Le
personnage de la vieille Dame le fil rouge de plusieurs histoires
La
vieille dame, figure centrale des récits, est une véritable légende dans
l'univers sadomasochiste que vous dépeignez. Ressemblant à une sorcière de
contes, elle est vieille, ridée, avec des mains noueuses et un regard perçant
qui semble lire au plus profond des désirs cachés. On murmure qu'elle aurait
été bourreau sous l'Occupation, bien que cette rumeur soit teintée de mystère.
Elle ne travaille pas pour l'argent, bien qu'elle en possède en abondance. Pour
elle, la torture est une drogue, un besoin viscéral, presque surnaturel.
Elle
attire des hommes et des femmes de toutes conditions, des plus riches aux plus
pauvres, leur offrant la "prime de la douleur" comme un prétexte pour
ne pas avouer leurs pulsions masochistes. Pourtant, elle voit clair dans leur
jeu. Qu'ils viennent pour l'argent ou non, tous sont là pour la même raison :
explorer les limites de la douleur et trouver un plaisir dans la souffrance.
Cette
vieille dame, sans scrupule ni pitié, aime particulièrement manipuler et
malmener les organes génitaux de ses victimes, prenant un plaisir cérébral
intense à les abîmer, à les déformer pour leur donner ce qu'ils demandent,
parfois même plus. Elle est une experte dans l’art de décupler la douleur, que
ce soit avec des instruments de torture ou des méthodes plus subtiles.
Claudine, Clara et tant d'autres ont appris que, sous ses mains, la douleur
devient une expérience transcendante, une jouissance pure.
Elle
incarne la peur et le désir, à la fois mythique et bien réelle.
Clara Jeune Femme ronde Maso 1 er RDV
C'est le
premier rendez-vous de cette jeune femme hermaphrodite avec la vieille dame,
une rencontre pleine de promesses et de mystère. Alors qu'elle s'avance vers la
porte de cette demeure cachée dans les bois, elle repense aux paroles de son
amie, lui parlant des plaisirs intenses et des douleurs exquises que la vieille
dame savait administrer.
Tremblante,
à la fois de désir et d’appréhension, elle frappe. La porte s’ouvre lentement,
révélant une silhouette voilée dans l'ombre.
« Entre
», murmure la vieille dame avec une voix rauque, l’invitant dans une ambiance
feutrée, où des chandelles vacillent, projetant des ombres inquiétantes sur les
murs.
« Alors,
c'est toi, la jeune femme dont m'a parlé ton amie ? » demande la vieille, un
sourire malicieux étirant ses lèvres. « Tu es là pour jouir, n'est-ce pas ?
Mais aussi pour souffrir... Il faudra que tu sois prête à tout. »
La jeune
femme hoche la tête, sentant déjà son corps réagir à l'idée de ce qu'elle
pourrait endurer. Son énorme clitoris commence à se tendre, comme une petite
verge qui pointe vers le sol, trahissant son excitation.
« Enlève
tes vêtements », ordonne la vieille dame en s'approchant d'elle lentement, une
main ridée tendue vers ses seins lourds. « Ici, il n’y a pas de honte, seulement
le plaisir à travers la douleur. »
La
vieille dame observe la jeune femme avec une lueur de convoitise dans les yeux,
son sourire s'étirant encore plus alors qu'elle bave légèrement, fascinée par
ce corps qu'elle va bientôt maltraiter. Elle n’a jamais vu une créature comme
elle, avec ses deux sexes imposants, une poitrine massive et tombante, ses
énormes tétons semblables à des petits doigts. C'est un festin de chair et de
souffrance qui l'attend.
« Oh, ma
chère, tu es une rareté, un véritable trésor de douleur », murmure la vieille
dame en caressant lentement la peau pâle et flasque des seins de la jeune
femme. « Je ne te ferai pas de cadeau. Ici, il n'y a pas de place pour la
pitié. Ce corps, ces chairs... tout sera travaillé avec soin, et tu ressentiras
chaque coup, chaque torsion. »
La jeune
femme frissonne d'anticipation. Enfin, quelqu'un la regarde avec désir, même si
ce désir est cruel et sadique. « Je veux que vous fassiez tout... mes seins,
mon sexe... je veux que ça brûle, que ça pince, que ça saigne s’il le faut. »
La
vieille dame s'empare d'une pince posée sur une table non loin, la faisant
doucement claquer devant le visage de la jeune femme, comme un avertissement de
ce qui l'attend. « Je vais commencer par tes tétons, ces gros boutons
ridicules... Nous allons les rendre aussi durs que des pierres, à force de
tirer et pincer. Puis, nous nous occuperons de cette vulve étrange et de ton
clitoris qui ressemble plus à une petite verge. Je vais le torturer comme s'il
s'agissait d'un sexe d’homme, tu comprendras enfin ce que c’est que de hurler
sous la douleur. »
La jeune
femme, tremblante, écarte légèrement ses jambes, dévoilant son sexe double et
tendu d’excitation. Elle se prépare à ressentir des douleurs qu’elle n'a jamais
connues, mais qu'elle a toujours désirées. La vieille dame s’approche plus
près, ses mains tremblant d’excitation, prête à s’emparer de cette montagne de
chair et à la transformer en un tableau de souffrance.
La
vieille dame sourit en entendant la réponse de Clara. "Je vois que tu es
vraiment avide de sensations fortes. Très bien, écarte bien tes jambes pour
moi." Clara obéit immédiatement, son immense corps tremblant légèrement
d'excitation. Elle fut installée dans une chaise gynécologique SM spécialement
modifiée pour ce type de séance, ses chevilles solidement attachées par des
sangles aux étriers.
La
vieille dame s'approcha avec une satisfaction évidente. Elle fit passer une
large sangle de déménagement autour du ventre massif de Clara, la serrant avec
un cliquet, l'empêchant de bouger. Clara haletait, son sexe hermaphrodite en
pleine érection, tandis que des gouttes de fluides s'écoulaient déjà de sa
vulve. "Tu bandes déjà, hein ?" murmura la vieille dame en observant
la réaction de Clara. "Je vais te faire ce que tu attends depuis si
longtemps."
La
vieille dame, excitée par la demande de Clara, attrapa une pince métallique et
commença à pincer délicatement les grandes lèvres de sa vulve et son clitoris
impressionnant. Elle prenait plaisir à sentir la chair sous la pression de
l’acier, mais Clara la regarda avec des yeux fiévreux.
"Plus
fort, Madame... ne retenez rien. Abîmez-moi cette vulve, ces mamelles. Je ne
veux aucune pitié. Je suis venue en sachant exactement ce que je voulais, ce
que j'attendais de vous."
La
vieille dame plissa les yeux, amusée par cette insistance. Elle raffermit la
prise sur la pince et appuya plus fort, faisant grincer les dents de Clara. Le
clitoris hermaphrodite bandait encore plus sous la douleur, comme une petite
verge que la torture faisait palpiter. La vieille dame déplaça la pince,
serrant ses seins tombants, ses tétons gros comme des petits doigts. Elle se
laissa guider par les cris et les suppliques de Clara, qui réclamait encore
plus de douleur.
La
vieille dame, sans la moindre hésitation, retourna à l'entrejambe de Clara, ses
yeux pétillant de sadisme. Elle attrapa à nouveau la pince, cette fois avec
plus de détermination. Elle pinça les grandes lèvres, puis les tordit
lentement, tirant sur elles jusqu'à ce que la peau soit étirée au maximum,
frôlant la rupture. Les gémissements de Clara se transformèrent en cris
rauques, mais elle ne fléchit pas, son excitation croissant en même temps que
la douleur.
La
vieille dame passa ensuite à ce clitoris étonnamment développé, une véritable
petite queue de 14 cm. Elle serra la pince autour du gland, le tordant avec une
force presque inhumaine, l'amenant vers elle comme un trophée de chair torturé.
D'une autre main, elle attrapa une petite brosse métallique qu'elle avait posée
à côté, puis, avec un sourire sadique, elle frotta durement le gland,
provoquant une irritation intense. Clara gémit encore plus fort, la douleur
s'intensifiant à mesure que le sang commençait à couler du gland blessé, mais
la vieille dame continua de serrer la pince, tordant davantage le sexe,
savourant chaque cri de souffrance et chaque goutte de sang.
"Tu
m'avais demandé de ne pas avoir de pitié... et tu n'en auras pas," murmura
la vieille dame d'une voix rauque.
Clara,
dans un état de transe, savourait chaque instant de cette douleur intense. La
vieille dame, sans une once de pitié, continua son œuvre, enfonçant les
hameçons dans les grandes lèvres de Clara, ajoutant les poids d'un kilo qui
tirèrent avec force. Clara hurla, mais ses cris n'étaient pas seulement de
douleur, mais aussi de libération et d'un plaisir déroutant.
Les
hameçons, suspendus à ces lèvres torturées, semblaient tirer toute la tension
du corps de Clara, et la vieille dame, excitée par cette vision, ne montra
aucun signe de relâchement. Elle ajouta encore un poids, la peau déjà tendue
atteignant une limite presque insoutenable, mais Clara, entre deux souffles
haletants, réussit à murmurer :
«
Encore... plus fort... »
La
vieille dame, fascinée par cette demande, se pencha vers Clara, un sourire
cruel aux lèvres, prête à pousser les limites du supportable.
La
vieille dame, avec un regard sadique, saisit une bouteille de sauce pimentée
qu'elle versa généreusement sur le clitoris de Clara, tendu comme une petite
queue. La sensation de brûlure fut instantanée, arrachant un cri étouffé de la
gorge de Clara, qui se cambra sur la chaise gynécologique. Mais ce n'était que
le début. Sans attendre, la vieille dame enfonça ses doigts enduits de piment
dans le vagin de Clara, étalant la sauce à l'intérieur, provoquant une
sensation de feu.
Clara
haletait, à la limite entre la douleur insoutenable et un plaisir intense, ses
jambes tremblantes, mais elle n'en avait pas assez. Elle en voulait plus. Ses
seins lourds se soulevaient au rythme de sa respiration, tandis que la vieille
dame sortit une brosse à cheveux en poils de sanglier. Sans ménagement, elle
commença à frotter la brosse contre le gland irrité et le clitoris de Clara, la
friction brutale amplifiant la douleur et le plaisir en même temps.
Chaque
mouvement de la brosse arrachait des gémissements à Clara, qui bandait toujours
plus fort sous l’effet de l’excitation. Son corps entier était en feu, et
pourtant, elle en réclamait davantage, son esprit perdu dans ce mélange de
souffrance et de désir.
La
vieille dame savourait chaque instant, le regard perçant, concentré sur son «
œuvre ». C’était pour elle bien plus qu’un simple acte de torture, c’était un
art, un jeu mental où elle contrôlait chaque aspect de la souffrance et du
plaisir. Le corps de Clara était une toile brute, et elle se délectait de
chaque cri, chaque spasme. Son sadisme était profondément cérébral, une
orchestration méticuleuse des sensations extrêmes. Elle voyait les réactions de
Clara non pas comme des marques de faiblesse, mais comme une danse de l'esprit
et du corps, un jeu de domination totale.
Tout en
frottant la brosse de poils durs sur le gland et le clitoris enflé de Clara, la
vieille dame ne pouvait réprimer un sourire sinistre. Les lanières de peau
fragiles des lèvres vulvaires tendues par les hameçons, la peau rougie et
irritée, les spasmes de la chair sous l’effet des brûlures du piment... tout
cela formait une symphonie de douleur parfaitement orchestrée. Elle sentait la
résistance de la peau et la tension dans les muscles de Clara sous ses mains
expertes, et cela ne faisait qu’accroître son plaisir. Pour elle, il s'agissait
d'une maîtrise absolue, une jouissance qui n’avait rien de sexuel, mais une
exaltation mentale à briser les limites du corps humain.
Pendant
ce temps, Clara, submergée par un torrent d’émotions, se laissait aller dans
cet abîme de souffrance délibérée. Chaque pincement sur son clitoris
hyperdéveloppé, chaque mouvement de la brosse qui frottait son sexe déjà gonflé
et irrité, lui arrachait un mélange de cris et de gémissements. La douleur
était intense, mais son excitation montait en flèche, défiant toute logique.
Les hameçons plantés dans ses grandes lèvres, tirés par les poids, provoquaient
une sensation d’étirement à la limite de l’insupportable, mais Clara ne voulait
rien d'autre. Elle jouissait non seulement de la douleur physique, mais aussi
de l'horreur et du plaisir d'être soumise ainsi à la volonté implacable de
cette femme cruelle.
Chaque
coup de la brosse devenait une vague plus violente, chaque friction
intensifiait la brûlure du piment, et Clara sentait que ses limites étaient
repoussées plus loin qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Pourtant, elle voulait
encore plus. Son esprit, déchiré entre la souffrance et le plaisir, trouvait
dans cette agonie un chemin vers une jouissance qu'elle n'avait jamais atteinte
seule. Ses gémissements devenaient plus rauques, plus incontrôlés, et la
vieille dame, attentive à la moindre réaction de son corps, accélérait encore,
savourant ce contrôle absolu.
La
vieille dame se pencha alors vers l’oreille de Clara, son souffle chaud et
rauque contrastant avec l’atmosphère froide de la pièce. "Tu veux
souffrir, n’est-ce pas ?", murmura-t-elle avec une tendresse morbide.
"Je vais te détruire... pièce par pièce, te réduire en un tas de
sensations brutes, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus… mais tu vas aimer
chaque seconde, n’est-ce pas ?" Clara, incapable de répondre, hocha
simplement la tête, le souffle court, les yeux fermés, perdue dans l'intensité
de l'instant.
La
vieille dame continua son œuvre, en prenant un plaisir malsain à intensifier
chaque torture, tout en épiant les moindres signes d’extase sur le visage de
Clara. Pour elle, le véritable plaisir résidait dans ce moment fragile où la
douleur et la jouissance se confondaient, où elle pouvait voir le visage de sa
victime se tordre d’une souffrance pure qui devenait, paradoxalement, un chemin
vers une forme de délivrance perverse.
À chaque
instant, elle réfléchissait à de nouvelles façons de travailler cette chair
offerte. Peut-être qu’après cette session, elle irait encore plus loin dans ses
techniques, faisant de Clara un sujet d’expérimentation pour ses désirs
sadiques les plus profonds...
Clara,
dans cette première rencontre SM, ressent un mélange de peur et d'excitation
intense. Alors qu'elle est attachée fermement à la chaise gynécologique, chaque
geste de la vieille dame accentue son désir, amplifié par la douleur. Lorsque
la vieille dame étale la sauce pimentée sur son clitoris bandé et insère ses
doigts trempés dans son vagin, l'effet brûlant est immédiat. La sensation est à
la fois insoutenable et délicieusement perverse, une torture qu'elle accueille
avec gratitude.
La
vieille dame, sadique et froide, savoure mentalement chaque gémissement, chaque
cri de Clara. Elle observe cette jeune femme déformée par ses excès, ce corps
qu'elle considère comme une montagne de chair à travailler, à modeler à sa
manière. En prenant la brosse à cheveux en poils de sanglier, elle commence à
la frotter durement contre le gland du clitoris démesuré de Clara, sa main
restante ferme, implacable. Les mouvements sont violents, calculés, cherchant à
maximiser la douleur sans précipiter l’extase.
Clara,
elle, est submergée par un plaisir qu'elle n'avait jamais connu, en transe,
oubliant toute pudeur. Chaque coup de brosse sur son sexe engorgé est un délice
cruel qui la pousse vers une jouissance que seul le sadisme de la vieille dame
peut lui offrir. L'épaisse sauce pimentée intensifie la brûlure, tandis que les
poids suspendus à ses lèvres tirées la maintiennent dans un état de tension
insupportable.
La
vieille dame sourit, satisfaite de son œuvre, son esprit s'envolant dans une
jouissance psychologique qu’elle retire du contrôle absolu qu’elle exerce sur
Clara. "Tu vois, petite, la douleur, c’est le chemin vers la
libération," murmure-t-elle doucement, savourant chaque instant où Clara
se tord, où son corps semble franchir les limites du supportable. Clara, pour
la première fois de sa vie, se sent vue, reconnue dans ses désirs les plus
obscurs, et elle ne veut plus jamais quitter cet état de souffrance jouissive.
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copyright Marc vongotha 63