Attention, ces récits ne sont pas pour tout le monde. Ici, nous explorons les limites les plus sombres et profondes de l'esprit humain, là où le plaisir se mêle à la douleur, où le pouvoir s'exprime dans sa forme la plus brute. Ces histoires sont cruelles, brutales, et réservées aux adultes avertis – très avertis. Si vous êtes à la recherche de lectures douces, passez votre chemin.
Vous avez
été prévenu(e). Ces pages sont un voyage sans retour au cœur des désirs
inavouables, des pulsions les plus extrêmes, et des tabous brisés. Âmes
sensibles, s’abstenir.
La scène
se déroule au crépuscule, dans une grande salle de banquet, illuminée par des
torches vacillantes. La reine déchue, toujours vêtue de ce qui reste de sa
tenue royale, est assise au centre, enchaînée à sa chaise, mais avec une
posture encore fière. Autour d’elle, les nouveaux vainqueurs festoient
bruyamment, ignorant le sort qui l’attend demain. Ils rient, trinquent à leur
victoire, alors que son ancien bourreau, un homme robuste et sinistre, se tient
en retrait, observant la reine avec une intensité silencieuse
La reine,
grande et imposante, est assise au centre de la table. Ses longs cheveux bruns,
légèrement emmêlés, tombent sur ses épaules tandis que ses yeux bleus scrutent
la salle avec une froideur implacable. Sa poitrine massive, encore visible sous
les lambeaux de sa tenue royale, rappelle à tous sa puissance passée. Elle a
toujours été une guerrière, sadique dans ses actions, connue pour émasculer les
hommes vaincus et mutiler les femmes. Mais ce soir, c’est elle qui est la
proie.
Autour de
la table, les nouveaux seigneurs rient, se gavant de viande et de vin. Ils la
provoquent de regards, savoureux à l’idée de la voir souffrir. Mais la reine ne
faiblit pas. Elle sait ce qui l’attend, et elle n’accordera aucun plaisir à ses
ennemis en montrant de la peur. À ses côtés, le bourreau, un homme qu’elle a
autrefois désiré et utilisé pour assouvir ses fantasmes, se tient droit, ses
yeux ne quittant pas son ancienne maîtresse. Il sait mieux que quiconque ce qui
l’attend.
Dans un
coin, l’amant secret de la reine, dissimulé parmi les serviteurs, observe la
scène avec angoisse, sachant qu’il ne peut rien faire pour sauver celle qu’il
aime.
Le
nouveau seigneur, l'homme à qui elle a fait tant de mal, prend enfin la parole.
« Demain, tu paieras pour tes crimes. Le peuple réclame ta souffrance, et je
veillerai à ce que chaque instant de ta torture soit un spectacle mémorable. »
La reine
esquisse un sourire, ses lèvres esquivant un souffle de moquerie. « Vous croyez
me faire peur ? J’ai vu pire, et j’ai survécu à des tourments que vous ne
pourriez même pas imaginer. Mais si vous croyez que je vais supplier, vous vous
trompez. »
Elle sait
que sa fin sera douloureuse, mais elle refuse de leur accorder le plaisir de la
voir plier.
Le
nouveau seigneur, un homme massif à la barbe grisonnante, la toisa du regard
alors qu’il s’approchait de la table où la reine déchue savourait son dernier
repas. Son visage exprimait le dégoût et une froide détermination. Sans
cérémonie, il saisit une coupe de vin qu'il porta à ses lèvres, buvant avec un
mépris à peine voilé avant de s’adresser à elle d’une voix rauque.
« Demain,
toi, la reine de sang et de cruauté, tu subiras la roue. Mais pas de la manière
traditionnelle. Non. Je veux que le peuple, ces misérables à qui tu as volé des
vies, assiste à quelque chose d'inédit. »
La reine,
le dos droit, un sourire arrogant sur le visage, ne cilla pas. Elle attendait
cette rencontre depuis sa capture. Depuis le jour où son armée avait été
écrasée, et où elle avait été traînée dans les geôles comme une bête vaincue,
elle savait qu'ils ne lui réserveraient aucune clémence.
« Tu
seras attachée nue à cette roue, exposée à tous, » continua le seigneur,
savourant chaque mot. « Mais avant que l'on commence à te briser les os, ton
supplice sera beaucoup plus lent, plus intime. »
Il se
pencha vers elle, savourant l'idée de ce qu'il allait lui décrire.
« Ton
bourreau, ton ancien allié, débutera par s’occuper de ce corps que tu as si
souvent exhibé en signe de défi. Ta vulve, cette marque de ton pouvoir sur les
hommes, sera l’objet de son attention première. À coups de fouet, il la réduira
en lambeaux. Tes lèvres seront arrachées par des tenailles, morceau par
morceau, tandis que le peuple rira de tes cris. Mais ce n’est pas tout. Nous
avons récupéré des tisons chauffés à blanc dans la forge. Ils seront enfoncés
dans ton vagin pour brûler tes entrailles. »
Le
seigneur s’arrêta un instant, scrutant son visage à la recherche d'une trace de
peur, d'une fissure dans cette armure de fierté qu’elle portait. Mais il n’en
vit rien, seulement ce sourire insupportable, ce rictus qui le défiait, qui
remettait en question sa victoire.
«
Ensuite, » reprit-il, sa voix montant d’un ton, « tes seins, ces masses que tu
exhibais avec arrogance, seront fouettés jusqu’à ce que la chair éclate. Le
bourreau appliquera ensuite des fers brûlants sur tes tétons, jusqu'à ce qu'ils
ne soient plus que des moignons noircis. »
La reine
leva lentement son regard bleu perçant vers le seigneur. Elle prit une bouchée
de viande, la mastiquant calmement avant de répondre avec une froideur
calculée.
« Est-ce
tout, seigneur ? » demanda-t-elle avec un sourire narquois. « Vous croyez que
ces menaces me feront fléchir ? Vous n’avez aucune idée de ce dont je suis
capable de supporter. »
Le
seigneur serra les dents, frustré par son manque de soumission.
« Une
fois que ton corps aura été brisé, morceau par morceau, et que tu ne seras plus
qu’un tas de chair suppurante, » dit-il en grinçant des dents, « alors, et
seulement alors, nous te briserons les membres. Chaque coup de barre de fer
résonnera dans cette place, jusqu’à ce que tes os éclatent comme des branches
mortes. »
La reine
éclata de rire, un rire cruel qui résonna dans toute la salle.
« Vous
pensez m’effrayer avec vos descriptions ? J’ai vu pire. J’ai fait pire,
seigneur. Mon corps n’est qu’un outil. Ce ne sera pas moi qui pliera, mais
vous. »
Le
seigneur frappa violemment la table du poing, le visage rouge de rage.
« Demain,
tu hurleras, reine de malheur. Demain, ton orgueil sera écrasé sous le poids de
tes péchés ! »
Le
silence retomba dans la salle, mais la reine ne cessait de sourire, savourant
sa victoire psychologique, bien consciente que, quoi qu’il arrive, elle
resterait fière et invaincue dans son esprit. Le repas se poursuivait, chaque
bouchée marquée par l’ombre de l’exécution qui attendait l'ancienne souveraine.
Une fois
le repas terminé, la reine fut levée de table avec une fierté qui ne la
quittait jamais. Elle promena un regard glacial autour d’elle, défiant chaque
invité de croiser ses yeux bleus perçants. Hautaine, elle ne montrait aucun
signe de faiblesse, malgré l’humiliation de sa position de vaincue. Escortée
par deux soldats robustes, elle traversa la salle sous les regards de haine et
de mépris. Autour d’elle, les murmures de ceux qu’elle avait écrasés, blessés
ou simplement ignorés résonnaient dans l’air lourd de ressentiment.
Parmi ces
regards se trouvaient ceux des hommes frustrés, qui n’avaient jamais pu obtenir
d’elle plus qu’un mépris distant, et des femmes jalouses, irritées par la
beauté et l’arrogance de celle qui avait dominé les champs de bataille comme
les chambres à coucher. Tous se réjouissaient de voir cette figure puissante
enfin abaissée, promise à une exécution lente et douloureuse. Mais malgré cette
tension palpable, la reine ne vacilla pas. Chaque pas qu’elle faisait était
marqué par la même assurance qu’elle avait toujours eue, comme si elle se
moquait de son destin.
À ses
côtés marchait son bourreau, vêtu de noir, le visage caché sous une capuche, ne
laissant apparaître que des yeux sombres et perçants. Il prétextait, devant les
autres, d'accompagner sa future victime pour évaluer la "qualité de la
chair" qu’il détruirait demain, mais ceux qui observaient n’avaient pas
conscience de leur lien secret, de l’intimité qui les unissait. Le bourreau
n’était pas qu’un instrument de la mort, il était aussi son amant, celui qui
connaissait les recoins les plus sombres de son âme.
Une fois
seuls dans le couloir sombre qui menait à sa cellule, la reine tourna lentement
la tête vers lui. Sans un mot, leurs regards se croisèrent, et en un instant,
toute la tension entre eux explosa. Ils s’embrassèrent fougueusement,
passionnément, oubliant pour un moment l’imminence du supplice.
« Ma
pauvre reine… » murmura le bourreau contre ses lèvres.
Elle le
repoussa légèrement, caressant son visage dur avec une tendresse inattendue.
« Je
sais, mon bourreau… Mon homme. Mais c’est ton travail, et tu vas le faire. Je
te connais, tu le feras bien, comme tu l’as toujours fait avec mes ennemis. »
Un sourire traversa ses lèvres tandis qu’elle le fixait intensément. « Demain,
tu devras m’offrir la même rigueur que celle que tu réservais à ceux que je te
livrais. Je ne veux aucune pitié de ta part. C’est mon destin. »
Le
bourreau baissa les yeux, hésitant.
« Et toi,
tu veux vraiment ça ? »
« Oui. Je
veux que tu le fasses sans hésitation. Je ne veux pas que ma mort te coûte la
tienne. » Elle se redressa avec un sourire cruel, voyant déjà la lueur de désir
dans les yeux de son amant. « Je le sais, tu en as déjà envie, tu bandes à
l’idée de me torturer demain. Regarde-toi, tu te réjouis de ce qui t’attend.
Alors, fais-le. Profite de moi une dernière fois. Je te demanderai juste une
chose… »
Il leva
un sourcil, intrigué.
« Les
graines de cette drogue… Celle qui excite les sens au point de rendre la
douleur un plaisir insoutenable. Donne-les-moi. Je veux que demain, quand tu me
briseras, mon corps réclame chaque coup, chaque brûlure, et que ma jouissance
soit la dernière chose que je connaisse. »
Le
bourreau hésita, mais le désir et la dévotion pour cette femme extraordinaire
qu’il aimait, malgré sa cruauté, furent plus forts que ses doutes. Il sortit de
sa poche une petite bourse en cuir contenant les fameuses graines.
« Si
c’est ce que tu veux, alors je te les donnerai. Mais sois prête… Demain, je ne
serai plus ton amant. Je serai ton bourreau, et je te détruirai comme tu l’as
demandé. »
La reine
hocha la tête, avec un sourire sombre.
« C’est
ce que je veux. Montre-moi ce que tu sais faire, sans pitié. Fais-le pour moi.
Fais-le pour nous. »
Leurs
regards brûlèrent de désir, et cette dernière nuit fut marquée par une étreinte
sauvage, une fusion d’amour, de haine et de passion avant l’inévitable
séparation au matin.
Le
bourreau hocha la tête avec gravité, ses yeux sombres brillants d'une lueur
d'admiration teintée de désir. Il savait que ce qu'elle lui demandait était à
la fois cruel et magnifique, un dernier défi qu'elle lançait au monde avant de
le quitter. Il la comprenait mieux que quiconque. La reine n'était pas
seulement une tyran déchue, elle était une guerrière dans l'âme, une femme qui
avait transformé la souffrance en arme, et qui comptait bien le prouver une
dernière fois.
« Ne
t’inquiète pas, ma reine. Je ferai en sorte que ton supplice devienne une
légende. Ils ne pourront jamais l’oublier. Le peuple te regardera, terrifié,
fasciné, et incapable de détourner les yeux. Ils te verront jouir de la
douleur, et même leurs plus sombres fantasmes seront surpassés par ta
décadence. »
Il ouvrit
la petite bourse contenant les graines de cette drogue puissante, versant une
quantité importante dans sa paume avant de les glisser dans sa bouche. Avec
tendresse, il la rapprocha de lui et l’embrassa, lui transmettant le poison
aphrodisiaque.
La reine
frissonna alors qu’elle sentait le goût amer de la drogue sur sa langue, puis
la chaleur s’intensifia rapidement, envahissant son corps. Elle sentit ses
pulsations s’accélérer, son souffle devenir plus court, et sa peau brûler sous
l’effet de cette substance. Une moiteur familière se répandit entre ses
cuisses, et un rire guttural s’échappa de ses lèvres.
« C’est…
C’est incroyable… » murmura-t-elle en s’abandonnant contre lui. « Je mouille,
et demain je serai brisée en mille morceaux devant cette foule d'imbéciles…
Quelle ironie, n’est-ce pas ? »
Le
bourreau la soutint, caressant son corps puissant et sculpté par les batailles.
Il savait que cette nuit serait la dernière où ils pourraient partager cette
intimité, où elle pourrait encore jouir dans ses bras avant qu’il ne la
détruise.
« Ils te
verront comme une déesse de la douleur, ma reine. Une guerrière qui triomphe
même dans la souffrance ultime. Et moi, je serai celui qui t’offrira ce dernier
triomphe. »
Elle le
regarda avec un sourire lascif, ses yeux brillants de défi et d’anticipation.
La drogue avait déjà fait son effet, intensifiant chaque sensation dans son
corps. Elle savait qu’elle voulait plus, encore plus.
«
Bourreau… Demain, je veux que tu n’épargnes rien. Flagelle ma vulve jusqu’à ce
que je ne puisse plus respirer de jouissance, brûle mes seins jusqu’à ce que
chaque fibre de mon corps réclame ta violence. Je veux que ce soit un spectacle
de décadence pure, que ma jouissance ridiculise leurs cris d'horreur. »
Son
amant, le bourreau, la regarda intensément, reconnaissant la même folie dans
ses yeux qu’il avait vue tant de fois sur le champ de bataille.
« Je le
ferai, ma reine. Je te promettrai une fin digne de toi. Et demain, quand tes
cris résonneront sur la place, le monde saura que même la mort ne peut briser
ton esprit. »
Ils
passèrent le reste de la nuit dans une étreinte sauvage et passionnée,
alimentée par la drogue et l'anticipation de ce qui allait venir. Pour la
reine, cette nuit était son dernier festin charnel, la dernière fois où elle
pourrait savourer l'extase avant d'affronter son destin funeste. Elle savait
que demain, son corps serait détruit sous les coups de son amant-bourreau, mais
cela ne faisait qu'exacerber son excitation.
Elle
était prête. Prête à se montrer devant le monde entier, prête à offrir sa
souffrance comme le dernier spectacle d'une vie dédiée à la violence et au
pouvoir. Et tandis que la nuit touchait à sa fin, elle souriait, satisfaite à
l'idée que son ultime jouissance serait inoubliable.
La reine
se tenait droite sur son imposant cheval de guerre noir, sa silhouette fière et
imposante se détachant sous le ciel clair de ce matin de printemps. Les chaînes
enserraient ses poignets, mais son regard, lui, restait indomptable. Elle
avançait à travers la ville, nue, offrant à la foule un spectacle à la fois
saisissant et tragique. Sa poitrine, massive et ferme, se soulevait avec fierté
à chaque respiration, et le léger froid de la matinée faisait pointer ses
tétons, rendant encore plus visible son corps sculpté et saillant.
La foule,
d’abord silencieuse, semblait prise d’une étrange émotion. Elle avait fait
couler le sang de tant de leurs proches, mais son aura, sa beauté sauvage et
indomptable, éveillait en eux un mélange de respect, de crainte, et même, pour
certains, d’admiration. Des murmures parcouraient les rangs, entrecoupés de
sifflements admiratifs et d’insultes murmurées. Même les hommes qui la
détestaient ne pouvaient s’empêcher d’être captivés par sa prestance. Quant aux
femmes, nombreuses étaient celles qui, secrètement, enviaient sa beauté et sa
force.
En
traversant les rues, elle voyait les visages de ses anciens sujets, certains
jeunes hommes et femmes fixant ses formes avec une fascination presque
voyeuriste, tandis que les plus vieux étaient partagés entre horreur et
admiration. Il y avait des enfants, yeux grands ouverts, curieux et intrigués
par la vue de cette reine déchue, la première femme nue qu’ils voyaient
peut-être. Des marchands avaient installé leurs étals tout autour de la place,
profitant de l'événement pour écouler leurs marchandises à une foule venue de
toutes parts.
Le
cortège arriva enfin sur la grande place publique, où une estrade avait été
dressée pour son supplice. La roue, massive, l'attendait, trônant au centre
comme un trône macabre. La scène était soigneusement préparée : des outils de
torture étaient disposés autour, brillants sous la lumière matinale. La foule
était massée tout autour, des visages avides fixés sur la reine. Certains
attendaient avec impatience de voir son corps puissant brisé, d'autres
espéraient secrètement voir la dignité et la fierté se maintenir jusqu'au bout,
mais tous étaient fascinés.
Le
bourreau se tenait déjà là, préparant ses instruments, son visage dissimulant
l’émotion qui l’envahissait à l'idée de ce qu'il allait accomplir. Il avait vu
des exécutions auparavant, mais rien ne serait comparable à ce qui l'attendait
avec cette reine. Elle lui avait demandé de ne pas la ménager, de faire de son
supplice un véritable spectacle. Et il savait qu'elle était prête, prête à
embrasser la douleur et la mort avec la même passion qu'elle avait vécue sa
vie.
Le
silence lourd fut rompu par le cri d’un héraut, annonçant l’arrivée imminente
du spectacle. Le peuple retint son souffle, la tension palpable dans l’air. La
reine descendit de son cheval, toujours droite, toujours fière. Elle jeta un
dernier regard à la foule, comme pour les défier de détourner les yeux. Même en
cet instant, elle restait souveraine. Son corps, offert à tous, ne montrait
aucune honte. Au contraire, elle savourait leur attention, leur désir inavoué.
Le
seigneur victorieux s’avança alors sur l’estrade, accompagné de ses
conseillers. Il prit la parole, sa voix grave résonnant dans le silence
oppressant de la place.
« Voici
la femme qui a semé le chaos dans nos terres, qui a fait couler le sang de nos
frères, de nos sœurs, de nos enfants. Aujourd’hui, elle paiera pour ses crimes,
et son châtiment sera un exemple pour tous. Elle sera rouée, mais pas de la
manière traditionnelle. Nous lui offrons une mort lente, douloureuse, où elle
subira chaque supplice, chaque coup, chaque brûlure, jusqu’à ce que son corps
ne soit plus qu’un amas de chair brisée. »
Un
murmure parcourut la foule. Les détails du supplice étaient aussi cruels que
fascinants. La reine ne broncha pas, ne montrant aucun signe de peur. Elle
savait ce qui l’attendait, et elle l'acceptait avec une froide détermination.
Le bourreau s'approcha d'elle, prenant délicatement son bras pour la guider
vers la roue. Ses mains fermes mais respectueuses se posèrent sur ses poignets,
l'attachant solidement, comme elle l’avait demandé. La foule retint son
souffle, prête pour le spectacle de cette reine dont la douleur serait vue
comme un ultime triomphe.
Le
bourreau brandit alors le premier instrument de torture, prêt à commencer. Le
supplice allait durer, et la reine comptait bien faire de chaque instant un
témoignage de sa force inébranlable.
Le
seigneur, insensible aux supplications et déterminé à faire de cette exécution
un spectacle inoubliable, avait décidé d'ajouter des divertissements
supplémentaires pour ravir la foule avide et accroître encore plus
l'humiliation de la reine. La nouvelle étape de son supplice serait aussi
cruelle que spectaculaire : elle serait pendue par les seins, non pas une seule
fois, mais à plusieurs reprises, de manière à prolonger et intensifier sa
souffrance sans la laisser sombrer trop vite dans l’inconscience.
La reine
fut amenée au centre de l'estrade, ses poignets attachés dans son dos, son
regard toujours fier, malgré la cruauté des paroles échangées autour d'elle.
Elle savait que chaque étape de cette mort lente n’était qu’un moyen
supplémentaire de la briser, mais dans son esprit, tout cela n'était qu'un
dernier défi à relever.
Le
bourreau, méthodique, s'approcha d'elle avec des lanières de cuir en main.
Chacune de ces lanières serait destinée à comprimer et déformer ses énormes
seins. Il enroula soigneusement chaque lien autour des mamelles de la reine,
les serrant progressivement, transformant sa généreuse poitrine en deux masses
rouges et violettes, comprimées à l'extrême. Sous la pression, ses seins
prenaient une teinte inquiétante, gonflés de sang, prêts à éclater sous la
tension des liens. La douleur était déjà là, se lisant dans les traits crispés
de la reine, mais aucun son ne s’échappa de ses lèvres serrées. Elle se
contenta de fermer les yeux un instant, savourant intérieurement cette torture
qu’elle avait, d’une certaine manière, elle-même souhaitée.
Une fois
les liens bien serrés, le bourreau attacha solidement une corde à chaque sein,
reliant ces deux masses martyrisées à la potence qui se dressait au-dessus
d'elle. La foule, fascinée, retenait son souffle. On devinait l'impatience dans
chaque regard. Chacun savait que ce spectacle de douleur serait d'une intensité
rare. Le bourreau ajusta la corde, prêt à la hisser, tandis que le seigneur se
délectait de ce moment de pure cruauté.
Avec un
signal donné, la reine fut d'abord soulevée légèrement, ses pieds quittant à
peine le sol. Ses seins, tendus par les cordes, supportaient à eux seuls le
poids de son corps. Le cri étouffé qui s'échappa de sa gorge montra l'ampleur
de la douleur qu'elle ressentait. Son visage se crispa, ses lèvres se
mordirent, mais elle se refusait toujours à hurler pleinement, tenant encore à
sa dignité. La foule murmurait, fascinée par cette démonstration de force,
alors que son corps se balançait légèrement, suspendu par ses mamelles devenues
presque violacées.
Après
cinq minutes qui parurent une éternité, on la laissa redescendre lentement, la
hissant sur un tabouret plus élevé, mais l’acharnement n’était pas terminé. À
peine eut-elle retrouvé un semblant d'équilibre que le bourreau, d'un coup de
pied brutal, renversa de nouveau le tabouret sous elle, la laissant retomber
durement, ses seins martyrisés supportant à nouveau tout son poids. Cette fois,
un cri de douleur plus fort franchit ses lèvres, tandis que son corps se
tordait sous l'impact de la chute. La foule, captivée par la brutalité du
supplice, réagit avec des cris et des applaudissements, admirant à la fois la
résistance de la reine et la cruauté du spectacle.
Mais ce
n’était pas fini. Une dernière fois, on la hissa sur un tabouret encore plus
haut, ses seins atrocement déformés, presque méconnaissables tant ils avaient
été comprimés. Ses tétons, si gros auparavant, n'étaient plus que des masses
bleuâtres, marquées par l'extrême tension des liens de cuir. La reine,
haletante, était au bord de l’épuisement, mais elle continuait de défier le
seigneur du regard, refusant de se soumettre totalement. Avec une dernière
poussée brutale, le bourreau renversa à nouveau le tabouret, laissant la reine
retomber violemment. La corde se tendit avec une violence terrible, arrachant
un hurlement de douleur à la reine, un cri qui déchira le silence de la place.
Malgré
l’atrocité de la scène, elle tenait bon, son corps continuant à souffrir,
tandis que la foule jubilait. Le spectacle n’était pas encore terminé, et la
reine le savait. Ce n’était qu’une étape avant le supplice de la roue qui
l’attendait encore. Pourtant, dans ses yeux bleus, il n’y avait ni peur ni
résignation. Sa volonté restait inébranlable, même si son corps était réduit à
un jouet entre les mains du bourreau et des cordes meurtrières.
Le
bourreau s'approcha de la reine avec un sourire complice, malgré le public
avide qui se massait autour de l'estrade, observant chaque geste avec une
fascination malsaine. La reine, le visage marqué par la douleur mais toujours
empreint d'une fierté inébranlable, murmura presque sensuellement à l'oreille
de son bourreau : « Beau travail, bourreau. Donne leur pour leur argent.
Flagelle mes seins, ouvre ma vulve pour que tous la voient, et vise bien mon
clitoris. Je bande, je mouille… » Sa voix était un souffle de défi, de
jouissance presque, un murmure qui portait la marque de sa perversion et de son
plaisir à travers la souffrance.
Le
bourreau, sans répondre, la regarda avec une tendresse brutale et libéra
lentement ses seins de la corde qui les liait à la potence, mais conserva les
lanières de cuir qui les enserraient encore. Ses énormes mamelles, maintenant
gonflées et violacées, trônaient comme deux masses sur son corps. Le sang
affluait en elles, les rendant encore plus impressionnantes, presque
monstrueuses dans leur état.
On
installa alors la reine sur un large fauteuil de bois aux accoudoirs épais,
conçu pour la contenir dans une posture humiliante et exposée. Ses jambes
furent écartées et attachées aux accoudoirs, son sexe désormais offert sans
aucune pudeur à la vue du public. Sa vulve, déjà rougie par l'excitation et la
douleur, palpitait sous l'effet des précédents supplices. Le public, fasciné et
horrifié à la fois, ne pouvait détourner les yeux de cette femme fière, nue,
dont l'intimité la plus profonde était désormais offerte au spectacle de tous.
Quelques murmures se faisaient entendre dans la foule, certains excités,
d’autres choqués, mais tous captivés par l’ampleur de ce supplice.
Le
bourreau, imperturbable, prit entre ses mains un immense martinet aux multiples
lanières de cuir, épais et menaçant. Il le souleva, le faisant claquer dans
l’air pour bien marquer l’attention du public, puis le leva au-dessus de la
reine. D’un geste assuré, il abattit le martinet sur ses seins. Le premier coup
fit vibrer l’estrade et la reine laissa échapper un grognement guttural, un
mélange de douleur et de plaisir. Les coups s’enchaînèrent, méthodiques,
brutaux, chaque lanière mordant dans la chair de ses mamelles déjà meurtries
par les liens de cuir. Vingt coups pour chaque sein, sans relâche, jusqu’à ce
que ses obus gonflés soient parcourus de stries rouges, sa chair semblant prête
à éclater sous la violence des coups.
Mais ce
n’était que le début. Le bourreau, implacable, s’approcha de la vulve exposée
de la reine, qui luisait de sueur et de mouille, ouverte, comme une invitation
à la douleur. Sans attendre, il leva à nouveau le martinet et l’abattit sur les
lèvres de son sexe, visant directement son clitoris tendu, en érection, qui
palpitait presque sous l’excitation malsaine de la reine. Chaque coup semblait
descendre en cascade sur sa chair, les lanières frappant tantôt ses grandes
lèvres, tantôt les petites, tantôt directement son clitoris bandé. Le public
retenait son souffle, hypnotisé par cette scène de flagellation intense, tandis
que la reine, pourtant en proie à des vagues de douleur insoutenables,
continuait à sourire, à défier les regards, et à savourer chaque coup.
Les
lanières claquaient avec un bruit sourd, laissant derrière elles des marques
profondes sur les cuisses, les lèvres, le clitoris, transformant son sexe en
une masse rouge et sensible. Les cinquante coups furent portés avec une
précision presque sadique, le bourreau faisant durer le supplice, s’assurant de
bien viser chaque partie intime de la reine, comme elle le lui avait demandé.
Sa respiration se faisait plus lourde, et des gémissements, entre plaisir et
agonie, s'échappaient de sa gorge.
Le
public, fasciné par cette démonstration de douleur et de perversion,
applaudissait et hurlait à chaque coup porté, leur excitation montant au fur et
à mesure que la flagellation atteignait son paroxysme. La reine, elle, restait
toujours aussi fière, son regard intense, ses yeux bleu brillant de désir. Elle
était le centre de l'attention, et même au seuil de la douleur la plus extrême,
elle dominait la scène par sa présence, savourant l'instant, attendant avec une
impatience presque jouissive les prochains supplices qui viendraient la
briser... ou la transcender.
Le
public, plongé dans une transe collective, vibrait au rythme du supplice.
Certains hommes comme certaines femmes, submergés par l'excitation
grandissante, se touchaient discrètement à travers leurs vêtements. Leurs yeux
restaient fixés sur la scène, où la reine exhibait sa souffrance avec une
fierté indomptable. Les images obscènes et cruelles qui se déroulaient sous
leurs yeux resteraient gravées dans leurs esprits, comme une forme de
divertissement malsain, un écho des exécutions publiques de cette époque qui
devenaient, pour beaucoup, l'équivalent d'un spectacle pornographique moderne.
Le
clitoris de la reine, bandé et surdimensionné, trônait au milieu de sa vulve
enflée, tendu comme une petite verge de 6 cm, gonflé de désir malgré la
douleur. Ses grandes lèvres, déjà rougies et tuméfiées par la flagellation,
pulsaient sous les coups, témoignant d'un mélange morbide d'excitation et de
souffrance. Son sexe et ses mamelles, exposés à la vue de tous, étaient devenus
le point focal de l’attention du public.
Les
choses sérieuses allaient commencer. Le seigneur, assis sur son trône
improvisé, fit un signe au bourreau, exigeant que la torture s’intensifie. « Je
veux que ce supplice soit lent, crescendo… Je veux voir la douleur la briser
morceau par morceau, que chaque fibre de sa chair fragile soit déchirée sous le
poids du supplice. » Le bourreau acquiesça d'un hochement de tête avant de
s'approcher d'une table où étaient disposées plusieurs pinces en métal, de
formes et de tailles variées, chacune conçue pour des douleurs spécifiques.
Les
premières pinces, plus petites, furent appliquées doucement sur ses tétons, les
compressant lentement. La reine gémit, mais ne céda pas, son visage toujours
illuminé par ce sourire de défi. Le public, fasciné par le contraste entre sa
douleur et sa dignité, restait suspendu à chaque geste du bourreau. Celui-ci,
méticuleux, prit soin d’augmenter progressivement la pression des pinces,
serrant un peu plus à chaque tour, jusqu’à ce que ses gros tétons, déjà rougis
par la flagellation, deviennent presque violets sous la compression.
Puis,
avec un calme effrayant, le bourreau tourna son attention vers son sexe. Là, il
appliqua une pince plus grande sur ses lèvres gonflées. La reine laissa
échapper un long gémissement, une vague de douleur traversant son corps. Ses
lèvres furent tirées et comprimées lentement, déformées par la pression, tandis
que la pince s’enfonçait dans la chair tendre de sa vulve. Le public, en
transe, retenait son souffle, certains ne pouvant s’empêcher de frôler l'extase
en silence devant cette scène obscène et si excitante.
Mais le
supplice ne faisait que commencer. Le seigneur, avide de voir sa volonté se
réaliser, se pencha légèrement en avant, ses yeux brillant de sadisme. « Plus
fort, bourreau. Doucement, mais sûrement. Je veux entendre sa chair céder. »
Le
bourreau, obéissant, resserra les pinces un peu plus fort sur les tétons,
tirant de nouveaux cris de la reine. Ensuite, il ajusta les pinces sur ses
lèvres génitales, augmentant la tension jusqu'à ce que la chair commence à se
déchirer légèrement sous la pression. Le clitoris, déjà en érection, tremblait,
presque en spasmes, comme une petite verge bandée à l’extrême. Le spectacle
était à son paroxysme, les femmes jalouses de la beauté de la reine, les hommes
frustrés de n’avoir pu la posséder, tous rassemblés dans cette jouissance
collective, avide de voir la destruction de cette femme qui, même dans la
douleur la plus abjecte, conservait une aura de grandeur et de puissance.
La reine,
elle, sentait son corps céder sous la torture, mais elle refusait de hurler.
Chaque cri, chaque gémissement était accompagné d’un sourire. « Allez,
bourreau… continue… donne-leur ce qu’ils attendent », souffla-t-elle d'une voix
entrecoupée, savourant encore cette dernière jouissance perverse. Les pinces
continuaient de mordre dans sa chair, laissant la peau abîmée, déchirée, mais
la reine restait debout dans sa dignité, transcendant sa douleur pour offrir un
ultime spectacle, le plus grandiose de tous.
La foule,
hypnotisée, ne pouvait détacher ses yeux de ce corps brisé, mais encore debout.
Le supplice du tenaillage s’intensifiait encore, crescendo, tandis que le
destin de la reine se scellait dans le sang et la douleur, sous les cris de
plaisir et d’horreur mêlés de la foule en délire.
Le roi,
exaspéré par ce qu’il percevait comme un manque de violence, se leva
brusquement de son siège, ses yeux lançant des éclairs de rage.
«
Bourreau ! Hurla-t-il, vous êtes ici pour faire votre travail, pas pour avoir
des états d'âme ! Je veux de la souffrance, de la vraie, du sadisme à l’état
pur ! Si vous ne vous en sentez pas capable, je vous enverrai pourrir dans les
geôles du château avec les autres lâches ! »
Le
bourreau, jusqu'alors hésitant, fut secoué par ces mots. Il comprit qu’il
n’avait plus le choix. Il avait tenté de retenir sa main, sa violence, parce
que cette femme, la reine, n'était pas n'importe qui. Elle avait été sa
maîtresse, son amante, et malgré la situation, une part de lui ne pouvait
s'empêcher de la voir sous cet angle, comme la femme qu’il avait tant aimée.
Mais en croisant son regard, il vit une lueur de défi dans ses yeux bleus,
cette lueur qui semblait dire qu’elle le méprisait pour sa faiblesse.
« Alors
fais-le, lâche ! » semblait-elle lui dire en silence. Elle ne voulait pas de
pitié, et encore moins qu’il gâche son dernier spectacle. Si elle devait
souffrir, ce serait jusqu’au bout, sans compromis.
Sa
résolution se raffermit. Il allait faire ce qu’il avait à faire.
Sans un
mot, il reprit ses instruments de torture, des pinces de métal robustes et
froides. Il s'approcha de la reine, encore attachée, ses seins toujours
prisonniers des liens de cuir, gonflés à l'extrême, sa vulve ouverte, exposée
au regard voyeur du public. Le bourreau plaça la première pince sur un de ses
tétons, la serrant avec une lenteur calculée. Le téton, déjà tuméfié par la
flagellation et les premiers tours de corde, se gonfla davantage sous la
pression métallique. Il tira, appuyant avec plus de force, et cette fois, il
n’eut aucune retenue.
La reine
gémit, un cri déchirant à demi étouffé par la fierté qui la tenait encore
droite, mais elle ne le regarda plus avec mépris. Non, cette fois, son regard
était rempli de douleur et de plaisir mêlés, comme si elle acceptait enfin ce
que le destin avait prévu pour elle. « Allez, bourreau… appuie... jusqu'à ce
que je cède... » murmura-t-elle, son corps frémissant sous la violence du
geste.
Le
bourreau serra plus fort. Les chairs tendues de ses tétons furent tordues et
étirées avec une brutalité croissante, devenant rouges puis violacées, tandis
que la reine mordait ses lèvres pour ne pas crier davantage. Mais il ne
s’arrêta pas là. Avec une froide efficacité, il appliqua la même torture à ses
mamelles, les saisissant l’une après l’autre pour les tordre, les étirer,
jusqu'à ce que les chairs cèdent légèrement, laissant des marques profondes.
« C'est
mieux », grogna le roi depuis son trône, un sourire sadique aux lèvres.
Mais le
supplice ne s’arrêtait pas là. Le bourreau, conscient de l’ordre du roi et de
l’attente du public, se pencha vers le sexe de la reine, déjà flagellé et
enflé. Il saisit une nouvelle pince, plus grande, qu’il appliqua cette fois sur
ses lèvres génitales. La reine laissa échapper un cri plus fort, incapable de
le contenir cette fois. Le métal froid se referma sur la chair tendre de ses
grandes lèvres, les tordant avec une lenteur terrifiante. Il tira, tira encore,
jusqu’à ce que la douleur irradie dans tout son corps.
Son
clitoris, bandé à l’extrême, ne fut pas épargné. Avec une précision sadique, le
bourreau saisit l’organe tendu entre ses doigts, l’étira lentement avant d'y
appliquer une pince, resserrant avec soin, jusqu'à presque l'écraser. Le
clitoris trembla, secoué par la douleur, gonflant davantage sous la pression,
comme s’il résistait à la destruction imminente.
Le
bourreau appuyait toujours plus fort, ses mains expertes connaissant chaque
limite, chaque point où la douleur devenait insupportable sans pour autant
tuer.
La reine,
malgré la souffrance, continuait de sourire. « Oui… encore… » murmura-t-elle,
son corps maintenant tremblant de douleur et d'extase perverse. Elle voulait
cette souffrance, elle la désirait presque autant que la gloire qu'elle en
retirerait. « Qu’ils en aient pour leur argent », pensa-t-elle, consciente que
le public, excité et avide, ne pourrait jamais oublier ce spectacle de douleur
et de jouissance ultime.
Le
bourreau, malgré l’intensité de son travail, savait qu’il devait aller encore
plus loin. Le roi l'observait, prêt à le condamner s'il échouait à faire de ce
supplice un moment inoubliable. Il resserra les pinces, tordant et écrasant
sans retenue, jusqu'à ce que la reine ne puisse plus retenir ses cris, des
hurlements de douleur mêlés de plaisir qui résonnaient sur la place. Le public,
en transe, hurlait de satisfaction, savourant chaque seconde du spectacle.
Le roi se
rassit, satisfait, un sourire cruel aux lèvres. « Voilà, c’est ce que
j’attendais… » murmura-t-il, ses yeux brillants de perversion et de mépris.
Le
bourreau, lui, continuait son travail, conscient que chaque minute de ce
supplice devait dépasser les attentes, jusqu'à ce que le corps de la reine ne
soit plus qu’un amas de chair mutilée, mais que son esprit, lui, reste
invaincu, offrant à tous, la plus grande leçon de courage dans la douleur.
Le roi,
sadiquement ravi de la tournure des événements, se leva de nouveau, ses yeux
brillants d’excitation malsaine.
« Voilà
qui me plaît mieux, bourreau ! » s'exclama-t-il d'une voix forte. « Faites-lui
sentir la douleur, faites-la hurler. Allez, utilisez les crochets à hameçon et
ajoutez des poids de 5 kg pour que ses lèvres se déchirent sous la tension.
Elle doit souffrir comme la catin qu'elle est ! »
Le
bourreau hocha la tête, obéissant sans hésitation. Il s'approcha de la reine,
son regard glacial fixé sur ses lèvres génitales enflées et violacées, marquées
par la flagellation et le traitement brutal précédent. D'un geste expert, il
saisit une pince, tirant l’une des grandes lèvres, déjà tuméfiée, vers
l'extérieur, tendue à l'extrême.
Avec une
précision terrifiante, il perça la chair tendre à l’aide d’un immense crochet
de pêche, effilé et cruel. La douleur fut immédiate et la reine laissa échapper
un cri de souffrance. Mais, comme à son habitude, elle ne flancha pas. Son
visage, bien que déformé par la douleur, restait empreint d’une sorte de fierté
indomptable.
Le
bourreau ne s’arrêta pas là. Il répéta le même geste sur l’autre lèvre, perçant
la chair avec une brutalité mesurée, mais impitoyable. Chaque crochet était
solidement enfoncé, prêt à porter les poids que le roi avait ordonnés.
Et comme
si cela ne suffisait pas, il attrapa ensuite le clitoris de la reine, bandé
comme une petite bite, dur et gonflé sous l’effet des graines magiques qu’elle
avait prises la veille. Il lui semblait incroyable que, même dans un tel moment
de torture, la reine puisse être excitée, sa vulve dégoulinant de mouille, un
filet humide coulant le long de ses cuisses. Mais il savait que ce n'était pas
seulement l’effet de la drogue. La reine avait toujours été une sadique, mais
aussi une masochiste perverse. Ce mélange de souffrance et de plaisir avait
toujours fait partie de son caractère.
Le
bourreau prit alors un plus petit crochet, aiguisé comme une lame de rasoir, et
le planta dans le clitoris tendu de la reine. Elle hurla, cette fois, incapable
de contenir la douleur déchirante qui envahissait son corps. Le crochet perça
profondément l'organe gonflé, accroché comme s’il était prêt à être arraché.
« Voilà…
c'est bien. » murmura le bourreau en ajustant les crochets, s'assurant qu’ils
tiendraient solidement.
Les
souvenirs lui revinrent alors en tête. Il se rappela une scène semblable, où la
reine elle-même avait assisté à un supplice similaire. C’était un couple de
malheureux, torturés sous ses ordres, leurs organes génitaux percés par ces
mêmes crochets de pêche. Il se souvenait de la reine, nue, qui observait avec
un sourire sadique, se masturbant sans aucune retenue pendant que le couple
hurlait de douleur. Elle avait joui au moment exact où les poids avaient
arraché le gland de l’homme, détruisant à jamais son sexe sous la force brutale
des 5 kg suspendus.
Et
maintenant, c’était son tour.
Le
bourreau attacha soigneusement les poids aux crochets, un à chaque lèvre et un
autre, plus petit, au clitoris. Le silence s’installa un instant sur la place,
comme si tout le monde retenait son souffle, attendant l'inévitable.
Puis, il
relâcha les poids.
Le
tiraillement fut immédiat et violent. Les grandes lèvres de la reine, déjà
tendues à l'extrême, furent tirées vers le bas avec une force inhumaine. La
douleur était insupportable, un feu brûlant qui se propageait dans tout son
corps. Le crochet dans son clitoris amplifiait cette torture, chaque mouvement,
chaque secousse des poids envoyant des vagues de souffrance à travers son
intimité.
La reine,
malgré tout, continuait à sourire, même si son visage était tordu par la
douleur. Son corps frémissait sous l'effet des tortures et de l'excitation
malsaine qui l'envahissait. Elle savait que son supplice était en train de
devenir un spectacle dont personne ne pourrait détourner les yeux.
Le public
était en transe, excité par la scène obscène qui se déroulait devant eux. Des
hommes et des femmes se touchaient à travers leurs vêtements, incapables de
résister à l’excitation que cette scène de torture leur procurait. C’était un
spectacle que personne n’oublierait de sitôt. À cette époque, certaines
exécutions publiques étaient bien plus que des châtiments. Elles étaient
devenues une sorte de pornographie moderne, une excitation perverse pour la
foule avide de voyeurisme.
Le roi,
lui, souriait, satisfait. « Voilà, c'est ce que j’attendais. Que ses lèvres se
déchirent, que son corps devienne un objet de souffrance inoubliable. Elle le
mérite. »
Malgré
l’incroyable pression des poids suspendus à ses lèvres, le corps de la reine,
pourtant perçu comme fragile, semblait défier toute attente. Ses grandes
lèvres, étirées à l'extrême, refusaient de céder. La foule, d'abord émue de
voir son corps tendu et déformé de façon obscène, regardait maintenant avec une
stupeur grandissante, incapable de détourner les yeux. Les lèvres de la reine,
tirées sur une longueur d’au moins 15 cm, étaient à la limite de la rupture, la
peau tendue à l’extrême, presque transparente sous l'effet de la tension.
Le
bourreau, voyant l'occasion, fit osciller légèrement les poids — de gros pavés
de pierre suspendus par des cordes solides. Chaque mouvement faisait onduler
les lèvres de la reine, provoquant de nouvelles vagues de douleur. La reine se
tordit sous la souffrance, son visage pâle et déformé par l’intensité du
supplice.
Mais le
bourreau n’avait pas fini. S'approchant avec un fouet à trois lanières, chacune
terminée par de petites boules de plomb pointues, il commença à flageller les
lèvres déjà torturées. Les lanières frappèrent avec une précision brutale,
chaque impact arrachant des cris de douleur à la reine. La peau tendue se
marquait de coups violents, chaque boule de plomb laissant des traînées de
rouge sur la chair sensible.
La foule
était partagée entre l'effroi et une fascination morbide. Certains observaient
en silence, les yeux écarquillés, tandis que d'autres murmuraient entre eux,
choqués par l'obscénité de la scène.
Le bourreau,
impitoyable, ne s'arrêta pas là. Il sortit six énormes aiguilles épaisses,
luisant d’une cruauté froide sous la lumière du jour. Trois dans chaque lèvre,
il les enfonça lentement, perçant la chair avec une précision glaciale. La
reine hurlait de douleur, mais son corps restait tendu, accroché à la volonté
inébranlable de rester maîtresse de son supplice.
Le point
culminant du supplice arriva lorsque le bourreau saisit le clitoris de la
reine, désormais gonflé et étiré à une longueur incroyable de 10 cm. Ce morceau
de chair, bandé et durci, semblait presque sorti de son capuchon. D’une main
experte, il introduisit une aiguille plus petite directement dans le clitoris.
La douleur explosa, se répercutant à travers tout le corps de la reine. Elle
hurla, incapable de contenir les vagues de souffrance qui submergeaient son
corps.
Puis,
dans un dernier geste sadique, le bourreau saisit le capuchon de son clitoris
et le tenailla de toutes ses forces. Les cris de la reine résonnèrent à travers
la place, son corps se tordant sous la violence du geste. Le peuple retenait
son souffle, hypnotisé par cette scène de cruauté absolue, témoin du courage
masochiste d'une femme qui semblait jouir de ses propres souffrances.
Le
bourreau, quant à lui, continua, insensible aux horreurs qu'il infligeait. Il
savait que ce n'était que le début du spectacle que la reine réclamait
elle-même, celui dont elle voulait qu’il reste gravé dans la mémoire collective
comme un acte de défiance ultime, même dans la douleur.
Le
premier sang éclata des lèvres de la reine, marquant l'estrade de gouttes
écarlates. Le fouet, implacable, avait finalement ouvert la chair. Le liquide
rouge s'écoulait lentement, traçant des ruisseaux de douleur qui se mêlaient à
la sueur et aux larmes sur son corps mutilé. Mais malgré tout cela, ses lèvres
restaient accrochées, défiant la cruauté et l'intention destructrice du
bourreau.
Face à
cet échec, le seigneur, en quête d'un spectacle encore plus cruel, ordonna un
changement de programme. Le but n'était plus seulement de la faire souffrir,
mais de prolonger cette agonie pour en faire une véritable pièce de théâtre
macabre. Le bourreau, après un bref moment de réflexion, saisit un récipient de
plomb en fusion. La foule se figea, comprenant avec horreur ce qui allait se
passer.
Lentement,
sans hâte, il approcha le récipient de la reine. Ses lèvres tuméfiées et son
clitoris bandé, raide comme une petite queue, étaient les cibles. Le liquide
brûlant commença à couler sur sa chair déjà martyrisée. Le plomb fondu, au
contact de sa peau, émit un sifflement sinistre tandis qu'une épaisse fumée
noire s'éleva autour de son entrejambe. L'odeur insupportable de chair brûlée
envahit l'air, un parfum écœurant de cochon grillé qui fit vaciller une partie
de la foule.
La reine,
presque insensible à ce point, tomba presque dans l'inconscience. Son corps,
pourtant habitué aux supplices, fut submergé par cette nouvelle vague de
douleur insoutenable. Ses yeux se révulsèrent, et pour un instant, il sembla
qu'elle allait céder à l’ombre de la mort. Mais son orgueil et son appétit pour
la souffrance la maintinrent éveillée, l'empêchant de sombrer entièrement.
La scène
était d'une atrocité telle que plusieurs femmes prirent leurs enfants dans les
bras et quittèrent la place, ne pouvant plus supporter la vue de ce supplice
effroyable. D'autres observateurs, particulièrement les hommes, mais aussi
certaines femmes perverties par la brutalité du spectacle, s'avancèrent,
excités, avides de voir de plus près les détails obscènes du corps de la reine
défiguré par la souffrance. Des murmures de convoitise et de fascination
circulaient dans la foule, leurs yeux brillants d'une perversité exacerbée.
Le
bourreau, toujours imperturbable, continuait son œuvre, versant des filets de
plomb sur les parties les plus sensibles du corps de la reine. Chaque goutte de
métal brûlant ravivait les flammes de la douleur dans son esprit, tandis que
son corps, malgré tout, refusait de céder entièrement. Son clitoris, bandé et
grotesquement gonflé par la drogue, ne se relâchait pas, et ses lèvres, déjà à
moitié carbonisées, se tordaient sous le poids de leur supplice, mais restaient
intactes. Le public, pour une grande partie, était en extase morbide, rivé à
cette démonstration de cruauté inhumaine.
Ce
supplice, au-delà de la simple souffrance physique, était devenu un spectacle,
un symbole de défi ultime.
Le
seigneur, debout sur l'estrade, hurla avec une rage froide :
«
Bourreau, arrache-lui ses lèvres ! Détruis son clitoris à la pince, ou c'est
toi qui subira la castration ! »
Le
bourreau, bien que secoué par ces paroles, savait qu'il n'avait plus le choix.
L'injonction du seigneur était une condamnation claire. Un frisson parcourut
son échine tandis qu'il jeta un dernier regard à la reine, cette maîtresse
autrefois redoutée, celle qu'il avait aimée et torturée avec passion. Elle,
malgré la douleur indescriptible, avait encore la force de lui sourire, un
sourire tremblant, à la fois fier et tragique.
«
Fais-le… », murmura-t-elle, ses yeux emplis d'une étrange lueur, « … fais-le
comme tu sais si bien le faire. »
Le
bourreau, à contrecœur mais avec détermination, saisit une pince de fer
épaisse, un outil autrefois utilisé pour écarteler les chairs de ceux qu'il
avait torturés au nom de cette même reine. Il savait ce qui l'attendait s’il
échouait à satisfaire la cruauté de son nouveau maître. Il serra les dents et
approcha l’instrument des lèvres génitales de la reine, déjà meurtries,
tuméfiées et noircies par le plomb.
Le
public, en haleine, observait avec une avidité démesurée. Les murmures se
faisaient plus intenses, des gémissements de plaisir et d'excitation
s'élevaient. Les regards étaient fixés sur le clitoris surdimensionné de la
reine, bandé comme une petite verge, qui frémissait encore malgré les tortures
infligées.
D'un
geste précis, le bourreau pinça l'une des grandes lèvres avec force. La chair
résistante se déchira partiellement, le sang jaillit en une éclaboussure
sinistre. Le bourreau tira plus fort, la pince agrippant fermement la peau.
Cette fois, la lèvre céda sous la violence du geste, arrachée dans une
explosion de douleur pour la reine. Un hurlement traversa la place, déchirant
le silence morbide qui régnait.
La reine,
à moitié évanouie, garda pourtant les yeux ouverts, fixant le ciel avec ce
sourire fou qui ne la quittait pas. La mutilation venait de commencer. Le
bourreau, prenant une inspiration tremblante, répéta l'acte sur la deuxième
lèvre, la détachant du corps de la reine avec une précision sadique, alors que
des cris de plaisir malsain parcouraient la foule.
Les deux
lèvres sanguinolentes gisaient à présent au sol, tandis que le bourreau levait
la tête vers le seigneur pour voir s'il devait continuer. Un signe de tête
froid lui confirma que son travail n'était pas terminé.
« Le
clitoris », ordonna le seigneur avec une jubilation glaciale. « Arrache-le,
qu'elle perde cette dernière part d'elle-même. »
Le
bourreau hésita un instant en regardant ce clitoris bandé, dressé malgré tout.
Il savait que ce serait la fin pour elle, et peut-être aussi pour lui. Mais il
n’avait plus le droit de faillir. Avec une précision presque chirurgicale, il
saisit la pince à nouveau, la plaçant cette fois sur l’extrémité de cette
protubérance si particulière. Lentement, il pressa, ses mains tremblantes alors
que le clitoris se déformait sous la pression.
La reine,
sentant la fin venir, lâcha un dernier souffle de défi, son corps se cambrant
une ultime fois dans une convulsion de douleur et de plaisir. Puis, avec une
force brutale, le bourreau arracha le clitoris, le tirant d’un coup sec,
laissant derrière lui un flot de sang, tandis que la reine s’affaissait dans
une mer de souffrance.
Le
silence qui suivit fut rapidement remplacé par une clameur assourdissante de la
foule en délire. Des hommes et des femmes, en transe, acclamaient la scène,
certains se caressant, d'autres tombant à genoux, comme s'ils avaient assisté à
un spectacle divin de perversion.
La reine,
enfin brisée, était toujours vivante. Elle saignait abondamment, son corps
souillé par la douleur et les mutilations. Mais même alors, sur son visage, un
dernier sourire flottait, comme une ultime provocation à ce monde cruel.
Le
bourreau, quant à lui, s'éloigna lentement, le cœur lourd, sachant que jamais
il n'oublierait ce qu'il venait de faire.
Le
bourreau, encore tremblant des actes qu'il venait de commettre, savait que la
dernière étape de ce supplice atroce devait être accomplie. Les morceaux de
chair arrachés, ces lèvres déchiquetées et ce clitoris mutilé, gisaient
désormais au sol, avant d’être jetés dans le brasier crépitant à côté de
l'estrade. Le feu les dévora instantanément, dégageant une odeur écœurante de
chair brûlée, accentuant l'horreur déjà présente.
Sans un
mot, le bourreau se tourna vers la forge où un fer brûlant avait été préparé.
Il s’agissait d’une barre de métal rougeoyante, chauffée à blanc, prête à
cautériser les plaies béantes laissées par la mutilation. Il sentit la chaleur
intense irradier de la barre tandis qu'il la saisissait d’une main ferme, bien
que son esprit vacillât.
La reine,
malgré la douleur insoutenable et le sang qui continuait de couler entre ses
cuisses, restait étrangement calme. Son corps tremblait, ses membres étaient
attachés, mais dans ses yeux, une lueur de défi brûlait encore. Elle savait que
la fin approchait, mais elle n’allait pas céder complètement à la souffrance.
Le
bourreau s’approcha de la reine. D’un geste lent mais déterminé, il posa le fer
brûlant à l’entrée de son vagin, là où ses lèvres avaient été arrachées,
maintenant des plaies à vif. Le contact du métal incandescent contre la chair
provoqua une réaction immédiate. Un sifflement assourdissant se fit entendre,
le fer brûlant cautérisant la chair vivante dans un nuage de fumée nauséabonde.
La reine,
bien que droguée par les graines magiques, ne put contenir un cri déchirant.
Ses muscles se contractèrent sous l’intensité de la brûlure, mais elle refusa
de laisser ce dernier cri de douleur lui ôter sa fierté. Elle serra les dents,
refusant de sombrer dans l’inconscience, le corps encore tendu sous la violence
du supplice.
Le
bourreau déplaça ensuite le fer vers la zone où le clitoris avait été arraché.
Là encore, le métal ardent fit son œuvre, cautérisant l’endroit où ce symbole
de féminité et de puissance avait été brutalement retiré. La chair se referma
dans une explosion de douleur brûlante, mais cela mit fin à l’hémorragie. La
peau était désormais marquée à jamais par le feu.
Une fois
le travail terminé, le bourreau recula, le visage couvert de sueur, alors que
la fumée s'élevait encore du corps mutilé de la reine. L’odeur de chair brûlée
envahissait la place, répandant un malaise profond parmi certains spectateurs,
tandis que d’autres, les plus pervers, observaient la scène avec une
fascination morbide.
Le
seigneur, satisfait du spectacle, se leva de son trône improvisé, un sourire
carnassier aux lèvres.
« Voilà
ce qu'il en coûte de défier ma volonté, » déclara-t-il à la foule, avant de se
tourner vers la reine, « Ton corps brisé servira d’exemple pour les générations
à venir. »
Mais la
reine, même dans son état, trouva encore la force de lever les yeux vers lui,
ses lèvres craquelées par la douleur, pour murmurer avec une voix rauque :
« C’est…
tout ce que tu as ? »
Le
bourreau, sentant la pression du seigneur et du public qui réclamait davantage
de violence, s’avança vers la reine avec l’arme ultime de cette exécution
perverse : un énorme gode en bois, cerclé de fer, incrusté de pointes
métalliques acérées, destiné à détruire l'intérieur déjà meurtri de la reine.
L’objet était d’une brutalité effroyable, un cylindre de 10 cm de diamètre pour
35 cm de longueur, conçu pour pénétrer profondément, atteignant l’utérus, avec
en plus, quatre petites pointes émoussées destinées à piquer ce dernier.
La foule
retenait son souffle alors que l’instrument était approché de l'entrejambe de
la reine, déjà sévèrement mutilée. Ses lèvres vaginales, tordues et brûlées, ne
semblaient plus pouvoir supporter d’autres sévices, mais le bourreau savait
qu’il devait accomplir son sinistre devoir.
«
Prépare-toi, ma reine… » murmura-t-il dans un souffle presque imperceptible,
ses mains tremblant légèrement en tenant la perche.
Il s’y
prit à plusieurs reprises, essayant d'introduire l’objet dans ce sexe qu’il
avait autrefois connu intimement, qu'il avait aimé torturer doucement pour
faire jouir cette femme masochiste avec qui il avait partagé tant de moments
sombres et intenses. Mais cette fois, il ne s'agissait plus de jouissance. Il
allait, pour la dernière fois, pénétrer ce corps qu'il avait aimé, non plus
pour lui donner du plaisir, mais pour l'anéantir.
La
première tentative échoua. Le sexe de la reine, déjà terriblement abîmé par les
précédents sévices, offrait une résistance inattendue. Le bourreau recula, prit
une profonde inspiration, et avec une brutalité grandissante, il enfonça le god
de plus en plus profondément. Le métal crissait contre les chairs fragilisées,
et un râle de douleur monta de la gorge de la reine, bien qu’elle s'efforçât de
rester fière face à la foule.
Peu à
peu, il força l’instrument à pénétrer plus profondément, déchirant les parois
vaginales, broyant ce qui restait de ce sexe majestueux qui avait autrefois
gouverné des hommes. Les pointes du god commencèrent à piquer l’utérus, chaque
mouvement provoquant des spasmes incontrôlables dans le corps de la reine. Elle
serrait les poings, ses ongles s’enfonçant dans ses paumes ensanglantées,
refusant de crier malgré la souffrance insoutenable.
Le
bourreau, malgré lui, ressentit une étrange nostalgie mêlée d'une profonde
tristesse. Cet acte final de destruction n'était plus une simple exécution,
c'était la fin d'une histoire entre eux. Pourtant, il continua, enfonçant
encore plus brutalement l'objet en bois et en fer, ravageant les chairs
délicates de la vulve. Chaque poussée était plus violente que la précédente, et
bientôt, il ne restait plus rien d’intact à l’intérieur de la reine.
Les
murmures dans la foule se transformèrent en hurlements d’extase ou de dégoût.
Certains spectateurs, excités par la vue de la destruction brutale de ce corps
autrefois si convoité, se frottaient contre leurs voisins, incapables de
résister à la perversion du spectacle. D'autres, en revanche, se détournaient,
incapables de supporter davantage la vision de cette violence inhumaine.
Le god
s’enfonçait de plus en plus profondément, touchant l’utérus, le piquant avec
ses petites pointes. Le bourreau poussa encore, déterminé à accomplir son acte
jusqu’au bout, sentant le corps de la reine se contracter sous la douleur.
Finalement, avec un ultime effort, il enfonça l’arme jusqu’à la garde, le vagin
complètement détruit, les parois vaginales déchirées, les muscles rompus.
Un
silence lourd s'abattit sur la place. La reine, malgré la torture abominable,
ne lâcha pas un cri final. Ses yeux bleus fixaient toujours la foule avec défi,
comme pour montrer que même dans la douleur la plus atroce, elle restait
invaincue.
Le
bourreau, la mâchoire crispée par l'horreur de son propre geste, retira
lentement le god ensanglanté du sexe massacré de la reine. Des morceaux de
chair pendaient encore aux pointes du dispositif tandis que le sang coulait en
flots sur l'estrade, créant un spectacle terrifiant et morbide. Le public,
suspendu entre fascination et dégoût, ne pouvait détourner le regard. Il savait
que la reine, malgré son corps détruit, était encore loin d'en avoir fini avec
sa souffrance.
Le
bourreau s’approcha alors de la forge, où un tison de fer blanc chauffait à une
température suffocante. La chaleur dégagée par l’outil brûlant semblait
éclipser le frisson matinal du printemps. Il le brandit et, sans hésitation,
appuya la pointe du fer sur l’ouverture béante de la vulve. Un sifflement
strident se fit entendre alors que le métal incandescent cautérisait la plaie,
remplissant l’air d’une odeur de chair brûlée. La reine tomba immédiatement
dans les pommes, la douleur surpassant tout ce qu’elle avait pu endurer
jusque-là. Ses yeux se fermèrent, et son corps s'effondra, sans force.
Il fallut
plusieurs seaux d’eau froide jetés sur elle pour la ramener à la conscience. Sa
respiration était lourde, entrecoupée de gémissements faibles. Elle était à
peine consciente, mais ses yeux trahissaient une résignation mêlée de défi. Les
graines de drogue magique continuaient à lui faire ressentir une excitation
troublante, bien que son corps soit brisé.
Le roi,
toujours plus avide de souffrance, hurla de nouveau, réclamant la destruction
totale de son corps. Le bourreau, le cœur lourd, se tourna alors vers la
prochaine étape du supplice : les seins de la reine. Ces énormes mamelles,
autrefois sources de désir et de pouvoir, allaient à présent subir leur sort.
Il saisit
le "ripper", une pince spécialement conçue pour arracher et détruire
les seins des condamnées. Ce dispositif, redouté même parmi les tortionnaires
les plus expérimentés, était l'outil ultime de démembrement. Le bourreau plaça
l’instrument autour du premier sein, fermant les mâchoires de métal sur la
chair gonflée et meurtrie par les précédents sévices. Il serra avec force,
jusqu’à ce que le sang jaillisse, les tissus se déchirant lentement mais
sûrement sous la pression.
La reine,
revenant peu à peu à elle, ne put retenir un cri guttural. Son corps se tordit
sous la douleur, mais elle ne supplia pas. Son regard restait fixe, résolu à ne
pas céder à l’humiliation totale. Le bourreau répéta l'opération sur l'autre
sein, le ripper mordant profondément dans la chair, jusqu'à ce que les deux
masses charnues ne soient plus que des lambeaux de chair sanguinolents.
Le public
retenait son souffle alors que le bourreau terminait cette macabre tâche. Une
fois les seins détruits, il saisit de nouveau un fer rouge sorti de la forge et
commença à cautériser les plaies béantes, refermant ce qui restait de sa
poitrine dans un dernier acte de cruauté brûlante.
Les
hurlements de la reine résonnèrent une dernière fois dans l'air, son corps
convulsant sous l'intensité des flammes métalliques appliquées sur ses seins
mutilés.
La scène
finale de l'exécution était un véritable cauchemar pour la foule, pourtant
avide de ce spectacle macabre. Le corps mutilé de la reine, ce qu'il en
restait, fut détaché de son siège de supplice, mais elle était encore en vie,
accrochée à un mince fil de conscience. Ses yeux, autrefois brillants de défi,
étaient désormais ternes, reflétant une douleur au-delà de toute imagination.
Quatre soldats la soulevèrent sans ménagement, traînant sa carcasse brisée pour
la placer sur la roue.
Son corps
meurtri fut solidement attaché à cette structure infâme, chaque articulation
soutenue par des cales sous ses coudes et genoux, un sinistre présage des coups
à venir. Le bourreau, armé de sa lourde barre de fer, s'approcha. Il était en
proie à une lutte intérieure, tiraillé entre l’horreur de ce qu'il avait fait
et sa soumission aux ordres du roi. Ses mains tremblaient légèrement en
saisissant la barre. Mais il savait qu'il n'avait pas d'autre choix. Le roi
réclamait plus de souffrances, et la foule, bien qu'horrifiée, voulait son
spectacle.
D'un
geste précis et implacable, il leva la barre et l’abattit sur les genoux de la
reine. Le craquement des os brisés résonna dans l’air. Les hurlements de la
reine, devenus presque inhumains, déchiraient le silence pesant de la place
publique. Ses genoux n’étaient plus que des masses difformes, sa chair meurtrie
et ses os broyés. Le bourreau continua, frappant avec la même force ses coudes,
ses épaules, méthodiquement, brisant chaque articulation dans un ballet de
douleur et de violence.
Les seaux
d'eau froide furent versés sur son corps plusieurs fois, la ramenant à la
conscience à chaque instant où elle semblait sombrer. Le roi ne voulait pas
qu’elle ait la moindre échappatoire. Elle devait souffrir, encore et encore,
jusqu’à ce que la mort vienne enfin la libérer.
Mais ce
n’était pas encore la fin. Le bourreau, visiblement épuisé par ce massacre,
mais résolu, saisit une lame tranchante et ouvrit le ventre de la reine. D’un
geste brutal, il écarta les parois béantes de son abdomen, exposant ses
entrailles. Puis, avec une cruauté qui dépassait l’entendement, il versa de
l’huile bouillante à l’intérieur de son corps, ainsi que sur les restes
calcinés de ses seins et de sa vulve. La chair grésillait sous la chaleur,
émettant une odeur nauséabonde de viande grillée, tandis que la reine se
tordait dans des spasmes atroces, à bout de forces, mais encore consciente.
Dans un
ultime geste d’humiliation, on lui coupa les oreilles, deux trophées macabres
destinés au roi comme souvenirs de cette exécution. Ce fut la goutte d'eau qui
fit basculer le bourreau. Après avoir tout enduré, après avoir mutilé la femme
qu’il avait autrefois aimée, quelque chose en lui se brisa.
D’un
geste soudain, il se tourna vers le roi, ses yeux enflammés d'une rage
incontrôlable. Il brandit le même couteau qui avait ouvert le ventre de la
reine et, dans un élan de fureur, l’enfonça profondément dans la poitrine du
roi. Le silence tomba sur la foule, abasourdie par ce retournement inattendu.
Le roi, pris de court, s’effondra sur le sol, son corps agité de soubresauts
alors que la vie le quittait.
Mais le
bourreau n'eut pas le temps de savourer sa vengeance. Un garde, prompt à
réagir, décocha un carreau d’arbalète qui vint se loger dans son cœur. Le
bourreau tomba à son tour, rejoignant la reine dans la mort.
Le
spectacle sanglant s’achevait dans un chaos total, laissant derrière lui des
souvenirs gravés dans l’esprit de ceux qui avaient assisté à cette journée
tragique, à la fois fascinés et horrifiés par la barbarie qui s’était déroulée
sous leurs yeux.
Fin
©
copyright Marc Vongotha 63



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