Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z
Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique.
Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.
Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.
Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.
Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.
J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.
Le personnage de la vieille Dame le fil rouge de plusieurs
histoires
La vieille dame, figure centrale des récits,
est une véritable légende dans l'univers sadomasochiste que vous dépeignez.
Ressemblant à une sorcière de contes, elle est vieille, ridée, avec des mains
noueuses et un regard perçant qui semble lire au plus profond des désirs
cachés. On murmure qu'elle aurait été bourreau sous l'Occupation, bien que
cette rumeur soit teintée de mystère. Elle ne travaille pas pour l'argent, bien
qu'elle en possède en abondance. Pour elle, la torture est une drogue, un
besoin viscéral, presque surnaturel.
Elle attire des hommes et des femmes de
toutes conditions, des plus riches aux plus pauvres, leur offrant la
"prime de la douleur" comme un prétexte pour ne pas avouer leurs
pulsions masochistes. Pourtant, elle voit clair dans leur jeu. Qu'ils viennent
pour l'argent ou non, tous sont là pour la même raison : explorer les limites
de la douleur et trouver un plaisir dans la souffrance.
Cette vieille dame, sans scrupule ni pitié,
aime particulièrement manipuler et malmener les organes génitaux de ses
victimes, prenant un plaisir cérébral intense à les abîmer, à les déformer pour
leur donner ce qu'ils demandent, parfois même plus. Elle est une experte dans
l’art de décupler la douleur, que ce soit avec des instruments de torture ou
des méthodes plus subtiles. Claudine, Clara et tant d'autres ont appris que,
sous ses mains, la douleur devient une expérience transcendante, une jouissance
pure.
Elle incarne la peur et le désir, à la fois
mythique et bien réelle.
Claudine
La
vieille dame, connue dans certains cercles pour ses talents sadiques, était de
plus en plus sollicitée. Ce n'était pas un travail pour elle, mais une
obsession, une drogue dont elle ne pouvait se passer. Depuis sa jeunesse, elle
avait toujours pris plaisir à tourmenter, à explorer la douleur des autres,
qu'ils soient hommes ou femmes, riches ou pauvres. Rien ne l'arrêtait. Son
immense fortune lui permettait de mener une vie simple en apparence, mais dans
l'intimité, elle dépensait des sommes considérables pour attirer ceux qui
cherchaient, secrètement ou non, à se faire torturer.
Elle
avait compris depuis longtemps que l'argent n'était qu'un prétexte pour
beaucoup. Ces personnes venaient la voir sous le couvert de la nécessité, de la
précarité financière, mais elle voyait clair en eux. Leur véritable motivation
était leur soif de douleur, de soumission, de libération par la souffrance. La
vieille dame le savait, elle lisait en eux. Parmi ces âmes désespérées, il y
avait cette femme en particulier, une mère célibataire, sans travail ni homme
dans sa vie. À 35 ans, elle prétendait venir pour l'argent, pour la "prime
à la douleur". Mais la vieille dame voyait au-delà des apparences. Elle
savait que cette maman, malgré son visage effacé et son corps quelconque,
désirait quelque chose de bien plus intense.
La
rousse, dodue, mesurait 1m75 pour 75 kg. Toujours soignée, elle faisait de son
mieux pour rester propre, lisse, sans extravagance. Pourtant, elle restait
invisible aux yeux des autres, une femme ordinaire, sans éclat. Une femme comme
on en croise tous les jours, une de celles qu’on ignore dans la rue. Mais pour
la vieille dame, cette femme était bien plus que cela. Elle voyait la
potentialité cachée derrière cette peau banale. Sous ces vêtements sobres se
trouvait un corps aux formes séduisantes, des seins fermes de 95C, des tétons
bien visibles une fois en érection, et une vulve d'une beauté presque parfaite
: des petites lèvres fines et discrètes, un clitoris érigé quand l'excitation
montait, des grandes lèvres épaisses qui attendaient d’être malmenées,
torturées.
Ce corps,
la vieille dame avait hâte de le travailler, de l'explorer. Elle sentait déjà
l’odeur de la peur mêlée à l'excitation chez cette femme, cette maman qui
prétendait venir pour une simple transaction financière. Pourtant, dès qu’elle
serait attachée, qu’elle sentirait les premières douleurs, ses vraies pulsions
se révéleraient. Elle ne serait plus une mère désespérée en quête d’argent,
mais une femme en quête de libération à travers la souffrance.
« Tu
prétends venir pour l'argent, n'est-ce pas ? » lui demanda la vieille dame
d'une voix douce mais perverse, tout en préparant ses instruments de torture. «
Mais je sais que c'est plus que cela. Tu veux plus, n’est-ce pas ? Quelque
chose que personne d’autre ne peut t'offrir... »
La femme
baissa les yeux, hésitante. Elle se tenait là, vulnérable, prête à tout.
La
vieille dame observait la femme se déshabiller avec une satisfaction froide,
presque calculatrice. Elle voyait les signes du désir malgré les excuses
maladroites, cette honte mal dissimulée. La rousse, maintenant nue, monta sur
la chaise gynécologique, ses jambes écartées dans les étriers, exposant son
corps tremblant d'excitation et de peur. La vieille dame approcha lentement,
savourant chaque instant de cette soumission implicite.
« Oh, je
vois bien, petite menteuse… » susurra-t-elle en pinçant brusquement le clitoris
gonflé de la femme, déjà hors de son capuchon, gonflé et rouge. Un cri étranglé
échappa à la femme, à la fois de douleur et d'excitation. « Regarde-toi, tu es
déjà trempée. Tu viens me dire que tu cherches un travail, mais tu es ici,
offerte, prête à tout pour cette douleur qui te fait jouir. Tu crois que tu
trompes qui, exactement ? »
La femme
secoua la tête, ses joues rougies par la honte et l’excitation. « Non, madame,
c’est... je... »
« Tu n’as
pas d’homme pour te prendre, hein ? Il n’y a que moi. Seule moi peut te donner
ce que tu cherches, ces tourments, cette douleur qui te fait jouir comme aucune
caresse ne le pourrait. Avoue-le. C’est moi qui t’entretiens, qui te fait
jouir. Ce n’est pas l’argent que tu veux, c’est la douleur, la vraie. »
La
vieille dame pinça violemment à nouveau le clitoris, le tordant entre ses
doigts noueux, tandis que l’autre main fouillait la vulve déjà humide,
provoquant des spasmes chez la femme, qui ne pouvait plus nier l'évidence.
« Avoue,
» insista la vieille dame en plongeant un doigt sec dans le vagin trempé de la
femme, puis un autre. « Dis-moi, est-ce que tu préfères passer huit heures par
jour dans un bureau, à taper sur un clavier pour un maigre salaire, ou venir
ici, une fois par semaine, recevoir ce que tu mérites vraiment ? Un bon
salaire, 1000€ à chaque fois, et un plaisir que personne ne pourra jamais te
donner. »
La femme,
la respiration haletante, les yeux fermés sous l’assaut des sensations,
trembla. Elle savait que la vieille dame disait la vérité. Il y avait quelque
chose d’hypnotique, de puissant dans cette douleur, dans ces tortures que
personne d’autre n’oserait lui infliger. Elle le savait, elle en avait besoin.
«
Avoue-le, » murmura la vieille dame en tordant encore plus fort son clitoris. «
Tu veux revenir ici, tu veux tes 4000€ par mois et jouir comme jamais. Ce n’est
pas un travail que tu cherches, c’est moi. »
Un
gémissement étouffé s’échappa de la bouche de la femme, son corps tout entier
frissonnant sous l’effet de la douleur et du plaisir entremêlés. « Oui… »
finit-elle par souffler, à peine audible. « Oui, c’est ce que je veux... »
La
vieille dame sourit, satisfaite. Elle relâcha son emprise, mais seulement pour
préparer la prochaine torture. « Voilà. C’est bien. Maintenant, laisse-moi te
montrer à quel point je peux te faire jouir et souffrir, encore plus que la
dernière fois. Tu ne mentiras plus jamais. »
Elle prit
un fouet, fin et souple, puis le fit claquer dans l’air avant de l’abattre sur
les seins tendus de la femme. Le cri qui suivit était à la fois un hurlement de
douleur et un gémissement de jouissance. La vieille dame savait que cette
femme, comme tant d’autres avant elle, était désormais à sa merci.
La
vieille dame, avec une lenteur calculée, abattait le fouet sur la peau tendre
de la rousse, savourant chaque impact. Les seins de la femme, généreux et
fermes, étaient déjà marqués de fines lignes rouges, témoignages de la violence
des coups. Les tétons, bandés de douleur et d’excitation, étaient ses cibles
préférées, et elle s’y attardait, frappant avec une précision sadique qui
arrachait à la femme des gémissements de plus en plus désespérés.
Cette
femme, si ordinaire, que l’on aurait pu croiser dans la rue sans jamais
soupçonner les ténèbres de ses désirs, était maintenant une offrande entre ses
mains. La vieille dame se délectait de son impuissance, de la manière dont son
corps trahissait ses propres émotions. L’extase et la honte se mélangeaient
dans les cris étouffés de la rousse, dont les joues étaient empourprées de
douleur.
Mais la
vieille dame n’en avait pas terminé. Elle laissait le fouet tomber un instant,
se penchant pour fouiller dans un tiroir à proximité. Elle en sortit quatre
pinces à sachet, de celles que l’on utilise en cuisine pour fermer des sacs,
mais ici, elles allaient servir à un tout autre usage. Des pinces en métal,
lourdes, ressemblant à des mâchoires de crocodile prêtes à mordre.
Sans un
mot, elle s’agenouilla devant la chaise gynécologique où la rousse était
immobilisée. Elle attrapa une première pince et, d’un geste précis, la plaça
sur la grande lèvre gauche de la vulve exposée. La peau tendre et sensible fut
instantanément comprimée, provoquant un hurlement chez la femme. Mais ce
n’était que le début. Une autre pince suivit sur la même lèvre, tirant encore
plus fort. Puis, elle fit de même avec la grande lèvre droite, les pinces
écartant douloureusement la vulve, offrant ainsi une vue crue et impudique du
sexe gonflé et tremblant de la femme.
«
Regarde-toi, » murmura la vieille dame, sa voix remplie d’un plaisir non
dissimulé. « Tellement exposée. Tellement vulnérable. Tu voulais souffrir,
n’est-ce pas ? »
La femme
ne pouvait que gémir en réponse, son corps se débattant faiblement sous l’effet
de la douleur. La tension dans ses lèvres était insupportable, chaque
millimètre de peau tendue au maximum, ses parties intimes offertes sans aucun
répit. La vieille dame sourit, prenant maintenant le fouet dans sa main.
Elle le
laissa siffler dans l’air avant de le faire claquer directement sur le vagin
ainsi exposé. Un cri déchirant emplit la pièce alors que la femme se tordait
sous l’impact. Mais la vieille dame ne s’arrêta pas là. Le fouet continuait de
s’abattre sur la vulve tendue, sur ces lèvres gonflées et offertes. À chaque
coup, la peau fragile rougissait, enflait, jusqu’à commencer à saigner
légèrement. Le clitoris de la femme, lui aussi gonflé, était une cible facile,
et chaque impact le faisait tressaillir, augmentant à la fois la douleur et
cette étrange jouissance masochiste.
« Tu
saignes, » constata la vieille dame, presque avec tendresse. « C’est ça que tu
voulais, n’est-ce pas ? Saigner pour moi, jouir dans la douleur. »
La femme,
le corps tremblant, les yeux embués de larmes, ne pouvait que hocher faiblement
la tête. Elle était dépassée par la violence des sensations, par cette douleur
qui devenait peu à peu un plaisir insoutenable.
Claudine,
cette femme rousse et discrète, avait mené une existence terne, quasi
invisible, jusqu'à ce que ses instincts masochistes prennent une place centrale
dans sa vie. Ses voisins ignoraient tout de ses secrets les plus sombres,
croyant qu'elle n'était qu'une mère de famille ordinaire. En réalité, dès ses
premiers émois sexuels, Claudine s'était découverte une appétence pour la
douleur, qu'elle nourrissait dans l'ombre, se masturbant deux fois par jour
après avoir déposé ses enfants à l’école. Cette routine monotone de mère au
foyer — lever à 6h, préparer le petit-déjeuner, déposer les enfants, faire le
ménage, laver le linge, préparer les repas — ne lui offrait guère
d'échappatoire. Mais la douleur, elle, la faisait sentir vivante, et c'était là
son seul véritable exutoire.
Aujourd'hui,
dans cette pièce à l’atmosphère pesante et sordide, elle était face à quelque
chose de bien plus intense que ses propres fantasmes. Claudine ressentait la
peur monter en elle, une peur mêlée à une excitation presque insoutenable.
L’adrénaline parcourait ses veines, éveillant tous ses sens. Elle avait enfin
trouvé un espace où son existence morne prenait fin pour faire place à une
autre réalité, celle où elle n’était plus qu’une "salope pour la prime
douleur", selon ses propres mots. C’était ce qu’elle était ici, rien de
plus, et c'était ce qu'elle désirait profondément.
La
vieille dame, quant à elle, jouissait de cette prise de pouvoir sur une femme
aussi ordinaire en apparence, mais qui, sous la surface, cachait des pulsions
aussi fortes que les siennes. Saisissant une brosse à dents électrique aux
poils durs, elle l’alluma avec un sourire carnassier, observant avec un plaisir
non dissimulé le clitoris de Claudine, gonflé et exposé sous la tension de ses
lèvres écartées par les pinces. Le petit bouton de chair, déjà hypersensible,
palpitait de douleur et d'excitation.
Sans
attendre, la vieille dame approcha la brosse et la fit vibrer directement
contre le clitoris érigé de Claudine. Le bruit mécanique se mêlait aux
gémissements désespérés de la jeune femme, son corps se contractant sous
l'effet immédiat de la douleur. Les poils durs de la brosse irritaient la chair
déjà sensible, transformant chaque pulsation en un feu brûlant et insoutenable.
Claudine
se tordait sur la chaise, son souffle court, luttant entre l'envie de fuir
cette douleur et celle de s’y abandonner complètement. Ses mains cherchaient à
agripper quelque chose, ses ongles se plantant dans le cuir de la chaise, alors
que la vieille dame augmentait encore la pression.
«
Regarde-toi… une vraie petite soumise, » murmura la vieille dame avec
délectation. « Tu ne mérites pas mieux que ça, Claudine. Tout ce que tu fais,
c’est souffrir et jouir, et tu en redemandes. N’est-ce pas ? »
Claudine
ne put qu’hocher la tête, les larmes aux yeux, incapable de formuler une
réponse cohérente. La douleur irradiait de son clitoris dans tout son
bas-ventre, une brûlure intense, mais elle sentait, au fond d’elle, cette
libération familière et tant attendue. La vieille dame, sadique dans l'âme,
prenait tout son temps, savourant les secousses involontaires du corps de
Claudine. Elle savait qu’elle jouait avec les limites de la jeune femme, et
c’est précisément ce qui l’excitait.
« C’est
ça que tu cherches, » continua la vieille dame d’un ton presque moqueur. « Une
vie fade, sans rien, et une fois par semaine, tu viens ici pour ressentir
quelque chose. Tu viens me voir, parce que personne d'autre ne sait quoi faire
de toi. Mais moi, je sais. »
Claudine
tremblait, les jambes écartées, son sexe en feu. Le plaisir et la douleur se
confondaient, brouillant ses sens jusqu'à l'épuisement. Chaque vibration de la
brosse à dents la rapprochait de l’explosion finale. Et c’est ce que la vieille
dame voulait : la pousser jusqu’à l’abandon, jusqu’à ce point de non-retour où
elle ne serait plus capable de différencier la jouissance de la souffrance.
La
vieille dame, toujours en contrôle, savait exactement quand stopper pour
maximiser la frustration de Claudine. Alors que la jeune femme frôlait
l'orgasme, prête à exploser sous l'assaut des sensations, elle sentit
brusquement le plaisir lui être arraché. La douleur se fit plus vive quand la
vieille dame prit une cordelette fine et la serra fermement autour de son
clitoris, déjà gonflé et hypersensible. Le bouton fragile prit rapidement du
volume, virant au rouge violacé, presque tuméfié sous la pression. Claudine
haletait, la douleur intensifiant chaque seconde, tandis que son excitation ne
faisait qu'augmenter.
« Voilà,
maintenant tu vas rester dans cet état, » murmura la vieille dame, savourant
chaque seconde de son contrôle. « Je vais te donner plus que ce que tu peux
supporter. »
Elle
réfléchit un instant, le regard rivé sur le sexe de Claudine, exposé, ouvert,
et vulnérable. Une nouvelle vague d'idées perverses inonda son esprit.
Lentement, elle se leva et sortit un petit pot d'huile pimentée, une version
artisanale qu’elle avait elle-même concoctée. Elle en versa quelques gouttes
dans la paume de sa main, avant de l'appliquer directement sur le clitoris
étranglé, le massant doucement mais sans aucune douceur véritable, le but étant
de brûler autant que possible.
Claudine
hurla à ce contact, la sensation de brûlure venant se mêler à l’étouffement
déjà insupportable de son clitoris. Elle pouvait à peine respirer, son corps
entier tendu dans une agonie et un plaisir paradoxal.
« Tu sens
ça, Claudine ? C’est ton corps qui se bat contre lui-même. Tu n’as jamais
ressenti quelque chose d’aussi intense, n’est-ce pas ? Mais ne t'inquiète pas,
je ne vais pas m’arrêter là. »
Puis la
vieille dame, toujours méthodique, saisit une longue aiguille, fine et bien
aiguisée. Elle l'approcha du clitoris tuméfié et rouge, son regard sadique
brulant de plaisir à l'idée de ce qu'elle allait faire. Elle fit glisser
l’aiguille contre le bouton sensible, effleurant la peau presque à rompre, pour
jouer avec la tension de Claudine qui gémissait entre la douleur et l’attente.
Enfin,
elle enfonça l’aiguille lentement dans la base du clitoris, le traversant
délicatement mais avec une précision sadique. La douleur fulgurante envahit
Claudine, son corps se contractant sous l’impact immédiat. La vieille dame fit
un léger mouvement de rotation avec l’aiguille avant de la retirer, laissant le
clitoris battre encore plus fort sous l'effet de la douleur.
« C’est
ça, ma petite Claudine. Ton sexe ne sera plus jamais le même après ça. Mais tu
en redemanderas, n’est-ce pas ? »
Elle se
dirigea ensuite vers le vagin ouvert et vulnérable de Claudine. Ses grandes
lèvres étaient toujours étirées par les pinces, exposant toute la zone intime à
ses prochains tourments. La vieille dame prit un autre objet de sa collection
sadique : une brosse métallique. Elle commença par l’introduire doucement,
faisant grincer la surface dure contre la peau interne sensible de Claudine.
Elle laissa
la brosse pénétrer, lentement d'abord, puis avec plus de force. Chaque
mouvement de va-et-vient arrachait des cris à Claudine, chaque coupure et
éraflure à l’intérieur de son vagin la rapprochait davantage de la folie du
plaisir. Le sang commençait à perler légèrement à chaque mouvement de la
brosse, et la vieille dame, imperturbable, savourait chaque cri et chaque
tressaillement du corps de Claudine.
« Ton
vagin doit être bien abîmé maintenant, mais ne t’inquiète pas, je n’ai pas
fini. Je vais encore t'emmener plus loin. »
La
vieille dame observait Claudine avec un sourire qui en disait long sur les
tourments qu'elle préparait. Ce jour-là, son sadisme semblait exacerbé, une
frénésie douce et excitante qu'elle peinait à dissimuler. Claudine, déjà nue,
pantelante, les cuisses écartées et vulnérables, n’imaginait pas ce qui allait
suivre. Mais la vieille dame, elle, savait parfaitement où elle voulait en
venir.
«
Claudine, aujourd'hui est un jour spécial. Je te propose quelque chose de
particulier. » Sa voix tremblait presque de plaisir anticipé. « Je vais doubler
ta prime. 2000 euros aujourd'hui, mais... en échange, je vais abîmer ton vagin
d'une manière que tu n'oublieras jamais. »
Claudine,
le souffle court, écoutait sans dire un mot, son cœur battant la chamade. La
promesse de souffrance, et l’excitation qui montait en elle à cette idée,
étaient inexplicablement liées. Ses yeux cherchaient ceux de la vieille dame,
et elle savait que ce choix, aussi extrême soit-il, serait celui qui la
libérerait.
« Je vais
commencer par te déchirer avec une brosse métallique. Ton vagin va saigner,
gonfler. Ensuite, je verserai de l'huile pimentée sur tes plaies ouvertes. »
Elle fit une pause, observant la réaction de Claudine qui frissonnait déjà
d’anticipation. « Et enfin, je te finirai avec un fer à friser brûlant. Tu peux
refuser, bien sûr. Mais si tu acceptes, tu ne pourras plus revenir en arrière.
»
Claudine,
perdue dans sa transe masochiste, laissa échapper un soupir de soumission. Elle
n’avait jamais été aussi excitée, aussi vivante. Dans un souffle presque
imperceptible, elle répondit :
« Faites
votre travail... Abîmez mes organes génitaux. »
La
vieille dame, satisfaite, hocha la tête. « Très bien. Alors nous commençons. »
Elle
saisit une lourde brosse métallique, aux poils acérés et rigides, faite pour
arracher la chair. Elle la fit passer doucement sur les cuisses de Claudine,
comme pour tester sa résistance, avant de l'enfoncer brutalement à l'intérieur
de son vagin. Le métal crissa contre les parois sensibles, créant des
microdéchirures, chaque mouvement agrandissant la plaie.
Claudine
hurlait, son corps tendu par la douleur, mais chaque cri semblait la rapprocher
davantage d’une jouissance intense. La vieille dame ne ralentit pas, savourant
le spectacle. Elle tirait et poussait la brosse avec une méthode presque
chirurgicale, jusqu’à ce que le sang commence à couler doucement, tâchant les
poils métalliques. Le vagin de Claudine, déjà malmené, était désormais en
flammes.
« C’est
bien, petite, tu es sur la bonne voie, » murmura la vieille dame avec un
sourire satisfait.
Elle
lâcha la brosse et saisit la bouteille d'huile pimentée. Le liquide sombre et
visqueux coulait entre ses doigts alors qu’elle le versait sans la moindre
hésitation sur le vagin déchiré de Claudine. La réaction fut immédiate. La
brûlure était insoutenable, envahissant chaque nerf déjà meurtri par les
coupures. Claudine trembla violemment, son souffle saccadé, ses yeux rougis de
larmes.
« Voilà,
c’est ce que tu voulais, non ? Sentir cette douleur qui te libère, qui te fait
jouir. »
La
vieille dame, sans attendre, attrapa le fer à friser qu'elle avait préparé,
chauffé à blanc. « Mais maintenant, vient la touche finale. »
Claudine,
en pleine transe, entre douleur et plaisir, ne pouvait plus que haleter, son
corps à la limite du supportable. Le fer à friser, brûlant, s’approcha de son
sexe meurtri, irradiant une chaleur terrifiante.
« Prête à
tout perdre ? » demanda la vieille dame en jouant avec le clitoris de Claudine,
déjà rouge et gonflé par la douleur.
Et sans
attendre de réponse, elle appliqua le fer contre le clitoris étranglé,
provoquant un hurlement primal de Claudine. Son corps se contracta violemment
sous l’effet de la douleur, une vague de souffrance tellement intense qu’elle
crut un instant perdre connaissance. Pourtant, malgré tout, au cœur de ce
calvaire, la jouissance montait, déchirante, inarrêtable. Elle se sentit
exploser dans un orgasme si puissant qu'il traversa la douleur, la sublimant
presque.
La
vieille dame, satisfaite de son travail, retira lentement le fer, laissant le
corps de Claudine s’effondrer, exténué. Elle regarda les dégâts qu'elle avait
causés : le vagin en sang, le clitoris tuméfié, marqué à jamais par le fer
brûlant.
« Bravo,
ma petite. Tu as bien tenu. 2000 euros pour cette séance. »
Après
cette séance de torture intense, la vieille dame, bienveillante malgré la
cruauté qu'elle avait infligée, revint vers Claudine avec un regard presque
attendri.
« Tiens,
bois ça, ma chère. Ça te fera du bien. »
Elle
tendit à Claudine une tasse de café bien chaud, l'arôme fort du breuvage se
mêlant à une pointe de cognac qu'elle y avait versé discrètement. Claudine,
encore tremblante, attrapa la tasse avec des mains légèrement secouées par
l'effort et la douleur. Le liquide brûlant descendit dans sa gorge, réchauffant
son corps affaibli, mais aussi lui redonnant un semblant de force après
l’épreuve insoutenable qu’elle venait de subir.
Pendant
qu’elle sirotait lentement, la vieille dame s’agenouilla près d’elle avec une
douceur étonnante. Elle prit un linge chaud qu’elle avait préparé et l’appliqua
délicatement sur le visage de Claudine, essuyant la bave qui avait coulé sur
ses lèvres pendant ses cris de souffrance. Puis, avec des gestes calmes, elle
commença à nettoyer doucement la vulve meurtrie de Claudine, maintenant
gonflée, rouge et marquée par les tourments qu’elle avait endurés.
Le
contact du linge chaud sur ses blessures, bien que douloureux, apporta un
certain apaisement. La vieille dame appliqua également une pommade sur les
plaies ouvertes, pour soulager un peu la brûlure laissée par l'huile pimentée
et le fer à friser.
« Tu as
été courageuse aujourd'hui, Claudine, » dit-elle doucement en continuant ses
soins. « Repose-toi, tu mérites un peu de répit. »
Claudine,
épuisée, murmura un faible remerciement, reconnaissante pour ce geste, bien
qu’elle souffrait encore atrocement. Ses jambes tremblaient à chaque mouvement,
son corps semblant trop lourd à porter après cette épreuve.
Une fois
soignée, Claudine se leva lentement, titubant légèrement sous l'effet de la
douleur qui irradiait encore son bas-ventre. Ses pas étaient hésitants, chaque
mouvement un rappel des sévices qu'elle avait endurés, mais elle savait qu'elle
ne regretterait pas d’être venue.
«
Heureusement, ma voiture est juste là... » pensa-t-elle en se dirigeant vers la
sortie. Chaque pas semblait lui coûter un effort surhumain, mais elle se
rapprochait de sa voiture garée non loin.
Elle
monta avec difficulté à l'intérieur, grimaçant légèrement en s'asseyant, la
douleur encore vive. Mais malgré cela, un sentiment de satisfaction étrange la
submergeait. Une part d’elle se sentait enfin vivante, pleinement consciente de
ce qu’elle venait de vivre.
Elle prit
une profonde inspiration, se préparant à rentrer chez elle, où l'attendaient
ses enfants, sa routine… et la promesse de revenir voir la vieille dame.
©
copyright Marc vongotha 63

