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samedi 12 avril 2025

Les Arcanes de la Nuit Profane

 



Et la nuit étend son voile maléfique, 

Enserrant la terre dans une étreinte obscure...

Dans l'ombre profonde, le temps s'efface, s'évapore,

 Ne laissant que l'instant, fugitif et intense.

Cachée dans l'obscurité, la pulsion diabolique

 Se libère, déchaînée, impérieuse.

Lorsque minuit sonne, les adeptes de Lucifer émergent de l'obscurité,

Se rassemblant en des lieux secrets pour célébrer

 Des messes noires empreintes de luxure.

Les femmes, envoûtées par des désirs inavoués

 Abdiquent devant la tentation,

S'abandonnant aux plaisirs charnels et aux sévices

 Qui mêlent jouissance et souffrance. 

Leurs corps se tendent, leurs esprits s'enflamment,

Aspirant à rencontrer la Bête impure qui les possédera entièrement.

Dans ces rituels interdits, elles trouvent une libération,

une communion avec l'obscurité qui les emplit d'une extase profane.

Le temps devient éternité, chaque seconde, 

Une morsure éphémère d'extase et de tourment.

Chacun traverse la nuit différemment : 

Certains y trouvent un abri, une paix fugace ;

D'autres s'égarent dans ses labyrinthes, prisonniers d'un désir sans fin.

Dans les méandres du vice et de la luxure, elles s'abandonnent.

Leurs chairs s'embrasent, gonflées de désir, 

Tandis que leurs esprits se corrompent,

Se livrant aux succubes infernaux, échos charnels d'une damnation voulue.



vendredi 7 mars 2025

Les Arcanes de la Nuit Profane

 









dimanche 2 mars 2025

Les Arcanes de la Nuit Profane

 


Et la nuit étend son voile maléfique, 

Enserrant la terre dans une étreinte obscure...

Dans l'ombre profonde, le temps s'efface, s'évapore,

 Ne laissant que l'instant, fugitif et intense.

Cachée dans l'obscurité, la pulsion diabolique

 Se libère, déchaînée, impérieuse.

Lorsque minuit sonne, les adeptes de Lucifer émergent de l'obscurité,

Se rassemblant en des lieux secrets pour célébrer

 Des messes noires empreintes de luxure.

Les femmes, envoûtées par des désirs inavoués

 Abdiquent devant la tentation,

S'abandonnant aux plaisirs charnels et aux sévices

 Qui mêlent jouissance et souffrance. 

Leurs corps se tendent, leurs esprits s'enflamment,

Aspirant à rencontrer la Bête impure qui les possédera entièrement.

Dans ces rituels interdits, elles trouvent une libération,

une communion avec l'obscurité qui les emplit d'une extase profane.

Le temps devient éternité, chaque seconde, 

Une morsure éphémère d'extase et de tourment.

Chacun traverse la nuit différemment : 

Certains y trouvent un abri, une paix fugace ;

D'autres s'égarent dans ses labyrinthes, prisonniers d'un désir sans fin.

Dans les méandres du vice et de la luxure, elles s'abandonnent.

Leurs chairs s'embrasent, gonflées de désir, 

Tandis que leurs esprits se corrompent,

Se livrant aux succubes infernaux, échos charnels d'une damnation voulue.






















vendredi 28 février 2025

Sous la lumière pâle de la lune

 



Sous la lumière pâle de la lune, elle s'abandonne, nue et vulnérable, aux ténèbres voraces. Les monstres de la nuit s'agitent, leurs ombres déformées se glissent sur son corps offert comme une prière interdite. Les vieux lubriques, figés entre la vie et la mort, tendent leurs doigts squelettiques vers sa peau douce, tandis que les momies réveillent leurs désirs enfouis sous des siècles de bandelettes et de poussière. Elle est à eux, un sacrifice vivant à leurs fantasmes morbides, et dans son regard brille une étincelle... celle d'un plaisir coupable et interdit.


© copyright Marc Vongotha 63


samedi 22 février 2025

Les Arcanes de la Nuit Profane

 




Et la nuit étend son voile maléfique, 

Enserrant la terre dans une étreinte obscure...

Dans l'ombre profonde, le temps s'efface, s'évapore,

 Ne laissant que l'instant, fugitif et intense.

Cachée dans l'obscurité, la pulsion diabolique

 Se libère, déchaînée, impérieuse.

Lorsque minuit sonne, les adeptes de Lucifer émergent de l'obscurité,

Se rassemblant en des lieux secrets pour célébrer

 Des messes noires empreintes de luxure.

Les femmes, envoûtées par des désirs inavoués

 Abdiquent devant la tentation,

S'abandonnant aux plaisirs charnels et aux sévices

 Qui mêlent jouissance et souffrance. 

Leurs corps se tendent, leurs esprits s'enflamment,

Aspirant à rencontrer la Bête impure qui les possédera entièrement.

Dans ces rituels interdits, elles trouvent une libération,

une communion avec l'obscurité qui les emplit d'une extase profane.

Le temps devient éternité, chaque seconde, 

Une morsure éphémère d'extase et de tourment.

Chacun traverse la nuit différemment : 

Certains y trouvent un abri, une paix fugace ;

D'autres s'égarent dans ses labyrinthes, prisonniers d'un désir sans fin.

Dans les méandres du vice et de la luxure, elles s'abandonnent.

Leurs chairs s'embrasent, gonflées de désir, 

Tandis que leurs esprits se corrompent,

Se livrant aux succubes infernaux, échos charnels d'une damnation voulue.