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samedi 31 mai 2025

Soirée Bdsm Privée dans le 15 e

 





Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z


 Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique. 

Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.


Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.

 

Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.

 

Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.

 

J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.


 


La soirée battait son plein dans l’appartement luxueux du 15e arrondissement de Paris, un cadre somptueux où se mêlaient ambiance feutrée et perversions subtiles. Le couple de cinquantenaires, nouvellement initié à ce genre de soirées, observait les participants avec une curiosité palpable. Le mari, bien qu’un peu nerveux, se sentait confiant, surtout avec sa femme à ses côtés, dont la présence imposante attirait déjà quelques regards. Elle, avec ses 80 kg bien portés, ses seins volumineux et son clitoris toujours à découvert, restait cependant discrète, un mélange de timidité et de désir sous-jacent.

 

Le maître de cérémonie, élégant et impassible, proposa un nouveau jeu pour pimenter la soirée : une partie de fléchettes... mais cette fois, les cibles seraient les corps des femmes présentes. Ce jeu était à la fois terrifiant et excitant pour les participantes, qui offraient leur chair comme point d’ancrage pour les dards, dans une mise en scène sadique.

 

La femme du couple, hésitante mais intriguée, se laissa convaincre par les autres invités. Ses grandes lèvres, étirées par le passé sous des poids lourds, semblaient parfaites pour ce type de jeu osé. Le mari, quant à lui, souriait avec complicité, prêt à parier sur chaque tir et à observer les réactions, à la fois de plaisir et de douleur, qui suivraient chaque fléchette plantée dans la chair.

 

La soirée promettait d’être intense, et le couple, bien qu’encore novice, savait qu’il était sur le point de franchir une nouvelle limite dans ses explorations perverses...

 

Martine, malgré sa timidité apparente, sentait une montée d'adrénaline irrésistible. Elle n'avait jamais participé à quelque chose d'aussi osé et, même si la peur se mélangeait à l'excitation, l'idée de gagner de l'argent avec chaque fléchette enfoncée dans sa chair lui donnait un frisson particulier. Attachée fermement sur le dossier, son corps exposé, elle ne pouvait plus reculer. Ses seins, lourds et naturels, pendaient légèrement, avec des tétons érigés par la tension du moment. La visière opaque du casque de moto lui bloquait complètement la vue, exacerbant ses sensations et la plongeant dans un état d'attente angoissante.

 

Les règles étaient claires : 500 € par fléchette dans les seins, et un bonus de 1500 € si une fléchette atteignait son clitoris ou ses grandes lèvres, longues et exposées. Chaque coup potentiellement douloureux devenait une promesse de gain substantiel. Martine, qui n’avait jamais fait refaire sa poitrine malgré l’âge, se sentait vulnérable. Mais la possibilité de jouer avec la douleur et l’argent stimulait une partie d'elle qu'elle avait rarement explorée.

 

Le maître de cérémonie s’avança, brandissant les fléchettes spécialement conçues pour ce jeu, leurs pointes acérées scintillant sous la lumière tamisée de l'appartement. Les invités retinrent leur souffle lorsque la première fléchette fut lancée. Elle fendit l’air, et un instant plus tard, Martine sentit une douleur vive transpercer un de ses seins. L’aiguille s'enfonça juste au-dessus de son téton droit, déclenchant un gémissement qui résonna dans la pièce. Les autres invités applaudissaient, certains déjà pariant sur le prochain tir.

 

Martine se sentait partagée entre l'angoisse et l'excitation. La douleur montait en elle, mais avec chaque nouveau coup, elle savait que son compte en banque se gonflait.

 

L'atmosphère dans la salle devint électrique, presque suffocante. Chaque souffle semblait lourd de désir et d'excitation, tandis que tous les regards restaient rivés sur Martine, attachée et offerte à la violence consensuelle du jeu. Les invités, totalement nus, se laissaient aller à leurs pulsions. Les hommes, leurs sexes en érection, se masturbaient lentement, comme hypnotisés par le spectacle, tandis que les femmes, les yeux brillant de sadisme, suivaient chaque mouvement de la scène avec avidité.

 

Quand vint le tour de la maîtresse de maison, une femme charismatique à la main ferme, tout le monde retint son souffle. Son regard perçant cherchait à humilier Martine, à lui infliger une douleur calculée. Mais son tir manqua la cible, la fléchette transperçant le ventre proéminent de Martine, provoquant un cri de surprise et de douleur. Le choc inattendu fit frémir Martine, mais ce n'était qu'un avant-goût de ce qui l'attendait. Elle serrait les dents, consciente que son corps était désormais un terrain de jeu pour ces invités assoiffés de sensations fortes.

 

Un homme tenta à son tour sa chance, mais sa fléchette glissa au sol, échappant à la cible. Il y eut quelques rires nerveux, mais l'excitation ne baissait pas.

 

Ce fut ensuite le tour de la fille des organisateurs, une jeune femme de 21 ans, au visage angélique mais à l'âme perverse, connue pour son amour du contrôle et du sadisme. Elle prit son temps pour ajuster son tir, ses yeux fixés avec intensité sur Martine. Le silence s'épaissit lorsqu’elle visa les tétons gonflés de désir et de tension.

 

La fléchette partit dans un sifflement rapide, traversant la pièce comme une lame acérée. Un cri de pure douleur jaillit des lèvres de Martine lorsqu’elle sentit la pointe percer son téton gauche, s’enfonçant profondément dans la chair sensible de son sein. Le choc de la douleur figea son corps, tandis que la jeune femme souriait d’un air satisfait, observant avec plaisir l’effet de son coup.

 

Martine tremblait sous l’intensité de la douleur, sa poitrine brûlante, son souffle saccadé. La fléchette restait plantée dans son sein, son téton perforé saignant légèrement. La jeune femme, jouissant du pouvoir qu’elle exerçait sur cette « vieille femme » de cinquante ans, ne quittait pas des yeux sa proie, un éclat cruel dans le regard.

 

La tension dans la salle monta encore d'un cran. Tout le monde savait que le véritable spectacle n'était qu'à son début. Les autres invités allaient à leur tour pouvoir viser des zones plus intimes, où chaque fléchette augmenterait non seulement la douleur, mais aussi la récompense.

 

La salle était silencieuse, tous les regards fixés sur Martine, étendue dans une posture humiliante, ses jambes écartées et attachées aux étriers. Son sexe, exposé de manière impudique, devint le centre de l'attention. Le maître de maison, observant la scène avec une satisfaction perverse, se retourna vers les invités avec un sourire. « On va commencer », dit-il d'une voix rauque.

 

Martine, dans sa position vulnérable, ressentait un mélange d'excitation et de terreur. Elle, qui vivait une vie si monotone, de femme au foyer, mère de famille dévouée, se retrouvait là, dans une pièce pleine d'inconnus, offerte comme un objet à leur désir. Cette dualité, entre son rôle quotidien et cette perversion secrète, la plongeait dans une transe masochiste. Son cœur battait la chamade, et chaque souffle était chargé d'anticipation.

 

Un homme se dirigea vers la table où les fléchettes étaient soigneusement disposées, prêt à en saisir une. Mais avant qu'il ne puisse aller plus loin, une voix l'arrêta net : « Stop ! »

 

C'était la fille perverse des organisateurs, celle qui avait déjà planté une fléchette dans le sein de Martine. Son sourire sadique s'étira encore plus, tandis qu'elle avançait d'un pas lent vers Martine. « Non », dit-elle avec une froide détermination. « Il faut que sa chatte soit bien ouverte, sinon, vous allez viser quoi ? Ses lèvres ? »

 

Elle quitta la pièce un instant, pour revenir avec un sac contenant de grandes pinces spécialement conçues pour des jeux BDSM. Ces pinces, accompagnées d'élastiques, allaient forcer l'ouverture de la vulve de Martine de façon obscène et sans pitié.

 

Avec une précision clinique, la jeune femme attacha les pinces aux grandes lèvres de Martine, tirant sur les élastiques jusqu'à ce que sa vulve soit béante, exposée sans défense. Martine, bien que prise de douleur, ne pouvait ignorer l’excitation qui montait en elle. La sensation des ongles de la jeune femme s'enfonçant légèrement dans la chair sensible de ses organes génitaux l’envoya dans une spirale de plaisir et de souffrance.

 

Les élastiques étaient fixés solidement aux cuisses de Martine, maintenant sa vulve grande ouverte, impudique. Aucun détail ne pouvait être caché aux invités. Son sexe ruisselait de mouille, une lueur blanche de sécrétions s’étalant autour de l'entrée de son vagin. C’était un spectacle à la fois dégradant et profondément érotique pour ceux qui regardaient.

 

La jeune femme recula enfin, laissant la place aux autres joueurs. « Maintenant, c’est parfait », dit-elle, un éclat de satisfaction dans les yeux. Elle se lécha discrètement les doigts, comme pour savourer la sensation des chairs intimes de Martine sous ses ongles.

 

La salle, plus excitée que jamais, attendait que le premier joueur prenne son tour, visant cette vulve devenue la cible ultime.

Le silence se fit lourd dans la pièce alors que le mari de Martine se leva, un sourire nerveux aux lèvres. Tous les regards étaient braqués sur lui. La tension monta encore d’un cran, l’excitation palpable dans l’air. Il s'approcha de la table où les fléchettes étaient soigneusement alignées, ses doigts hésitant un instant avant de choisir celle qui lui paraissait la plus affûtée. Son cœur battait à toute vitesse, partagé entre son envie de protéger sa femme et celle de participer pleinement à ce jeu cruel.

 

Le maître de maison se pencha vers lui, un rictus sadique déformant son visage. « Allez, mon cher ami. Vous êtes le mieux placé pour abîmer ce trésor. Ne vous inquiétez pas, votre femme est excitée. Mais... visez bien. Envoyez-lui ce missile de douleur. Elle souffrira pour vous, pour votre plaisir. »

 

Le mari prit une grande inspiration, fixant le sexe béant de Martine, maintenu grand ouvert par les pinces. Son regard se durcit alors qu’il se concentrait. Il se souvenait de toutes les soirées où Martine lui avait confié ses fantasmes les plus sombres, son besoin de douleur pour atteindre l'extase. Il savait, au fond de lui, que c’était pour ce moment qu’ils étaient ici.

 

Avec une précision calculée, il lança la fléchette. Elle fendit l’air, traversant la distance en un éclair, pour se planter avec une précision chirurgicale dans la lèvre droite de Martine. La fléchette, si affûtée, transperça facilement la chair délicate de son sexe, la douleur irradiant instantanément à travers tout son corps.

 

Martine hurla, un cri déchirant de douleur mêlée à un plaisir intense. La souffrance était brutale, mais elle était aussi ce qu’elle cherchait depuis si longtemps. Elle sentit une vague de chaleur envahir son ventre, des picotements se répandre dans tout son corps, alors que son esprit se perdait dans cette douce torture. C’était son mari qui l'avait fait, qui lui avait infligé cette souffrance, et cela rendait l'acte encore plus puissant.

 

Elle souffrait pour lui, pour son plaisir. Ses lèvres tremblèrent alors qu’elle essayait de murmurer son nom, ses yeux se fermant dans une transe masochiste.

 

Le visage de Martine était tordu de douleur, mais ses yeux trahissaient une excitation féroce. Le sang coulait lentement de la lèvre transpercée, se mêlant à ses fluides intimes qui s'écoulaient sans retenue. Sa cyprine, mélange de désir et de douleur, coulait le long de ses cuisses tremblantes, témoignant de son état d’excitation incontrôlable.

 

Alors que l'assemblée retenait son souffle, un couple d’invités plus âgés s'avança. Ils devaient avoir dans les 80 ans, mais ils semblaient encore pleins d'énergie, portés par des pulsions sadiques qui brûlaient dans leurs veines. La vieille femme, aux seins flasques tombant comme des gants de toilette, fixait Martine avec un regard froid et cruel. Quant à l’homme, bien qu’âgé, il bandait avec une fermeté surprenante, son petit sexe visible et ruisselant de mouille.

 

Pour eux, Martine n’était plus une personne, mais un simple morceau de viande offert à leur perversité. Ils échangèrent un regard complice avant de prendre chacun une fléchette entre leurs doigts ridés mais précis. Ils visaient bien, avec une froide détermination qui faisait frémir les autres invités.

 

« C'est parti », dit l'homme, un sourire tordu sur le visage.

 

Sans hésitation, ils tirèrent ensemble. Deux fléchettes volèrent à travers la pièce, se plantant avec une précision glaçante dans la lèvre droite déjà meurtrie de Martine. La douleur fut instantanée, brutale, comme si son sexe se déchirait sous l'impact. Trois nouveaux trous transpercèrent la chair sensible de ses grandes lèvres, aggravant la blessure infligée par son mari.

 

Le corps de Martine se tordit sous l’effet du choc, ses jambes tremblant dans les étriers. Mais contre toute attente, elle ne faiblit pas. Son clitoris, exposé et tendu, était gonflé à l'extrême, bandé à mort sous l'effet de cette torture insoutenable. Elle était à la limite de l’extase, poussée au bord par la douleur et l’humiliation, son souffle court et saccadé.

 

Le vieux couple sourit avec satisfaction en regardant l’état dans lequel ils avaient plongé cette femme. Martine, malgré les cris et la souffrance, était encore plus excité qu’auparavant, son corps tout entier vibrant d’un désir masochiste qu’elle ne contrôlait plus.

 

Martine se sentait envahie par une vague de désir incontrôlable, malgré la souffrance insoutenable qui traversait tout son corps. Son mari, debout non loin, bandait comme un taureau, l’excitation montant à chaque hurlement de sa femme, à chaque flèche perçant ses chairs intimes. Il était fier d’elle, de cette endurance qu’elle montrait malgré la douleur. Lui-même avait envie de la prendre sur le champ, de défouler sa rage et son plaisir sur cette vulve meurtrie, maintenant complètement offerte à la brutalité des invités.

 

Les gémissements de Martine s’intensifièrent, une pulsion incontrôlable de se masturber la gagnant, bien qu’elle soit complètement attachée, incapable de se soulager. Ses mains liées, elle n’avait aucun moyen d’atteindre son sexe en feu. La frustration se mélangeait à l'excitation, l'amenant à un point de non-retour.

 

« Bande de bâtards ! Vous êtes tous incapables de viser mon bouton ! » cria-t-elle avec défi, le visage rougi par l’adrénaline et la douleur. « Profitez-en, vous n’aurez plus l’occasion de le toucher ! Allez, tirez plus vite, comme des mitrailleuses ! »

 

Sa provocation fit monter l’intensité de la scène d’un cran. Plusieurs personnes, excitées par ses mots, prirent rapidement des fléchettes et commencèrent à tirer coup sur coup, chacune visant de plus en plus près ses organes génitaux. Martine reçut des flèches dans le creux de ses cuisses, une autre perça la lèvre gauche de sa vulve déjà gonflée par le sang et l’excitation.

 

Puis, enfin, quelqu’un réussit à percer les petites lèvres, si délicates et sensibles. Martine hurla à nouveau, mélangeant douleur et jouissance dans un cri sauvage qui résonna dans la pièce. Mais c’est la fille des organisateurs, cette jeune perverse, qui apporta le coup de grâce. Elle s’approcha un peu plus près, sa main serrant la fléchette comme si elle voulait marquer un point décisif. Avec une précision sadique, elle visa et lança.

 

La fléchette se planta directement dans le clitoris de Martine, perçant le bouton gonflé d’excitation. Un silence tendu tomba dans la salle, suivi d’un tonnerre d’applaudissements. La jeune femme, victorieuse, se pencha sur Martine pour admirer son œuvre, observant avec satisfaction le sang qui coulait doucement de la petite plaie sur le clitoris.

 

Mais elle n'en resta pas là. Avec un sourire cruel, elle saisit la fléchette plantée dans le clitoris de Martine et la fit bouger légèrement, faisant tourner la douleur d'un cran supplémentaire. Martine se cambra, son cri déchirant l'air tandis que la douleur se transformait en une jouissance insupportable. Le sang coulait encore plus fort, et la jeune femme, dans un dernier geste de sadisme, pinça le clitoris blessé avec ses ongles avant de le sucer avidement, goûtant au mélange de douleur, de sang, et de désir de la femme martyrisée.

 

Martine était au bord de l’évanouissement, son corps brûlant de douleur et de plaisir, incapable de savoir où l’un commençait et où l’autre finissait. Elle n’avait jamais ressenti une telle intensité dans toute sa vie.

 

Justine, la jeune femme perverse et excitée, se pencha vers Martine, son souffle chaud effleurant son oreille tandis qu’elle lui murmurait avec une intensité sadique : « Veux-tu jouir dans la douleur, Martine ? Veux-tu jouir comme jamais auparavant ? »

 

Martine, plongée dans un état de transe masochiste, à la fois submergée par la douleur et l’excitation, répondit sans hésitation, presque en suppliant : « Oui… Sois ma bourrelle, Justine… Abîme ma chatte… Brûle-la… Défonce-la jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien… »

 

Un sourire cruel s’étira sur les lèvres de Justine, qui semblait se nourrir de la soumission et de la souffrance de Martine. Elle fouilla dans son sac et en sortit une brosse ronde métallique, un outil de torture aussi effrayant que sa simple apparence. « Très bien, alors prépare-toi, » dit-elle avec un calme glaçant.

 

Sans perdre un instant, Justine commença par enfoncer doucement la brosse dans le vagin déjà meurtri de Martine. La sensation de la surface métallique contre ses parois sensibles provoqua immédiatement une nouvelle vague de douleur chez Martine, qui se tordit dans ses liens, gémissant et haletant. Mais Justine n’était qu’au début de son œuvre. Après ces premiers mouvements lents, elle enfonça l'outil plus brutalement, faisant tournoyer la brosse avec une force délibérée, griffant et lacérant l’intérieur de la vulve déjà ensanglantée.

 

Martine hurlait, son corps arc-bouté, entre douleur et jouissance. La brosse métallique déchiquetait littéralement les chairs internes de son vagin, chaque mouvement ajoutant une nouvelle dose de supplice à sa transe.

 

« On va abîmer l’intérieur, » déclara Justine, enfonçant un peu plus la brosse avec une brutalité sans pitié. « Monsieur, vous n’êtes pas près de baiser Madame à nouveau… Je vais l’abîmer à tel point qu’il vous faudra attendre un bon mois, si ce n’est plus. »

 

Puis, Justine, dans un éclat de perversité, se tourna vers le mari de Martine avec un clin d’œil provocateur : « Mais ne vous inquiétez pas, ma petite chatte sera là pour vous, en guise de dédommagement. »

 

Le mari, déjà submergé par l'excitation, se mordit les lèvres, partagé entre l'envie de protéger sa femme et l'excitation insoutenable que cette scène lui procurait. Pendant ce temps, Justine continuait son œuvre macabre, la brosse métallique devenant un instrument de destruction totale, transformant le vagin de Martine en une masse brûlante de douleur, de sang et de jouissance ultime.

 

Martine, malgré l'horreur de la situation, sentait une montée de plaisir inégalée, un orgasme tordu, déformé par la souffrance, qui la conduisait au bord de la folie. Elle hurlait, ses cris résonnant dans la pièce, alors que son corps tout entier se convulsait sous la violence de cette jouissance mêlée à la plus atroce des douleurs.

 

Martine, encore tremblante après cette explosion de sensations extrêmes, se sentait à la fois vidée et transcendée. Elle respirait difficilement, son corps frémissant sous les vagues résiduelles de douleur et de plaisir qui la traversaient encore. Elle n'avait jamais connu une telle intensité, un tel abandon total à la souffrance et à la jouissance. Chaque parcelle de son être semblait avoir été marquée par cette expérience, à la fois brûlée et libérée.

 

Justine, attentive et douce, s'approcha de Martine. Elle déposa un baiser tendre sur ses lèvres, comme pour sceller cette étrange connexion qui s'était établie entre elles à travers le supplice. Le contraste entre la brutalité du moment précédent et la douceur de ce geste était presque désarmant.

 

« Tu as été incroyable, » murmura Justine en caressant doucement la joue de Martine. « Repose-toi maintenant. »

 

Avec délicatesse, Justine prit une serviette propre et commença à nettoyer Martine. Elle essuya soigneusement le mélange de sang, de cyprine et de sueur qui maculait son corps. Le contact du tissu contre sa peau meurtrie était presque apaisant, chaque geste de Justine empreint d'une infinie patience. Martine, encore à moitié dans un état second, la laissa faire, se laissant porter par cette attention bienveillante.

 

« Viens, je vais te montrer la salle de bain. Tu mérites une bonne douche chaude, » dit Justine en l'aidant à se lever doucement.

 

Martine se sentait faible, mais chaque mouvement, bien que douloureux, semblait ancré dans une réalité plus profonde. Elle suivit Justine, son corps encore endolori, jusqu'à la salle de bain de la maison, une pièce simple et apaisante. Justine tourna les robinets, laissant l'eau chaude couler et emplir la pièce d'une vapeur réconfortante.

 

« Prends ton temps, » lui murmura Justine en lui tendant une tasse de thé fumante. « Ça va te faire du bien. »

 

Martine hocha la tête, reconnaissante, et s'immergea sous l'eau chaude. Les gouttes brûlantes glissaient sur sa peau meurtrie, apaisant doucement la douleur. Elle ferma les yeux, savourant le contact de l'eau qui lavait son corps et son esprit. Le thé, avec son parfum apaisant, réchauffait son intérieur alors que son corps commençait à retrouver un semblant de calme.

 

Ce moment de tranquillité était un contraste saisissant avec l'intensité de ce qu'elle venait de vivre. Elle se laissa porter par la chaleur de la douche et du thé, se sentant renaître doucement, comme si chaque goutte d'eau emportait un peu de cette douleur, mais aussi de cette catharsis ( Libération de tensions psychiques refoulées.) qu'elle n'avait jamais imaginée possible.

 

Après cet intermède de douceur et de réconfort offert par Justine, Martine se sentit peu à peu renaître, bien que son corps la rappelât à chaque instant des épreuves qu'elle venait de traverser. Son ventre, ses seins et surtout son sexe lui faisaient encore mal, la brûlure douce-amère des sévices laissée sur sa peau et dans sa chair. Mais malgré tout, elle n'avait jamais ressenti une telle vitalité, une telle intensité. Elle se sentait pleinement vivante.

 

En redescendant les escaliers, son mari la rejoignit, un sourire fier et complice sur le visage. La soirée tirait à sa fin, et tous les convives, y compris le couple, semblaient flotter sur un nuage, emplis d'une sorte d'extase partagée. Alors qu'ils s'apprêtaient à quitter la demeure, la maîtresse de maison, toujours élégante et maîtrisant la scène jusqu'au bout, rattrapa Martine au dernier moment. Avec un large sourire, elle lui tendit une enveloppe. « Voici vos gains du jeu de fléchettes pervers, chère amie. Vous les avez bien mérités. »

 

Martine, un peu surprise mais intriguée, accepta l'enveloppe avec un sourire complice, et le couple s'éloigna, main dans la main, dans les rues de Paris. Leurs pas résonnaient sur les pavés, illuminés par les lumières douces des réverbères. L'air frais de la nuit leur faisait du bien, et une sorte de calme serein s'était installé entre eux, remplissant chaque silence d'une complicité profonde. Arrivés à leur SUV, ils montèrent à l'intérieur, toujours aussi radieux.

 

Martine, curieuse, ouvrit finalement l'enveloppe. Ses yeux s’écarquillèrent légèrement en découvrant la somme : 3500 €. Les gains du jeu, un souvenir de cette soirée où elle avait bravé des limites qu'elle n'avait jamais osé franchir. Elle tourna son regard vers son mari, un mélange de surprise et de plaisir brillant dans ses yeux.

 

« J'espère que tu as été fier de moi, » murmura-t-elle, sa voix empreinte de tendresse et de malice.

 

Son mari la fixa intensément, avant de sourire et de l’embrasser avec passion, comme deux jeunes amoureux. Le baiser était empreint d'une intensité nouvelle, celle qu'ils avaient retrouvé ce soir-là, entre l'excitation, la douleur, et ce lien renforcé par leur expérience partagée. Le couple, plus uni que jamais, roula dans la nuit parisienne, emporté par cette nouvelle dynamique qui les rapprochait et les emplissait de désir.

 

© copyright Marc Vongotha 63


samedi 17 mai 2025

"Le Visionneur"

 




Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z


 Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique. 

Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.


Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.

 

Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.

 

Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.

 

J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.


"Le Visionneur"

 

Christian referma la porte d’entrée et poussa un soupir de soulagement. Enfin seul. Sa femme était partie tôt ce matin, tailleur noir, sac à main serré sous le bras, en lui lançant un rapide baiser sur la joue.

— Un rendez-vous qui va durer la journée, tu ne m’attends pas, hein ?

— Non, t’en fais pas… profites-en, avait-il répondu calmement.

 

Il avait déjà en tête ce qu’il ferait de cette matinée. Depuis quelques semaines, un malaise diffus le travaillait. Sa sexualité, ou plutôt son absence. Il n’osait pas trop y penser, mais il se sentait éteint. Avec sa femme, les rapports étaient devenus rares, routiniers, tendres mais fades. Le feu avait disparu. Et pourtant, Christian savait qu’il était encore capable de désirs puissants… déviants, même. Surtout déviants.

 

Il alluma son ordinateur portable. Le salon était baigné de silence. Pas besoin d’écouteurs aujourd’hui. Il ouvrit son navigateur et hésita. Pornhub ? Non. Trop banal. Il erra un moment, tapant des mots-clés qu’il n’aurait jamais osé dire à voix haute.

Puis, il tomba sur un site étrange, à l’interface épurée, presque clinique. "Rituels Secrets – Diffusion Privée".

 

Curieux, il cliqua.

 

Aucune liste de modèles ou de camgirls n’apparaissait. Juste des scénarios à sélectionner. Il cliqua sur celui qui attira immédiatement son attention :

 

"Une femme anonyme soumise à une séance de punition dans une cave aménagée. Vous êtes spectateur silencieux. Vous ne pouvez qu’observer. Elle ne sait pas qui regarde."

 

Un frisson remonta dans son dos. Il hésita. Puis il s’installa plus confortablement sur le canapé. Son sexe réagit immédiatement.

— Allez… une petite jouissance pour me détendre, murmura-t-il pour lui-même.

 

La vidéo se lança en direct. Image en noir et blanc.

Une pièce nue, froide. Une chaise en métal. Et elle.

 

La femme était déjà attachée. Une quarantaine d’années. Le genre de femme qu’il avait toujours fantasmé en secret. Une milf bien en chair, grande, lourde, nue, les poignets attachés dans le dos. Sa poitrine pendait, lourde et généreuse (au moins un 105D), ses tétons durcis, bousculés à chaque mouvement. Sa vulve était offerte, complètement rasée, exposée sans fard.

Elle avait les yeux bandés. Elle haletait déjà. On devinait la peur mêlée d’excitation.

 

Un homme entra dans le champ de la caméra. Visage masqué. Grand, silencieux. Il ne dit rien. Il inspecta le corps de la femme, le toucha du bout des doigts, lentement, s’attardant sur les seins, les fesses. Puis il saisit un martinet.

 

Christian se branlait lentement. Fasciné. Hypnotisé.

 

La première claque du cuir claqua sur la peau nue du ventre.

Puis une autre, sur l’intérieur des cuisses.

La femme gémit. Elle avait la bouche entrouverte, son souffle saccadé.

 

Christian ne regardait plus seulement une vidéo. Il était entré dans un autre monde. Un monde interdit. Un monde qui l’appelait.

 

Chaque coup, chaque cri, chaque tremblement de cette femme le faisait jouir intérieurement. Ce n’était pas de la pitié. C’était de l’adoration. Il la trouvait sublime dans sa souffrance offerte. Il se caressait plus vite.

 

Le bourreau pinça un téton, longuement, le tira, l’étira comme un morceau de pâte molle, avant d’y accrocher une pince métallique ornée d’un petit grelot.

Un gémissement aigu s’échappa de la gorge de la femme. Un autre téton suivit.

Christian s’imagina à la place de l’homme masqué. Puis à la place de la femme. Puis à nouveau bourreau.

 

La caméra zooma légèrement. La vulve. Gonflée. Brillante.

Le bourreau versa quelques gouttes d’un liquide transparent sur le clitoris exposé. La femme hurla.

— Huile pimentée ? songea Christian, stupéfait.

Le clitoris se mit à pulser, à rougir. La femme tentait de se tordre, mais les liens la maintenaient.

 

Christian n’en pouvait plus. Il jouit bruyamment, violemment, dans un râle étouffé, le sperme jaillissant sur son ventre, son tee-shirt.

 

Il resta là, pantelant, les yeux rivés à l’écran où la séance continuait.

 

Il venait de franchir une limite. Et il savait qu’il y reviendrait.

 

La révélation

 

Christian resta longtemps immobile après sa jouissance. Sa respiration était lente, profonde. Il avait fermé les yeux. Pas de culpabilité. Pas ce matin. Juste… le vertige d’un orgasme comme il n’en avait jamais connu. Pas même lors de ses premières fois. Pas même lors des rares moments de tendresse avec sa femme, quand leur corps se cherchait encore, il y a dix ans.

 

Il essuya machinalement son ventre, referma son pantalon… mais n’éteignit pas l’écran.

 

La vidéo était terminée.

En bas, une discrète mention apparut :

« Série : Clara, acte 3/12 – Femme ordinaire, douleurs extraordinaires. »

 

Christian cliqua.

 

Un menu s’ouvrit. Douze vidéos. Chaque titre plus énigmatique, plus intime :

 

    Acte 1 : Le consentement du silence

 

    Acte 2 : La première morsure

 

    Acte 3 : L’aveuglement heureux (celle qu’il venait de voir)

 

    Acte 4 : La cloche et le feu

 

    Acte 5 : L’oubli de soi…

 

Il s'arrêta un instant. Douze vidéos. Une série complète ? Était-ce une actrice ? Ou une vraie femme, une vraie vie ? Il cliqua sur le nom du profil.

Clara la vraie.

Une description minimaliste : « Je ne suis pas une actrice. Je suis une femme. Une envie. Une vérité. J'offre mes douleurs à ceux qui savent regarder. »

 

Christian sentit une tension sourde revenir dans son ventre. Elle était réelle.

Et plus encore : elle assumait.

 

Un souvenir l’assaillit, brutal. Il avait quinze ans. Il s’était masturbé pour la première fois, en cachette, sur un vieux catalogue de lingerie. Mais ce n’était pas les femmes en dentelle qui l’avaient excité. Non. C’était l’idée qu’on les forçait à poser. Qu’elles étaient à la merci d’un regard autoritaire.

Et déjà à l’époque, un vide s’était creusé en lui. Un vide jamais comblé.

 

Christian relança la vidéo numéro 1. "Le consentement du silence."

 

Clara, habillée cette fois. Un jean moulant, un débardeur trop petit pour sa poitrine imposante. Elle regarde la caméra, sans sourire.

— Je m’appelle Clara. Je suis une femme banale. Et je veux qu’on me maltraite.

Pause.

— Pas pour jouer. Pas pour faire croire. Mais pour sentir que je suis vraie. Que je suis vivante quand je souffre.

 

Christian en eut des frissons. Son sexe se redressa lentement. Pas de gestes brusques cette fois. Il regardait. Il buvait ses mots.

 

Clara poursuivait :

— Le sexe ? Je m’en fiche. Je peux baiser sans plaisir. Mais quand une main me gifle, quand une pince déchire mes chairs, là… là, je suis entière. Complète.

Elle ouvrit son jean.

— Je suis une femme du dedans. Pas du dehors. Je n’ai rien d’une star. Je suis molle, je suis nue, je suis offerte. Et je veux qu’on me déteste. Pour jouir d’être encore là après.

 

Christian sentit quelque chose céder en lui. Une digue. Un barrage qu’il avait construit durant toute sa vie d’homme rangé.

 

Il mit pause.

 

Il se leva, lentement, et alla se regarder dans le miroir du salon. Ses traits. Ses tempes grisonnantes. Ce ventre qui avait pris un peu de rondeur.

Mais ses yeux… ses yeux étaient pleins de feu.

 

— Je l’ai toujours su, souffla-t-il.

 

Sa main effleura son sexe encore gonflé.

— Ce n’est pas le cul que je veux. C’est le cri. C’est la vérité nue. Celle qu’on cache.

 

Ce jour-là, Christian ne regarda pas les autres vidéos. Il les garda comme un trésor, un secret précieux.

Mais il savait que rien ne serait plus jamais comme avant.

Il savait qu’un gouffre venait de s’ouvrir, et que le seul chemin vers lui-même passait par cette chute.

 

Le feu ancien

 

Christian ouvrit les yeux vers 8h.

La lumière pâle du matin filtrait à travers les rideaux tirés. Il était seul.

Sa femme, comme la veille, était déjà partie, laissant sur la table un mot bref :

"Réunion au centre, ne m’attends pas ce soir. Bisous."

 

Il n’avait pas faim.

Il n’avait pas envie de musique.

Juste du silence. Et de cette sensation étrange qui collait encore à sa peau.

Le souvenir de sa jouissance d’hier, violente, animale.

 

Rien à voir avec ce qu’il vivait avec sa femme.

Il y avait eu dans cette jouissance une espèce de vertige intérieur, quelque chose de plus grand que lui, qui l’avait traversé comme une vague, avec cette vidéo en fond — cette femme enrobée, nue, offerte à la douleur, à la volonté d’un autre.

 

Et il le savait maintenant : ce n’était pas nouveau.

C’était là depuis toujours.

 

Il fit couler un café et s’assit à la table de la cuisine. Les yeux perdus.

Il se souvenait de sa première érection.

D’un détail oublié.

 

Il avait 10 ans. Il était tombé par hasard sur une vieille BD qu’un cousin avait cachée dans une cabane, derrière la maison familiale. Un album avec des scènes grotesques, violentes, sadiques. Des femmes attachées, menacées. Des maîtresses au regard froid.

Il ne comprenait pas les dessins, mais il les regardait sans pouvoir décrocher.

 

Et une nuit, il avait rêvé. Une femme immense, en cuir noir, lui ordonnait de se mettre à genoux.

Il s’était réveillé mouillé, le pyjama collé à sa peau.

 

La honte avait été immense.

Mais le désir était resté.

Caché. Étouffé.

 

Il avait essayé, plus tard, de trouver ce frisson dans ses relations.

Mais les filles de son âge ne comprenaient pas.

Et il n’osait pas dire. Pas parler de ce qu’il voulait vraiment : qu’on le gifle. Qu’on le ligote. Qu’on lui dise quoi faire. Ou qu’il puisse le faire à une femme offerte, en larmes et heureuse.

 

Avec sa femme, au début, il avait espéré.

Elle était douce, bienveillante, mais elle n’avait jamais compris cette part sombre en lui.

Et il avait appris à jouer un rôle, à se contenter d’une tendresse fade.

 

Mais hier… cette femme sur la vidéo, cette MILF enrobée, offerte et nue…

Elle avait réveillé le feu.

Il avait joui comme un fou. Comme un homme qui retrouve son propre nom oublié.

 

Il monta à l’étage, entra dans la chambre.

La lumière du jour tombait sur le lit vide.

 

Il s’assit au bord.

Ferma les yeux.

Et laissa les images revenir.

 

La MILF, sur la vidéo. Ligotée. Haletante.

Et dans son imagination, quelque chose de plus précis :

Cette femme, il la connaît.

 

Pas elle, en vrai.

Mais sa silhouette. Son corps charpenté, sa poitrine lourde, ses grands yeux.

Ce n’est pas une actrice. C’est le fantasme primitif.

 

Un mélange de toutes les femmes qu’il a secrètement désirées.

Celles qu’il a croisées au supermarché. Une prof du collège. Une voisine.

Des femmes vraies. En chair. En autorité.

 

Et chaque fois qu’il fermait les yeux, c’était ce type de corps qui revenait.

Pas les mannequins maigres. Pas les stars porno.

Mais les femmes puissantes. Naturelles. Maternelles et impitoyables.

 

Il alla chercher une feuille, un carnet usé. Il n’écrivait jamais.

Mais là, il avait besoin de mettre un nom.

 

    "J’ai toujours su.

    Je veux être dominé.

    Je veux aussi dominer.

    Je veux me libérer de la honte.

    Je veux que ce soit vrai, profond, pas juste sexuel.

    Je veux découvrir qui je suis."

 

Il posa le carnet.

Et alluma l’ordinateur.

 

Mais pas pour une autre vidéo.

 

Pour chercher un forum.

Un espace où il pourrait lire. Apprendre.

Écouter les autres comme lui.

Et peut-être… parler.

 

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