Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z
Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique.
Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.
Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.
Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.
Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.
J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.
Le maître de cérémonie, élégant et
impassible, proposa un nouveau jeu pour pimenter la soirée : une partie de
fléchettes... mais cette fois, les cibles seraient les corps des femmes
présentes. Ce jeu était à la fois terrifiant et excitant pour les participantes,
qui offraient leur chair comme point d’ancrage pour les dards, dans une mise en
scène sadique.
La femme du couple, hésitante mais intriguée,
se laissa convaincre par les autres invités. Ses grandes lèvres, étirées par le
passé sous des poids lourds, semblaient parfaites pour ce type de jeu osé. Le
mari, quant à lui, souriait avec complicité, prêt à parier sur chaque tir et à
observer les réactions, à la fois de plaisir et de douleur, qui suivraient
chaque fléchette plantée dans la chair.
La soirée promettait d’être intense, et le
couple, bien qu’encore novice, savait qu’il était sur le point de franchir une
nouvelle limite dans ses explorations perverses...
Martine, malgré sa timidité apparente,
sentait une montée d'adrénaline irrésistible. Elle n'avait jamais participé à
quelque chose d'aussi osé et, même si la peur se mélangeait à l'excitation,
l'idée de gagner de l'argent avec chaque fléchette enfoncée dans sa chair lui
donnait un frisson particulier. Attachée fermement sur le dossier, son corps
exposé, elle ne pouvait plus reculer. Ses seins, lourds et naturels, pendaient
légèrement, avec des tétons érigés par la tension du moment. La visière opaque
du casque de moto lui bloquait complètement la vue, exacerbant ses sensations
et la plongeant dans un état d'attente angoissante.
Les règles étaient claires : 500 € par
fléchette dans les seins, et un bonus de 1500 € si une fléchette atteignait son
clitoris ou ses grandes lèvres, longues et exposées. Chaque coup
potentiellement douloureux devenait une promesse de gain substantiel. Martine,
qui n’avait jamais fait refaire sa poitrine malgré l’âge, se sentait
vulnérable. Mais la possibilité de jouer avec la douleur et l’argent stimulait
une partie d'elle qu'elle avait rarement explorée.
Le maître de cérémonie s’avança, brandissant
les fléchettes spécialement conçues pour ce jeu, leurs pointes acérées
scintillant sous la lumière tamisée de l'appartement. Les invités retinrent
leur souffle lorsque la première fléchette fut lancée. Elle fendit l’air, et un
instant plus tard, Martine sentit une douleur vive transpercer un de ses seins.
L’aiguille s'enfonça juste au-dessus de son téton droit, déclenchant un
gémissement qui résonna dans la pièce. Les autres invités applaudissaient,
certains déjà pariant sur le prochain tir.
Martine se sentait partagée entre l'angoisse
et l'excitation. La douleur montait en elle, mais avec chaque nouveau coup,
elle savait que son compte en banque se gonflait.
L'atmosphère dans la salle devint électrique,
presque suffocante. Chaque souffle semblait lourd de désir et d'excitation,
tandis que tous les regards restaient rivés sur Martine, attachée et offerte à
la violence consensuelle du jeu. Les invités, totalement nus, se laissaient
aller à leurs pulsions. Les hommes, leurs sexes en érection, se masturbaient
lentement, comme hypnotisés par le spectacle, tandis que les femmes, les yeux
brillant de sadisme, suivaient chaque mouvement de la scène avec avidité.
Quand vint le tour de la maîtresse de maison,
une femme charismatique à la main ferme, tout le monde retint son souffle. Son
regard perçant cherchait à humilier Martine, à lui infliger une douleur
calculée. Mais son tir manqua la cible, la fléchette transperçant le ventre
proéminent de Martine, provoquant un cri de surprise et de douleur. Le choc
inattendu fit frémir Martine, mais ce n'était qu'un avant-goût de ce qui
l'attendait. Elle serrait les dents, consciente que son corps était désormais
un terrain de jeu pour ces invités assoiffés de sensations fortes.
Un homme tenta à son tour sa chance, mais sa
fléchette glissa au sol, échappant à la cible. Il y eut quelques rires nerveux,
mais l'excitation ne baissait pas.
Ce fut ensuite le tour de la fille des
organisateurs, une jeune femme de 21 ans, au visage angélique mais à l'âme
perverse, connue pour son amour du contrôle et du sadisme. Elle prit son temps
pour ajuster son tir, ses yeux fixés avec intensité sur Martine. Le silence
s'épaissit lorsqu’elle visa les tétons gonflés de désir et de tension.
La fléchette partit dans un sifflement
rapide, traversant la pièce comme une lame acérée. Un cri de pure douleur
jaillit des lèvres de Martine lorsqu’elle sentit la pointe percer son téton
gauche, s’enfonçant profondément dans la chair sensible de son sein. Le choc de
la douleur figea son corps, tandis que la jeune femme souriait d’un air
satisfait, observant avec plaisir l’effet de son coup.
Martine tremblait sous l’intensité de la
douleur, sa poitrine brûlante, son souffle saccadé. La fléchette restait
plantée dans son sein, son téton perforé saignant légèrement. La jeune femme,
jouissant du pouvoir qu’elle exerçait sur cette « vieille femme » de cinquante
ans, ne quittait pas des yeux sa proie, un éclat cruel dans le regard.
La tension dans la salle monta encore d'un
cran. Tout le monde savait que le véritable spectacle n'était qu'à son début.
Les autres invités allaient à leur tour pouvoir viser des zones plus intimes,
où chaque fléchette augmenterait non seulement la douleur, mais aussi la
récompense.
La salle était silencieuse, tous les regards
fixés sur Martine, étendue dans une posture humiliante, ses jambes écartées et
attachées aux étriers. Son sexe, exposé de manière impudique, devint le centre
de l'attention. Le maître de maison, observant la scène avec une satisfaction
perverse, se retourna vers les invités avec un sourire. « On va commencer »,
dit-il d'une voix rauque.
Martine, dans sa position vulnérable,
ressentait un mélange d'excitation et de terreur. Elle, qui vivait une vie si
monotone, de femme au foyer, mère de famille dévouée, se retrouvait là, dans
une pièce pleine d'inconnus, offerte comme un objet à leur désir. Cette
dualité, entre son rôle quotidien et cette perversion secrète, la plongeait
dans une transe masochiste. Son cœur battait la chamade, et chaque souffle
était chargé d'anticipation.
Un homme se dirigea vers la table où les
fléchettes étaient soigneusement disposées, prêt à en saisir une. Mais avant
qu'il ne puisse aller plus loin, une voix l'arrêta net : « Stop ! »
C'était la fille perverse des organisateurs,
celle qui avait déjà planté une fléchette dans le sein de Martine. Son sourire
sadique s'étira encore plus, tandis qu'elle avançait d'un pas lent vers
Martine. « Non », dit-elle avec une froide détermination. « Il faut que sa
chatte soit bien ouverte, sinon, vous allez viser quoi ? Ses lèvres ? »
Elle quitta la pièce un instant, pour revenir
avec un sac contenant de grandes pinces spécialement conçues pour des jeux
BDSM. Ces pinces, accompagnées d'élastiques, allaient forcer l'ouverture de la
vulve de Martine de façon obscène et sans pitié.
Avec une précision clinique, la jeune femme
attacha les pinces aux grandes lèvres de Martine, tirant sur les élastiques
jusqu'à ce que sa vulve soit béante, exposée sans défense. Martine, bien que
prise de douleur, ne pouvait ignorer l’excitation qui montait en elle. La
sensation des ongles de la jeune femme s'enfonçant légèrement dans la chair
sensible de ses organes génitaux l’envoya dans une spirale de plaisir et de
souffrance.
Les élastiques étaient fixés solidement aux
cuisses de Martine, maintenant sa vulve grande ouverte, impudique. Aucun détail
ne pouvait être caché aux invités. Son sexe ruisselait de mouille, une lueur
blanche de sécrétions s’étalant autour de l'entrée de son vagin. C’était un
spectacle à la fois dégradant et profondément érotique pour ceux qui
regardaient.
La jeune femme recula enfin, laissant la
place aux autres joueurs. « Maintenant, c’est parfait », dit-elle, un éclat de
satisfaction dans les yeux. Elle se lécha discrètement les doigts, comme pour
savourer la sensation des chairs intimes de Martine sous ses ongles.
La salle, plus excitée que jamais, attendait
que le premier joueur prenne son tour, visant cette vulve devenue la cible
ultime.
Le silence se fit lourd dans la pièce alors
que le mari de Martine se leva, un sourire nerveux aux lèvres. Tous les regards
étaient braqués sur lui. La tension monta encore d’un cran, l’excitation
palpable dans l’air. Il s'approcha de la table où les fléchettes étaient
soigneusement alignées, ses doigts hésitant un instant avant de choisir celle
qui lui paraissait la plus affûtée. Son cœur battait à toute vitesse, partagé
entre son envie de protéger sa femme et celle de participer pleinement à ce jeu
cruel.
Le maître de maison se pencha vers lui, un
rictus sadique déformant son visage. « Allez, mon cher ami. Vous êtes le mieux
placé pour abîmer ce trésor. Ne vous inquiétez pas, votre femme est excitée.
Mais... visez bien. Envoyez-lui ce missile de douleur. Elle souffrira pour
vous, pour votre plaisir. »
Le mari prit une grande inspiration, fixant
le sexe béant de Martine, maintenu grand ouvert par les pinces. Son regard se
durcit alors qu’il se concentrait. Il se souvenait de toutes les soirées où
Martine lui avait confié ses fantasmes les plus sombres, son besoin de douleur
pour atteindre l'extase. Il savait, au fond de lui, que c’était pour ce moment
qu’ils étaient ici.
Avec une précision calculée, il lança la
fléchette. Elle fendit l’air, traversant la distance en un éclair, pour se
planter avec une précision chirurgicale dans la lèvre droite de Martine. La
fléchette, si affûtée, transperça facilement la chair délicate de son sexe, la
douleur irradiant instantanément à travers tout son corps.
Martine hurla, un cri déchirant de douleur
mêlée à un plaisir intense. La souffrance était brutale, mais elle était aussi
ce qu’elle cherchait depuis si longtemps. Elle sentit une vague de chaleur
envahir son ventre, des picotements se répandre dans tout son corps, alors que
son esprit se perdait dans cette douce torture. C’était son mari qui l'avait
fait, qui lui avait infligé cette souffrance, et cela rendait l'acte encore
plus puissant.
Elle souffrait pour lui, pour son plaisir.
Ses lèvres tremblèrent alors qu’elle essayait de murmurer son nom, ses yeux se
fermant dans une transe masochiste.
Le visage de Martine était tordu de douleur,
mais ses yeux trahissaient une excitation féroce. Le sang coulait lentement de
la lèvre transpercée, se mêlant à ses fluides intimes qui s'écoulaient sans
retenue. Sa cyprine, mélange de désir et de douleur, coulait le long de ses
cuisses tremblantes, témoignant de son état d’excitation incontrôlable.
Alors que l'assemblée retenait son souffle,
un couple d’invités plus âgés s'avança. Ils devaient avoir dans les 80 ans,
mais ils semblaient encore pleins d'énergie, portés par des pulsions sadiques
qui brûlaient dans leurs veines. La vieille femme, aux seins flasques tombant
comme des gants de toilette, fixait Martine avec un regard froid et cruel.
Quant à l’homme, bien qu’âgé, il bandait avec une fermeté surprenante, son
petit sexe visible et ruisselant de mouille.
Pour eux, Martine n’était plus une personne,
mais un simple morceau de viande offert à leur perversité. Ils échangèrent un
regard complice avant de prendre chacun une fléchette entre leurs doigts ridés
mais précis. Ils visaient bien, avec une froide détermination qui faisait
frémir les autres invités.
« C'est parti », dit l'homme, un sourire
tordu sur le visage.
Sans hésitation, ils tirèrent ensemble. Deux
fléchettes volèrent à travers la pièce, se plantant avec une précision glaçante
dans la lèvre droite déjà meurtrie de Martine. La douleur fut instantanée,
brutale, comme si son sexe se déchirait sous l'impact. Trois nouveaux trous
transpercèrent la chair sensible de ses grandes lèvres, aggravant la blessure
infligée par son mari.
Le corps de Martine se tordit sous l’effet du
choc, ses jambes tremblant dans les étriers. Mais contre toute attente, elle ne
faiblit pas. Son clitoris, exposé et tendu, était gonflé à l'extrême, bandé à
mort sous l'effet de cette torture insoutenable. Elle était à la limite de
l’extase, poussée au bord par la douleur et l’humiliation, son souffle court et
saccadé.
Le vieux couple sourit avec satisfaction en
regardant l’état dans lequel ils avaient plongé cette femme. Martine, malgré
les cris et la souffrance, était encore plus excité qu’auparavant, son corps
tout entier vibrant d’un désir masochiste qu’elle ne contrôlait plus.
Martine se sentait envahie par une vague de
désir incontrôlable, malgré la souffrance insoutenable qui traversait tout son
corps. Son mari, debout non loin, bandait comme un taureau, l’excitation
montant à chaque hurlement de sa femme, à chaque flèche perçant ses chairs
intimes. Il était fier d’elle, de cette endurance qu’elle montrait malgré la
douleur. Lui-même avait envie de la prendre sur le champ, de défouler sa rage
et son plaisir sur cette vulve meurtrie, maintenant complètement offerte à la
brutalité des invités.
Les gémissements de Martine s’intensifièrent,
une pulsion incontrôlable de se masturber la gagnant, bien qu’elle soit
complètement attachée, incapable de se soulager. Ses mains liées, elle n’avait
aucun moyen d’atteindre son sexe en feu. La frustration se mélangeait à
l'excitation, l'amenant à un point de non-retour.
« Bande de bâtards ! Vous êtes tous
incapables de viser mon bouton ! » cria-t-elle avec défi, le visage rougi par
l’adrénaline et la douleur. « Profitez-en, vous n’aurez plus l’occasion de le
toucher ! Allez, tirez plus vite, comme des mitrailleuses ! »
Sa provocation fit monter l’intensité de la
scène d’un cran. Plusieurs personnes, excitées par ses mots, prirent rapidement
des fléchettes et commencèrent à tirer coup sur coup, chacune visant de plus en
plus près ses organes génitaux. Martine reçut des flèches dans le creux de ses
cuisses, une autre perça la lèvre gauche de sa vulve déjà gonflée par le sang
et l’excitation.
Puis, enfin, quelqu’un réussit à percer les
petites lèvres, si délicates et sensibles. Martine hurla à nouveau, mélangeant
douleur et jouissance dans un cri sauvage qui résonna dans la pièce. Mais c’est
la fille des organisateurs, cette jeune perverse, qui apporta le coup de grâce.
Elle s’approcha un peu plus près, sa main serrant la fléchette comme si elle
voulait marquer un point décisif. Avec une précision sadique, elle visa et
lança.
La fléchette se planta directement dans le
clitoris de Martine, perçant le bouton gonflé d’excitation. Un silence tendu
tomba dans la salle, suivi d’un tonnerre d’applaudissements. La jeune femme,
victorieuse, se pencha sur Martine pour admirer son œuvre, observant avec
satisfaction le sang qui coulait doucement de la petite plaie sur le clitoris.
Mais elle n'en resta pas là. Avec un sourire
cruel, elle saisit la fléchette plantée dans le clitoris de Martine et la fit
bouger légèrement, faisant tourner la douleur d'un cran supplémentaire. Martine
se cambra, son cri déchirant l'air tandis que la douleur se transformait en une
jouissance insupportable. Le sang coulait encore plus fort, et la jeune femme,
dans un dernier geste de sadisme, pinça le clitoris blessé avec ses ongles
avant de le sucer avidement, goûtant au mélange de douleur, de sang, et de désir
de la femme martyrisée.
Martine était au bord de l’évanouissement,
son corps brûlant de douleur et de plaisir, incapable de savoir où l’un
commençait et où l’autre finissait. Elle n’avait jamais ressenti une telle
intensité dans toute sa vie.
Justine, la jeune femme perverse et excitée,
se pencha vers Martine, son souffle chaud effleurant son oreille tandis qu’elle
lui murmurait avec une intensité sadique : « Veux-tu jouir dans la douleur,
Martine ? Veux-tu jouir comme jamais auparavant ? »
Martine, plongée dans un état de transe
masochiste, à la fois submergée par la douleur et l’excitation, répondit sans
hésitation, presque en suppliant : « Oui… Sois ma bourrelle, Justine… Abîme ma
chatte… Brûle-la… Défonce-la jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien… »
Un sourire cruel s’étira sur les lèvres de
Justine, qui semblait se nourrir de la soumission et de la souffrance de
Martine. Elle fouilla dans son sac et en sortit une brosse ronde métallique, un
outil de torture aussi effrayant que sa simple apparence. « Très bien, alors
prépare-toi, » dit-elle avec un calme glaçant.
Sans perdre un instant, Justine commença par
enfoncer doucement la brosse dans le vagin déjà meurtri de Martine. La
sensation de la surface métallique contre ses parois sensibles provoqua
immédiatement une nouvelle vague de douleur chez Martine, qui se tordit dans
ses liens, gémissant et haletant. Mais Justine n’était qu’au début de son
œuvre. Après ces premiers mouvements lents, elle enfonça l'outil plus
brutalement, faisant tournoyer la brosse avec une force délibérée, griffant et
lacérant l’intérieur de la vulve déjà ensanglantée.
Martine hurlait, son corps arc-bouté, entre
douleur et jouissance. La brosse métallique déchiquetait littéralement les
chairs internes de son vagin, chaque mouvement ajoutant une nouvelle dose de
supplice à sa transe.
« On va abîmer l’intérieur, » déclara
Justine, enfonçant un peu plus la brosse avec une brutalité sans pitié. «
Monsieur, vous n’êtes pas près de baiser Madame à nouveau… Je vais l’abîmer à
tel point qu’il vous faudra attendre un bon mois, si ce n’est plus. »
Puis, Justine, dans un éclat de perversité,
se tourna vers le mari de Martine avec un clin d’œil provocateur : « Mais ne
vous inquiétez pas, ma petite chatte sera là pour vous, en guise de
dédommagement. »
Le mari, déjà submergé par l'excitation, se
mordit les lèvres, partagé entre l'envie de protéger sa femme et l'excitation
insoutenable que cette scène lui procurait. Pendant ce temps, Justine
continuait son œuvre macabre, la brosse métallique devenant un instrument de
destruction totale, transformant le vagin de Martine en une masse brûlante de
douleur, de sang et de jouissance ultime.
Martine, malgré l'horreur de la situation,
sentait une montée de plaisir inégalée, un orgasme tordu, déformé par la
souffrance, qui la conduisait au bord de la folie. Elle hurlait, ses cris
résonnant dans la pièce, alors que son corps tout entier se convulsait sous la
violence de cette jouissance mêlée à la plus atroce des douleurs.
Martine, encore tremblante après cette
explosion de sensations extrêmes, se sentait à la fois vidée et transcendée.
Elle respirait difficilement, son corps frémissant sous les vagues résiduelles
de douleur et de plaisir qui la traversaient encore. Elle n'avait jamais connu
une telle intensité, un tel abandon total à la souffrance et à la jouissance.
Chaque parcelle de son être semblait avoir été marquée par cette expérience, à
la fois brûlée et libérée.
Justine, attentive et douce, s'approcha de
Martine. Elle déposa un baiser tendre sur ses lèvres, comme pour sceller cette
étrange connexion qui s'était établie entre elles à travers le supplice. Le
contraste entre la brutalité du moment précédent et la douceur de ce geste
était presque désarmant.
« Tu as été incroyable, » murmura Justine en
caressant doucement la joue de Martine. « Repose-toi maintenant. »
Avec délicatesse, Justine prit une serviette
propre et commença à nettoyer Martine. Elle essuya soigneusement le mélange de
sang, de cyprine et de sueur qui maculait son corps. Le contact du tissu contre
sa peau meurtrie était presque apaisant, chaque geste de Justine empreint d'une
infinie patience. Martine, encore à moitié dans un état second, la laissa
faire, se laissant porter par cette attention bienveillante.
« Viens, je vais te montrer la salle de bain.
Tu mérites une bonne douche chaude, » dit Justine en l'aidant à se lever
doucement.
Martine se sentait faible, mais chaque
mouvement, bien que douloureux, semblait ancré dans une réalité plus profonde.
Elle suivit Justine, son corps encore endolori, jusqu'à la salle de bain de la
maison, une pièce simple et apaisante. Justine tourna les robinets, laissant
l'eau chaude couler et emplir la pièce d'une vapeur réconfortante.
« Prends ton temps, » lui murmura Justine en
lui tendant une tasse de thé fumante. « Ça va te faire du bien. »
Martine hocha la tête, reconnaissante, et
s'immergea sous l'eau chaude. Les gouttes brûlantes glissaient sur sa peau
meurtrie, apaisant doucement la douleur. Elle ferma les yeux, savourant le
contact de l'eau qui lavait son corps et son esprit. Le thé, avec son parfum
apaisant, réchauffait son intérieur alors que son corps commençait à retrouver
un semblant de calme.
Ce moment de tranquillité était un contraste
saisissant avec l'intensité de ce qu'elle venait de vivre. Elle se laissa
porter par la chaleur de la douche et du thé, se sentant renaître doucement,
comme si chaque goutte d'eau emportait un peu de cette douleur, mais aussi de
cette catharsis ( Libération de tensions psychiques refoulées.) qu'elle n'avait
jamais imaginée possible.
Après cet intermède de douceur et de
réconfort offert par Justine, Martine se sentit peu à peu renaître, bien que
son corps la rappelât à chaque instant des épreuves qu'elle venait de
traverser. Son ventre, ses seins et surtout son sexe lui faisaient encore mal,
la brûlure douce-amère des sévices laissée sur sa peau et dans sa chair. Mais
malgré tout, elle n'avait jamais ressenti une telle vitalité, une telle
intensité. Elle se sentait pleinement vivante.
En redescendant les escaliers, son mari la
rejoignit, un sourire fier et complice sur le visage. La soirée tirait à sa
fin, et tous les convives, y compris le couple, semblaient flotter sur un
nuage, emplis d'une sorte d'extase partagée. Alors qu'ils s'apprêtaient à
quitter la demeure, la maîtresse de maison, toujours élégante et maîtrisant la
scène jusqu'au bout, rattrapa Martine au dernier moment. Avec un large sourire,
elle lui tendit une enveloppe. « Voici vos gains du jeu de fléchettes pervers,
chère amie. Vous les avez bien mérités. »
Martine, un peu surprise mais intriguée,
accepta l'enveloppe avec un sourire complice, et le couple s'éloigna, main dans
la main, dans les rues de Paris. Leurs pas résonnaient sur les pavés, illuminés
par les lumières douces des réverbères. L'air frais de la nuit leur faisait du
bien, et une sorte de calme serein s'était installé entre eux, remplissant
chaque silence d'une complicité profonde. Arrivés à leur SUV, ils montèrent à
l'intérieur, toujours aussi radieux.
Martine, curieuse, ouvrit finalement
l'enveloppe. Ses yeux s’écarquillèrent légèrement en découvrant la somme : 3500
€. Les gains du jeu, un souvenir de cette soirée où elle avait bravé des
limites qu'elle n'avait jamais osé franchir. Elle tourna son regard vers son
mari, un mélange de surprise et de plaisir brillant dans ses yeux.
« J'espère que tu as été fier de moi, »
murmura-t-elle, sa voix empreinte de tendresse et de malice.
Son mari la fixa intensément, avant de
sourire et de l’embrasser avec passion, comme deux jeunes amoureux. Le baiser
était empreint d'une intensité nouvelle, celle qu'ils avaient retrouvé ce
soir-là, entre l'excitation, la douleur, et ce lien renforcé par leur
expérience partagée. Le couple, plus uni que jamais, roula dans la nuit
parisienne, emporté par cette nouvelle dynamique qui les rapprochait et les
emplissait de désir.
© copyright Marc Vongotha 63