Sensualité
et Soumission : Récits SM Classiques
Le
personnage de la vieille Dame le fil rouge de plusieurs histoires
La
vieille dame, figure centrale des récits, est une véritable légende dans
l'univers sadomasochiste que vous dépeignez. Ressemblant à une sorcière de
contes, elle est vieille, ridée, avec des mains noueuses et un regard perçant
qui semble lire au plus profond des désirs cachés. On murmure qu'elle aurait
été bourreau sous l'Occupation, bien que cette rumeur soit teintée de mystère.
Elle ne travaille pas pour l'argent, bien qu'elle en possède en abondance. Pour
elle, la torture est une drogue, un besoin viscéral, presque surnaturel.
Elle
attire des hommes et des femmes de toutes conditions, des plus riches aux plus
pauvres, leur offrant la "prime de la douleur" comme un prétexte pour
ne pas avouer leurs pulsions masochistes. Pourtant, elle voit clair dans leur
jeu. Qu'ils viennent pour l'argent ou non, tous sont là pour la même raison :
explorer les limites de la douleur et trouver un plaisir dans la souffrance.
Cette
vieille dame, sans scrupule ni pitié, aime particulièrement manipuler et
malmener les organes génitaux de ses victimes, prenant un plaisir cérébral
intense à les abîmer, à les déformer pour leur donner ce qu'ils demandent,
parfois même plus. Elle est une experte dans l’art de décupler la douleur, que
ce soit avec des instruments de torture ou des méthodes plus subtiles.
Claudine, Clara et tant d'autres ont appris que, sous ses mains, la douleur
devient une expérience transcendante, une jouissance pure.
Elle
incarne la peur et le désir, à la fois mythique et bien réelle.
L’homme Partie II
La
vieille dame, toujours assise dans son fauteuil en cuir usé, le regard perçant,
observe l'homme se dévêtir sans hésitation. Il est nerveux, mais résolu. Elle
sent l'excitation monter en lui, une pulsion intense qui ne peut s'exprimer que
par la douleur. Le silence dans la pièce est lourd, brisé seulement par le
cliquetis métallique des outils qu'elle prépare.
"Viens
te placer sur le fauteuil," ordonne-t-elle d'une voix rauque mais
autoritaire.
L'homme
obéit, son sexe déjà tendu, pulsant d'anticipation. Elle s'approche lentement,
prenant tout son temps pour savourer le moment. La vieille dame saisit une
paire de pinces particulièrement imposantes. Elle les fait glisser lentement le
long de son sexe, comme une caresse perverse avant la véritable torture. Son
sourire est vicieux, presque gourmand.
"Tu
es ici pour souffrir... et je vais m'assurer que tu ne l'oublieras
jamais," murmure-t-elle.
D'un
geste précis, elle serre la pince sur la peau lisse de ses testicules, étirant
la chair avec une force contrôlée mais implacable. Un gémissement de plaisir
mêlé de douleur s’échappe des lèvres de l’homme, ses yeux brillants de cette
folie perverse qu’il attendait. Elle augmente la pression lentement, savourant
chaque instant, chaque spasme.
"Ah…
tu aimes ça, n'est-ce pas?" Elle pince plus fort, tirant les testicules
comme si elle allait les arracher. "La douleur… c’est ton seul moyen de
bander."
Elle
relâche un instant pour attraper un fouet à lanières, dont les bouts sont
garnis de pointes métalliques. Avec une précision calculée, elle frappe
directement son sexe. Le sang perle légèrement, et la douleur le fait
tressaillir encore plus. La vieille dame éclate d’un rire guttural,
profondément satisfaite par l’effet qu’elle produit sur lui.
Le
supplice continue, mais dans chaque geste, il y a une intention psychologique.
Elle veut le briser, le pousser au-delà de ses limites. Chaque pincement,
chaque coup est une danse perverse qui allie sadisme et une sorte de domination
mentale. Pour la vieille dame, ce n’est pas qu'une question de violence, mais
un art de détruire l’âme par la chair.
L’homme,
malgré la douleur, jouit presque dans un état de transe. Il est enfin en
présence de quelqu’un qui ne le juge pas, qui comprend cette faim destructrice
qu’il porte en lui.
L’homme
se tenait debout, nu, face à la vieille dame, une étrange excitation visible
dans ses yeux. Son sexe, déjà dur, témoignait de l’effet que cette situation
avait sur lui, malgré la peur qui semblait l’étreindre. La vieille dame, avec
un sourire pernicieux, l’observait de la tête aux pieds.
« Tu n’as
pas honte ? » demanda-t-elle, presque d’un ton moqueur. « Regarde-moi ce sexe
en érection, prêt à être abîmé… C’est ça que tu veux ? Tu te complais dans
cette idée, n’est-ce pas ? »
Il hocha
doucement la tête, son souffle déjà plus court. « Oui, Madame… J’ai besoin de
souffrir pour jouir. »
Elle
s’approcha lentement, ses doigts noueux caressant l'air autour de ses cuisses,
sans encore le toucher. « Alors, dis-moi… Quand est-ce que tu as commencé à
rêver de te faire mutiler ? Quelle scène t’a donné cette envie ? »
Son
regard se fit fuyant, la réponse brûlait ses lèvres. « Je… Je ne sais plus.
Toujours, peut-être… La douleur, elle fait partie de moi… »
La
vieille dame éclata d’un rire rauque, presque inhumain. « Oh, je vais te
rafraîchir la mémoire. » Elle attrapa une pince rouillée et saisit ses
testicules d’une poigne ferme, les écrasant doucement. « Alors, ça, c’est une
douleur que tu n’oublieras pas… »
Il gémit,
mais la douleur ne fit que durcir son érection. « C’est… parfait, Madame. Ne
vous arrêtez pas… »
D’un
geste précis, elle tira la pince avec plus de force, sentant la peau tendre
sous ses doigts trembler, presque prête à se déchirer. « Et ce sexe, là… ce que
tu appelles ton plaisir… Il est à moi, maintenant. Tu ne le reverras peut-être
plus dans le même état. »
Elle
attrapa son sexe de 20 cm, lisse et palpitant, et fit coulisser une fine lame
froide tout contre le dessous du gland. « Et si je décidais d'y laisser ma
marque ? De te transformer à jamais ? »
Il
haleta, son corps entre douleur et extase. « Faites ce que vous voulez… Je suis
à vous. »
La
vieille dame le regarda dans les yeux, cherchant la moindre hésitation dans son
esprit. « On verra combien de temps tu tiendras. » Puis, lentement, elle
commença à entailler la peau délicate du gland, chaque coupure libérant un
filet de sang chaud.
«
Maintenant, dis-moi, tu veux pleurer ? Ou bien tu veux continuer jusqu’à ce que
je te brise complètement ? »
L'homme
tressaillait sous la douleur vive qui pulsait dans son sexe, déjà malmené par
les entailles profondes. Le liquide séminal, mélangé à des gouttes de sang,
perlait du méat, preuve de son excitation désespérée. Son sexe était rigide,
presque douloureusement dur, alors que la vieille dame s'affairait à le
torturer sans pitié.
Elle prit
une poignée de gros sel, ses doigts noueux agrippant les cristaux rugueux, et
sans hésitation, elle les pressa contre le gland ensanglanté. L'homme laissa
échapper un cri étouffé, un mélange de douleur et de plaisir mêlés dans un
tourbillon dévastateur.
« C'est
ça que tu veux ? Sentir ton sexe se déchirer, se consumer sous mes doigts ? »
grogna-t-elle, en serrant le gland entre ses doigts, appuyant pour que chaque
grain de sel pénètre les coupures.
L'homme
ne put que hocher la tête, son souffle court, haletant sous l'intensité de la
souffrance. Ses jambes tremblaient, mais son érection, loin de fléchir,
semblait au contraire se durcir davantage.
La
vieille dame se mit alors à masturber violemment son sexe, serrant le gland
meurtri entre ses doigts. Les mouvements étaient brusques, saccadés, chaque
va-et-vient arrachant encore plus la peau fragile du gland. Le sel broyait la
chair vive, exacerbant la douleur jusqu'à ce que chaque nerf soit en feu.
Les yeux
de l'homme roulaient en arrière sous l'effet de la torture, mais au fond de
lui, il sentait une étrange libération. Cette douleur, aussi insupportable
soit-elle, le poussait à ses limites, exactement ce qu'il recherchait depuis si
longtemps.
Sans
cesser son supplice, la vieille dame versa alors de l'huile pimentée sur le
gland ouvert. Le liquide brûlant coula sur la peau lacérée, infiltrant chaque
entaille, chaque fissure laissée par la violence de la torture. L'homme hurla
cette fois, un cri perçant qui résonna dans la pièce, mais son sexe ne faiblit
pas. Il bandait encore, presque mécaniquement, prisonnier de cet état de
souffrance extatique.
« Tu
souffres, n’est-ce pas ? » murmura la vieille dame, en jouissant visiblement de
son contrôle absolu. « Mais tu en veux encore… Tu es pathétique, mais je vais
te donner tout ce que tu mérites. »
Elle se
pencha sur lui, ses yeux plissés d'un plaisir sadique, et tout en serrant de
nouveau le gland sous ses doigts, elle le regarda se débattre entre l'extase et
la douleur insupportable.
« Oh, tu
n’as aucune idée de ce qui t'attend, » répondit-elle avec un sourire cruel, les
yeux brillants de malice. La vieille dame s’approcha davantage, observant le
sexe en érection, déjà bien abîmé par le gros sel et l’huile pimentée. Elle
semblait savourer chaque seconde, chaque tressaillement incontrôlable de
l’homme à sa merci.
Elle
attrapa une pince métallique sur la table, les mâchoires froides et pointues
luisant sous la lumière tamisée. Avec une lenteur calculée, elle approcha la
pince du gland, maintenant boursouflé et sanguinolent. Elle pinça doucement, au
début, la peau déjà fragilisée par les supplices précédents. Puis, sans
avertissement, elle serra violemment, enfonçant les pointes métalliques dans la
chair sensible.
L'homme
hoqueta de douleur, son corps tremblant sous la violence du geste, mais son
sexe restait dur, bandé malgré lui. C'était cette douleur extrême qui
nourrissait son excitation dépravée, et il en redemandait.
« Voilà,
regarde ton pauvre sexe. Tu le sens se déchirer ? Ça t'excite, n’est-ce pas ? »
susurra la vieille dame en tordant légèrement la pince, tirant sur le gland
comme pour l’étirer, jusqu’à ce que la peau se tende à l'extrême. Puis, elle
relâcha la pince, laissant une marque violacée sur le gland, un sillon
enflammé.
Elle n'en
avait pas terminé. Elle déposa la pince et se saisit d'une longue aiguille à
tricoter, l’examinant comme si elle choisissait l’instrument parfait. Ses
doigts ridés, mais précis, approchèrent l'aiguille du méat du pénis. « Tu veux
sentir la douleur jusqu’au plus profond de toi-même, n’est-ce pas ? »
Elle
enfonça doucement l'aiguille dans l’ouverture du méat, glissant lentement à
l’intérieur, centimètre par centimètre. L’homme serra les dents, son visage
déformé par l'angoisse mêlée d'une excitation perverse. La sensation
d’envahissement, cette aiguille froide pénétrant son canal urinaire, déclencha
une vague de douleur intense qui résonna dans tout son corps.
Mais il
ne pouvait que hocher la tête, les mots incapables de sortir de sa bouche. Son
sexe, lui, semblait tout droit sorti d'un cauchemar : rouge, gonflé, tremblant
sous les assauts inhumains.
La
vieille dame retira l’aiguille d’un coup sec, avant de sortir un briquet de sa
poche. Elle alluma une petite flamme et la passa juste au-dessus de la peau du gland,
suffisamment près pour que la chaleur intense commence à brûler, mais sans
toucher directement la chair.
« Regarde
comment il frissonne, ton pauvre sexe... Il sait ce qui vient. »
Et enfin,
elle approcha le briquet de la base des testicules, brûlant légèrement les
poils pubiens avant de passer à l'action. Elle pinça la peau tendue entre ses
doigts, l’approchant de la flamme jusqu’à ce qu’une odeur de chair brûlée
s’échappe, et que la douleur devienne insupportable.
L’homme
ne pouvait plus tenir. Chaque fibre de son corps se tendait sous l’effet de
cette torture, mais son sexe restait dur comme une pierre, presque aussi
insensible que s'il était devenu une machine à souffrir.
«
Continue de souffrir pour moi... montre-moi à quel point tu es désespéré de
jouir sous la douleur. »
La
vieille dame ne laissait pas de répit. Elle attrapa un fouet fin, avec de
petites pointes en métal à son extrémité, et le fit claquer sur le gland et les
testicules pendants. Chaque coup était précis, infligeant une douleur aiguë,
mais calculée. Elle frappait de plus en plus fort, laissant des marques rouges
sur le sexe tendu.
S'approchant
encore, elle murmura : "Ton sexe n’a jamais été aussi beau, aussi abîmé,
n’est-ce pas ?" Elle plaça un étau métallique autour de la base du pénis
et le serra lentement, empêchant le sang de circuler correctement, intensifiant
l’érection jusqu’à la douleur insoutenable.
Le sexe
de l'homme, maintenant gonflé à l'extrême, pulsait sous l'effet de la
contrainte et de la douleur. Le liquide séminal s'écoulait en petites gouttes,
alors que la torture le menait aux limites de son endurance. La vieille dame
continua à tordre et à pincer le gland, ajoutant de nouvelles couches de
douleur, jouant avec chaque fibre de souffrance pour le conduire vers un
orgasme douloureux et extatique.
"Tu
m'as demandé d'abîmer ce sexe", dit-elle en lui plantant une dernière
aiguille juste à la base du gland. "Et je ne vais pas m’arrêter tant que
tu n’auras pas tout donné."
La
vieille dame, satisfaite de la tension extrême dans l'air, ressentait une
excitation perverse en voyant l'homme à sa merci. Le sexe tendu, meurtri, était
encore plus bandé qu'auparavant, la douleur et le plaisir se mélangeant dans un
cocktail de sensations insupportables. Elle lui murmura doucement, presque avec
tendresse : "Tu es encore loin d'avoir tout donné... Je vais te pousser
plus loin."
Elle
s'empara d’un petit marteau, et commença à frapper doucement la tête du sexe,
juste au niveau du gland, avec des coups légers mais réguliers, chaque impact
envoyant des vagues de douleur aigüe à travers son corps. L'homme tressaillait,
mais ne détournait pas les yeux, plongé dans une transe masochiste. Son visage
était trempé de sueur, les muscles de son corps se tordaient sous l'effet du
supplice, et son sexe continuait de pulser de façon incontrôlable.
"Tu
aimes ça… sentir chaque coup résonner en toi, hein ? Regarde-le, ce sexe abîmé,
il est plus beau comme ça, plus vulnérable, plus brut." La vieille dame
enfonça ses ongles pointus dans le gland déjà meurtri, traçant des sillons
rouges dans la peau fine. Elle approcha ensuite un petit couteau qu’elle avait
soigneusement affûté. "Ce couteau a servi à tant de choses… aujourd'hui,
c’est ton tour." D’un geste précis, elle entailla délicatement la peau
sous le gland, juste assez pour laisser perler des gouttes de sang, mais sans
infliger de dommages permanents.
Ensuite,
elle prit un briquet et approcha la flamme du bout du gland, suffisamment près
pour que l'homme sente la chaleur sans pour autant être brûlé. Elle jouait avec
la flamme, la rapprochant et la retirant, savourant chaque spasme incontrôlable
de son corps. "Tu veux plus ? Tu es un bon maso, tu sais ça ? Tu mérites
chaque instant de cette torture."
La
vieille dame continua son jeu, alternant entre la brûlure de la flamme et des
coups secs du marteau sur le gland. Puis, elle prit une fine corde en cuir,
qu'elle enroula fermement autour des testicules, serrant à chaque tour pour
augmenter la tension, les gonflant de douleur. "Je vais te vider... mais à
ma façon." Elle tira violemment sur la corde, étirant les couilles
pendantes au maximum, avant de les frapper plusieurs fois avec le manche de son
fouet.
L'homme
gémit de plaisir et de douleur, les deux sensations se mêlant jusqu'à devenir
inséparables. Son sexe était maintenant en feu, littéralement, entre les
blessures, les coups, et l'huile pimentée qui continuait à brûler chaque partie
sensible de son corps.
Elle
s'arrêta un instant, le laissant respirer, avant de reprendre la pince qu'elle
avait utilisée plus tôt. "Tu te souviens de cette pince, n'est-ce pas ?
Elle t’a fait mal... mais ce n'était rien comparé à ce qui vient." Elle la
referma sur le gland, serrant si fort que la peau fragile commença à craquer
sous la pression. Puis, sans prévenir, elle tira la pince d'un coup sec,
provoquant un hurlement de souffrance de la part de l'homme. Mais derrière ce
cri, elle pouvait sentir le plaisir brut qui montait en lui.
"Maintenant,
jouis pour moi, avec ce sexe abîmé. Jouis de la douleur, car c’est tout ce que
tu es, un esclave du plaisir par la souffrance."
La
vieille dame observait l'homme, tremblant, épuisé, tandis qu'il éjaculait, son
sperme mêlé à la sueur et au sang qui maculait son sexe abîmé. Elle le
regardait avec un sourire de satisfaction, ses vieux doigts encore agrippés à
la pince, maintenant desserrée. Le liquide blanc jaillissait avec force,
contraste macabre contre la peau meurtrie et rougie du gland en sang.
Elle
relâcha lentement son emprise et posa la pince sur la table à côté, tout en
continuant de caresser son sexe gonflé, encore palpitant sous la douleur et
l'excitation. "C'est exactement ce que je voulais," murmura-t-elle
d’une voix rauque. "Je suis heureuse que tu aies joui ainsi. Regarde-toi,
un vrai homme, capable de trouver la jouissance dans la douleur la plus
profonde... ton gland est en sang, ton corps a souffert, et pourtant, tu jouis
comme jamais."
Elle se
leva, se tenant fièrement devant lui, et observa la scène avec un mélange de
fierté et de fascination sadique. "C'est ça, le véritable art du supplice.
Je ne suis pas là pour te briser complètement… juste assez pour que tu
reviennes encore et encore, assoiffé de plus de douleur, de plus de
perversion."
L'homme
haletait, encore sous le choc de la jouissance intense qui avait traversé son
corps. Le mélange de douleur et de plaisir avait été si violent qu'il peinait à
se remettre. Ses mains tremblaient, ses jambes fléchissaient, mais il n'avait
pas honte, loin de là. Il se sentait étrangement libre, comme s'il avait trouvé
une nouvelle forme d'accomplissement dans cette torture si précise, si
calculée.
La
vieille dame approcha doucement, une serviette à la main, mais au lieu de
l'essuyer doucement, elle appuya fermement sur le gland ensanglanté, arrachant
un dernier cri de douleur à l’homme. "Oui, jouis dans ta souffrance. Ton
sexe est abîmé, mais tu reviendras… tu reviendras toujours."
© copyright Marc Vongotha 63