brute et absolue, une exploration des méandres de nos ombres. Alors, donnez-vous sans retenue ou prenez en main celui ou celle qui, de toute son âme, implore d’être façonné(e). Chaque mot murmuré, chaque frisson arraché devient une œuvre en devenir.

 

Travaillez cette personne avec patience et audace. Faites d'elle une sculpture vivante, où chaque marque de votre passage raconte une histoire de dévotion et de plaisir. Que le fouet, la corde ou la caresse deviennent vos outils, et que chaque coupure du silence résonne comme une prière exaucée.

 

Car dans cet abandon réciproque, là où les limites se dissolvent, c’est l’essence même du désir qui s’épanouit. Il n’y a ni jugement, ni remords, mais un territoire sacré, réservé à ceux qui osent se perdre pour mieux se retrouver.


© copyright Marc Vongotha 63

vendredi 23 mai 2025

Et je répondrai à l'appel de tes envies de flagellation

 




Et je répondrai à l'appel de tes envies de flagellation,

Sentant sous mes doigts le rythme effréné de ton cœur,

Palpitant tel un arc tendu prêt à vibrer.

Chaque coup résonnera en toi,

Chaque soupir sera une offrande,

Et tes gémissements, une mélodie délicieusement envoûtante,

Le plaisir suprême d'un maître à l'écoute de sa soumise.


© copyright Marc Vongotha 63



dimanche 4 mai 2025

Pour les âmes égarées qui s’aventuraient dans son Univers

 





Pour les âmes égarées qui s’aventuraient dans son univers, il n’était pas un guide, mais un tentateur. Il ne les sauvait pas, non. Il les possédait. Quand leur paradis tremblait sous l’aveu des envies refoulées, il les conduisait en enfer. Mais cet enfer n’était pas un lieu de damnation : c’était un sanctuaire où chaque morsure et chaque coup de fouet devenaient des clés ouvrant les portes de l’abandon.

 

Là, les corps s’offraient, soumis ou déchaînés, ligotés ou agenouillés, dans une danse où le pouvoir et la vulnérabilité se mêlaient. Le cuir, le métal froid, et la chaleur du sang formaient une symphonie de sensations. Chaque cri de douleur devenait une note de plaisir, chaque marque laissée sur la peau un témoignage indélébile de la liberté retrouvée.

 

Et toi, âme égarée, lorsque tes doutes te submergeront, viens. Viens avec ton fardeau de honte et tes désirs inavoués. Je t’emmènerai là où la morale se brise, où tes chaînes invisibles seront remplacées par celles que tu embrasseras. Dans cet enfer, tu ne seras pas perdu : tu renaîtras, à genoux, dans l’extase et la servitude.


© copyright Marc Vongotha 63


dimanche 27 avril 2025

Certains vices ne cherchent pas la Guérison.

 





Certains vices ne cherchent pas la guérison.

Ils sont des ombres profondes, des échos de l'âme,

Des murmures qui hantent et fascinent,

Des flammes qui brûlent doucement sans jamais s'éteindre.

 

Ne les oublions pas.

Ces vices sont les gardiens de nos vérités cachées,

Des fragments de notre essence que le monde refuse.

Les éteindre, c’est renier une partie de soi.

Mais les entretenir, c’est danser avec le feu de notre être.

 

Il faut les maintenir en vie,

Les nourrir avec sagesse,

Les aimer dans la lumière du respect d’autrui.

Car jouir, c’est exister pleinement,

C’est ne pas renier l’appel de ces ombres qui nous sculptent.

 

La meilleure liberté, disait Jim Morrison,

C’est d’être soi-même.

Et être soi-même, c’est embrasser ses vices,

Non comme des chaînes, mais comme des ailes

Pour s’élever au-delà des jugements du monde.




© copyright Marc Vongotha 63