vendredi 14 février 2025

Exécution sur la Place du Marché

 





Plongée dans l'Extrême : Histoires BDSM Réservées aux Connaisseurs

 

Attention, ces récits ne sont pas pour tout le monde. Ici, nous explorons les limites les plus sombres et profondes de l'esprit humain, là où le plaisir se mêle à la douleur, où le pouvoir s'exprime dans sa forme la plus brute. Ces histoires sont cruelles, brutales, et réservées aux adultes avertis – très avertis. Si vous êtes à la recherche de lectures douces, passez votre chemin.

 

Vous avez été prévenu(e). Ces pages sont un voyage sans retour au cœur des désirs inavouables, des pulsions les plus extrêmes, et des tabous brisés. Âmes sensibles, s’abstenir.




La place du marché grouille d'excitation, une tension palpable traverse la foule qui s'agite, avide du spectacle promis en ce jour si particulier. Les échoppes, habituellement bruyantes de marchands hurlant leurs prix, semblent étrangement silencieuses. Tous les regards sont tournés vers la scène de bois, où les dispositifs de torture luisent sous le soleil. Aujourd'hui, la mort n'est pas banale ; elle est publique, cruelle, nécessaire pour laver les péchés et apaiser la colère divine.

 

C'est la première fois que je me trouve là, à attendre avec cette impatience morbide que j'avais toujours ressentie de loin. Ce jour-là, pourtant, je suis décidé à me tenir à l'avant, à voir chaque détail, chaque frémissement de chair. Je veux voir la sorcière souffrir.

 

La foule se divise soudain, ouvrant un chemin étroit dans lequel apparaît une silhouette frêle, trébuchant derrière le cheval de l'huissier. Ce n'est pas une charrette qui la porte cette fois, mais ses propres jambes tremblantes qui la mènent à sa perdition. Un pilori est fixé à son cou, lourd de chaînes, et des pinces rouillées pendent autour d'elle, cliquetant à chaque pas. Elle porte déjà les instruments de sa propre souffrance, comme une effigie de sa culpabilité.

 

Son visage est un masque de terreur, mais quelque chose dans ses yeux me perturbe – une lueur, un éclat qui défie encore. Ce n'est pas une simple victime. C'est une sorcière, accusée des crimes les plus odieux, ceux que même les confesseurs chuchotent dans la crainte des enfers. La rumeur dans la foule est que ses dépravations incluent non seulement des actes contre Dieu, mais des pratiques avec le Diable lui-même.

 

Les bourreaux sont déjà en place, impatients eux aussi. Ils s'affairent autour de la scène, préparant les outils qui, sous peu, mordront sa chair. Les cordes, les fers, et les pinces, tous sont alignés avec une précision macabre, comme si le moindre faux geste pouvait souiller la solennité de l'instant.

 

La sorcière grimpe péniblement les marches, poussée par l'huissier qui la force à avancer. Le bois craque sous ses pieds, écho de ce qui l'attend. Le premier cri ne tarde pas. Les pinces s'enfoncent dans sa chair, un hurlement déchire l'air, mais la foule reste immobile, hypnotisée par cette symphonie de douleur. Moi, je m'approche un peu plus, les yeux rivés sur la scène, le cœur battant, excité par la promesse du spectacle.

 

Car aujourd'hui, quelque chose s'est réveillé en moi. Une soif, une curiosité pour cette douleur, ce pouvoir. Les bourreaux ne sont pas les seuls à infliger des tortures ici. Moi aussi, dans mon regard avide, je participe à ce supplice. Je suis un spectateur,

 

La sorcière avance péniblement, son corps nu exposé à la lumière crue du jour et aux regards avides de la foule. Ses jambes sont marquées de traces violacées, souvenirs des tortures qu’elle a déjà subies. Je la regarde passer devant moi, captivé par cette scène. Elle est plus âgée que la plupart des autres condamnées que j’ai pu entendre parler – une femme entre 45 et 55 ans, issue des villages environnants. On dit qu’elle a pactisé avec le Diable, qu’elle a commis des actes si impies que même ses voisins ont dénoncé ses crimes. Mais malgré son âge et la brutalité à laquelle elle a déjà été soumise, son corps conserve une beauté étrange et dérangeante.

 

Ses seins, énormes et larges, sont ligotés si étroitement que les cordes en cuir enfoncent profondément dans sa chair, les forçant à ressortir comme deux boules rondes, gonflées sous la pression. La peau autour des liens est devenue violette, la circulation du sang interrompue, exacerbant leur vulnérabilité. En les voyant, mon ventre se contracte. Ces seins, soumis à cette violence, sont une source d’excitation perverse pour moi. Je ne suis pas le seul. Autour de moi, certains hommes, et même quelques femmes, jettent des regards complices, les lèvres pincées, tandis que d'autres dissimulent mal leur trouble.

 

Je me surprends à bander. Le sang afflue vers mon sexe à mesure que la sorcière grimpe les marches de l'estrade. Son corps, brisé mais toujours étrangement désirable, me fascine. Mon souffle s’accélère et je sens cette montée inexorable en moi, une excitation coupable que je tente de dissimuler. Mais tout autour, je vois d’autres spectateurs, les joues rougies, se cacher eux aussi derrière leurs capes ou leurs vêtements. Certains hommes, le visage tendu, ne peuvent s’empêcher de se masturber discrètement, leurs mains glissant sous leurs manteaux. Même certaines femmes, que l’on croirait effarouchées par un tel spectacle, restent immobiles, les joues empourprées, fascinées par la souffrance de la condamnée.

 

Elle se tord sous les coups, chaque convulsion de son corps un aveu de plus de sa culpabilité, chaque cri une confirmation de son pacte avec le Diable. Mais plus elle souffre, plus la foule semble en demander, avide de cette agonie qui semble ne jamais s'épuiser. Pour moi, c'est comme une danse, une danse lente et déformée, où la souffrance est le langage, où les gestes sont une prière à un dieu impitoyable.

 

Je ne peux détourner les yeux. Ses bras, étirés, se disloquent sous la tension des cordes, sa peau se lacère sous les griffes métalliques. La sorcière se meurt, mais elle le fait en me fascinant. Son corps tremble encore, ses cris résonnent dans mes oreilles bien après que sa voix s'est éteinte. C'est une image qui restera gravée en moi, un souvenir de cette première exécution, qui, je le sais, ne sera pas la dernière.


Le pilori est enfin retiré du cou de la sorcière, ses bras libres pendant un court instant avant qu’on ne les attache à nouveau. Elle est placée contre un mât au centre de la scène, face à la foule. Une large planche hérissée de pointes coniques en fer et de losanges acérés attend de lacérer sa peau. Ses pieds nus glissent un instant avant de se poser sur les pointes, la forçant à se tenir debout sur ces instruments de torture, tandis que ses mains sont tirées au-dessus de sa tête et liées ensemble avec une corde. Son dos est arqué, sa peau tendue, exposée aux griffures imminentes des pointes. Les premières gouttes de sang perlent doucement de son dos alors qu’elle se cambre de douleur, ses jambes cherchant désespérément un appui moins douloureux, mais chaque mouvement aggrave la situation.

 

Le bourreau s’approche, le fouet à la main. La tension est palpable, chaque personne autour de moi suspendue à ses gestes. Lorsque le fouet fend l’air pour la première fois, il s’abat violemment sur la poitrine de la sorcière, faisant éclater la peau déjà meurtrie de ses seins. Elle hurle, un cri aigu et inhumain, mais personne ne détourne les yeux. Le fouet claque encore, chaque coup s’enfonçant plus profondément dans sa chair. Ses seins, déjà violets sous les cordes, sont maintenant zébrés de rouge vif, et son corps se convulse sous la violence.

 

Le sexe de la sorcière est la prochaine cible. Le fouet siffle dans l’air avant de frapper brutalement l’intérieur de ses cuisses, puis directement son sexe exposé. Elle tente de se tordre, de protéger cette zone intime, mais les liens la retiennent, et la douleur est insupportable. Chaque coup l’arrache un peu plus à la réalité, son esprit vacille sous le poids de la souffrance.

 

Je me mords la lèvre, incapable de détourner les yeux. Mon excitation est presque insupportable. Je sens mon sexe durcir sous mon vêtement, la tension grandissante à chaque cri qu’elle pousse, à chaque lanière de cuir qui s'enfonce dans sa chair tendre. Autour de moi, d'autres hommes partagent ce plaisir coupable. Je vois un homme, juste devant moi, les yeux rivés sur la scène, sa main bougeant discrètement sous sa tunique. Une femme, à quelques pas, garde les yeux mi-clos, mordillant sa lèvre inférieure, son souffle rapide trahissant son excitation.

 

Mais ce n’est que le début. Le bourreau se saisit ensuite des pinces, déjà chauffées à blanc, prêtes à mordre dans la chair de la sorcière. Il commence par son ventre, plantant les pinces brûlantes dans sa peau. Le métal incandescent laisse des traces profondes, creusant la chair et libérant des gémissements stridents de la condamnée. Puis il s’attaque à ses seins, enserrant les pointes des pinces autour de ces masses déjà meurtries, brûlant et tirant la chair dans une lente agonie.

 

Enfin, son sexe est attaqué à nouveau, cette fois par les mêmes pinces. Chaque morsure enflamme un cri plus désespéré, son corps tout entier convulsant sous l’horreur du supplice. Son vagin, déjà déchiré, est ensuite pénétré par un godemiché de métal, hérissé de pointes. Le bourreau l’enfonce profondément, et je sens la tension atteindre son paroxysme. Ses cris emplissent l’air, écho de sa douleur qui résonne en nous tous, et pourtant, personne ne détourne le regard.

 

Le climax de la torture est atteint lorsque le bourreau, avec une précision macabre, saisit une lame et coupe les lèvres de son sexe, suivies de son clitoris, qui est arraché d'un coup sec. Un filet de sang glisse le long de ses jambes, et je me sens suffoquer sous l’intensité de la scène. La foule retient un moment son souffle avant de laisser éclater des murmures d’admiration, d’excitation, mêlés de rires nerveux.

 

Je bande si fort que cela en devient douloureux, mes pensées embrouillées par l’extase morbide que je viens de vivre en tant que spectateur. L’horreur, la fascination, et l’excitation se mêlent en moi, éveillant des pulsions que je ne comprends pas entièrement. Pourtant, je ne suis pas le seul. Ce jour, cette exécution, marque un tournant dans ma perception de la souffrance et du pouvoir qu’elle exerce sur nous tous. La sorcière, mutilée et brisée, restera gravée dans ma mémoire comme une vision à la fois terrible et enivrante.


Le bourreau, sans un mot, s’approche de la table où sont posés les instruments de torture, laissant planer une tension insoutenable dans l’air. La foule, enfiévrée quelques instants plus tôt, retient désormais son souffle, les yeux rivés sur la scène. Lorsque le maître se tourne enfin vers la sorcière, il murmure, presque pour lui-même : "Il est temps de passer à la prochaine étape."

 

Les cordes qui attachent ses seins sont délicatement desserrées, et la sorcière, comme si elle avait été libérée d’un poids invisible, halète faiblement. Mais ce répit est de courte durée. "Maintenant, je vais vous tenailler," annonce le bourreau, sa voix impassible tranchant dans le silence comme un couteau.

 

Il se penche vers la table et attrape l’araignée, une pince spécialement conçue pour arracher les seins des condamnées. Cette fois, l’excitation dans la foule monte d’un cran. Certains hommes, leurs yeux étincelants, attendent impatiemment de voir l’étendue des souffrances que ce nouvel instrument va infliger. Quelques femmes, leur visage rougi par la honte ou le plaisir, fixent la scène, captivées par la scène macabre. L’anticipation est presque palpable.

 

Le bourreau s’avance vers la sorcière et annonce calmement : "Je commence par le sein gauche." L’huissier, obéissant, saisit le sein gonflé et meurtri de la femme, le maintenant en l'air comme une offrande à la violence. Les marques des liens sont encore visibles, profondes et violettes, soulignant la tension extrême que le corps a déjà enduré. Lorsque le bourreau ouvre lentement la pince, on entend un léger grincement métallique, et il la place avec précision autour du sein.

 

Les mâchoires de l’araignée se referment, lentement, inexorablement. Les dents de l’instrument s’enfoncent d’abord doucement, puis plus profondément, lacérant la chair au-dessus et en dessous du mamelon. La sorcière hurle, un cri si strident qu’il semble transpercer l’âme de chaque spectateur. Ses hurlements sont interrompus par des spasmes incontrôlés tandis que ses jambes se débattent sur les pointes métalliques, déchirant davantage la peau de son dos et de ses cuisses.

 

Le bourreau, imperturbable, commence alors à tordre et tirer la pince. Chaque rotation force la sorcière à se tordre elle-même dans des angles contre nature, ses muscles tendus par la douleur. À chaque mouvement de l’araignée, son corps se cambre et se contorsionne, cherchant à échapper à l’agonie. Le bourreau, sans la moindre expression, tourne l'instrument lentement, créant des cris de plus en plus désespérés chez la victime.

 

L’huissier relâche légèrement les cordes qui maintiennent les bras de la sorcière, permettant à son corps de bouger un peu plus librement, mais chaque mouvement l’enfonce davantage contre les pointes de fer sur lesquelles elle est perchée. Ses pieds glissent, ses jambes se tendent puis fléchissent, luttant contre l’inéluctable torture. Chaque fois que le bourreau tire, la sorcière est projetée vers l’avant ou sur le côté, ses jambes se débattant vainement dans un ballet macabre. Ses seins, déjà meurtris, sont déchirés, et son dos est griffé, ensanglanté par les pointes acérées.

 

La foule, hypnotisée par le spectacle, est silencieuse. Le seul son qui perce cet étouffant silence est celui des hurlements perçants de la sorcière. Le juge, un sourire satisfait sur les lèvres, contemple la scène avec une délectation non dissimulée. Il applaudit doucement le travail méticuleux du bourreau. "Voilà qui prouve ses péchés," murmure-t-il. "Si elle ne confesse pas, nous devrons la torturer encore plus fort."

 

Le bourreau resserre encore la pince, tirant cette fois plus violemment. Les dents de métal plongent profondément dans le sein gauche, et avec un mouvement brutal, il arrache presque entièrement la chair, laissant la sorcière convulser, les yeux révulsés, tandis que le sang s'écoule en une cascade sombre.

 

Mais ce n'est pas fini. Le bourreau, toujours aussi imperturbable, se tourne vers l’huissier et lui fait signe de soulever l’autre sein, encore relativement épargné. L’huissier, zélé, obéit immédiatement, présentant le sein droit de la sorcière comme une offrande. La foule, d’abord silencieuse, commence à émettre des murmures d’excitation contenue. Je peux voir des hommes serrer leur sexe sous leurs tuniques, d’autres se frottant discrètement. Une femme derrière moi, son souffle court, ferme les yeux en s’accrochant à la manche de son mari, incapable de détourner le regard de la scène.

 

Le bourreau applique alors l'araignée sur le sein droit. Cette fois, il procède encore plus lentement, chaque centimètre gagné par les dents de métal arrachant un hurlement plus perçant que le précédent. Lorsque les mâchoires sont fermées, il commence à tordre et tirer, tournant la pince avec une lenteur sadique. La sorcière se tortille, son corps tout entier cherchant désespérément à échapper à la souffrance, mais c’est en vain. Ses mouvements ne font qu’aggraver son supplice, son dos se labourant contre les pointes de métal, tandis que ses pieds battent dans l'air, incapables de trouver un appui.

 

Ses cris résonnent sur la place du marché, mais personne ne semble vouloir les faire taire. Le bourreau continue, inlassablement, à tordre et tirer, arrachant morceau par morceau la chair des seins de la sorcière. À chaque torsion, son corps se cambre, ses jambes se contractent puis s'étendent, ses bras tirent en vain contre les cordes qui la maintiennent captive. Ses seins, autrefois gonflés sous la pression des cordes, sont maintenant déchiquetés, mutilés, des lambeaux de chair pendaient lamentablement.

 

Finalement, le silence tombe à nouveau sur la place, interrompu seulement par les gémissements rauques de la sorcière. Ses seins ne sont plus que des masses informes de chair et de sang, ses jambes tremblent de douleur, et son dos est un paysage de griffures et de blessures béantes. Le bourreau recule, satisfait, tandis que la foule, toujours silencieuse, observe avec fascination, certaines personnes dissimulant à peine leur excitation.

 

Je sens moi-même une chaleur brûlante monter dans mon bas-ventre, mon sexe douloureusement tendu sous mes vêtements. Ce spectacle, à la fois répugnant et fascinant, m’a plongé dans une excitation telle que mes pensées sont embrouillées. Mon souffle est court, et je sens cette pulsion irrésistible monter en moi, alimentée par les cris et la souffrance de la sorcière, et par l'aura envoûtante de la mort imminente qui flotte sur cette place.

 

Le juge, contemplant le résultat, se penche alors vers la sorcière, ses yeux perçants : "Confessez vos péchés, ou la torture continuera." Mais la sorcière, brisée, ses lèvres gonflées et tremblantes, est incapable de parler, seule la souffrance habite encore son corps.

 

Le supplice touche à sa fin. La sorcière, pantelante et recouverte de sueur, halète, ses cris remplacés par de faibles gémissements. Ses yeux, rougis par les larmes, parcourent la foule, cherchant désespérément un visage compatissant, mais elle n’y trouve que des regards avides, des visages excités par sa souffrance. Chaque personne, homme ou femme, semble s’abreuver du spectacle de son corps brisé, de ses gémissements étouffés, comme si sa douleur nourrissait leur plaisir.

 

Le corps de la sorcière subit des spasmes incontrôlables, tressaillant à intervalles réguliers. Son visage, autrefois humain, est maintenant une grimace déformée par la douleur, son regard perdu dans la folie de la souffrance. Sa nudité exposée, auparavant source de honte, n’est plus qu’un état misérable et désespéré, sa chair abîmée révélant chaque étape de son supplice. Ses seins, jadis gonflés et liés avec cruauté, ne sont plus que des masses meurtries, marquées de contusions violacées, certaines zones lacérées, d’autres encore dégoulinantes de sang.

 

Ses cuisses, autrefois charnues, sont écartées, exposant une vulve rougie et bleue, déformée par les instruments de torture. Ses lèvres vaginales pendantes, marquées par l'abus, témoignent des sévices qu’elle a endurés. Chaque centimètre de son corps trahit les outrages infligés par le bourreau. Elle est désormais une créature sans dignité, son esprit brisé par la douleur et son corps complètement impudique, livré aux regards de cette foule déchaînée.

 

Quand enfin on la détache de la planche à pointes, son corps s’affaisse faiblement. Ses jambes ne la soutiennent plus, et elle tombe à genoux sur les pavés froids de la place du marché, incapable de se relever. Son souffle est court, entrecoupé de sanglots silencieux, et ses membres tremblent sous l’effet de la fatigue et de l’abus d’adrénaline. Elle est réduite à un simple objet, une chose agonisante, prête pour la prochaine phase de son supplice.

 

Le bourreau, indifférent à sa souffrance, fait un signe à ses assistants. Sans ménagement, ils la relèvent, la forçant à marcher, bien que chaque pas semble une torture supplémentaire. Ses jambes fléchissent, ses cuisses s’entrechoquent maladroitement, ses genoux sur le point de céder à tout moment. La sorcière est traînée, son corps endommagé ne répondant plus à ses ordres, vers la grande roue où elle subira son dernier supplice.

 

La roue est imposante, son bois noirci par les précédentes exécutions, et elle se dresse comme un symbole de fin, une porte vers l’au-delà. La sorcière est attachée, son corps faiblement suspendu, incapable de protester. Son visage est maintenant figé dans un masque de terreur, tandis que les coups commencent à pleuvoir.

 

Le premier coup de masse frappe ses seins, qui, déjà presque arrachés par les pinces, éclatent sous l’impact. Le sang gicle, projeté sur les spectateurs les plus proches, certains émettent des cris d’horreur ou d’excitation. Ses seins, autrefois sources de désir et de cruauté, ne sont plus que des lambeaux de chair pendants.

 

Un deuxième coup s’abat sur ses genoux, brisant l’articulation dans un craquement sinistre. Son corps se tord, mais elle n’a plus la force de hurler. Ses lèvres, déjà bleues et tremblantes, laissent échapper des sons inarticulés, des borborygmes pathétiques. Ses coudes sont ensuite frappés, les os brisés en éclats, tandis que sa vulve, déjà défigurée par les pinces, est encore marquée par la violence.

 

Le coup final s’abat sur son ventre, brisant ses dernières résistances. Sa peau, tendue sous la pression, se déchire par endroits, et la sorcière, incapable de se redresser, abandonne son corps aux derniers tourments.

 

La foule, d'abord captivée, commence à se disperser, certains hommes et femmes arborant des sourires de satisfaction, d’autres cachant leurs gestes plus intimes. L'excitation collective est à son apogée, et même moi, spectateur de ce macabre spectacle, je sens une pulsion irrépressible monter en moi. Mon bas-ventre brûle, mon sexe tendu sous mes vêtements, témoin de cette excitation morbide partagée par tant d'autres autour de moi.

 

Finalement, le bourreau s'éloigne, laissant le corps de la sorcière, à moitié conscient, pendre mollement à la roue. Ses seins mutilés, ses membres brisés, son ventre éclaté : elle n’est plus qu’une épave, une offrande aux regards assoiffés de violence et de douleur de cette petite ville italienne. Un dernier râle s’échappe de ses lèvres, puis le silence retombe sur la place du marché.