Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z
Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique.
Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.
Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.
Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.
Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.
J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.
Le Voyeur et la Soumise Partie I
Par un
dimanche de mai brûlant, Marie-Jeanne s’était abandonnée à une courte sieste,
nue sous un simple drap froissé. Comme la chaleur s’insinuait dans chaque
recoin de l’appartement, elle avait ouvert grand la fenêtre, offerte à l’air
tiède... et aux regards. Elle ne portait qu’un vieux soutien-gorge noir trop
petit qui serrait ses seins lourds, et une culotte humide de cyprine, coincée
entre ses lèvres épaisses.
Le mardi
suivant, en rentrant du travail, elle découvrit dans sa boîte une enveloppe non
timbrée. À l’intérieur : deux lignes, griffonnées nerveusement sur une feuille
blanche.
« Merci
pour ce délicieux moment. Vu d’en face, votre corps en sommeil m’a électrisé.
La prochaine fois, ôtez tout. Et écartez bien vos cuisses. »
Pas de
signature. Juste cette injonction perverse.
Marie-Jeanne,
d’abord choquée, ne dit rien à son mari. Elle détruisit la lettre, la trempa
dans la pisse de leur chat avant de l’écraser au fond du vide-ordures. Mais ce
soir-là, elle ne put s’empêcher de retourner dans la chambre. Elle écarta un
peu le rideau et observa longuement les fenêtres d’en face. Derrière ces
rectangles aveugles, quelqu’un avait bandé sur elle. Quelqu’un s’était
peut-être branlé pendant qu’elle dormait.
Les jours
passèrent. Silence. Puis, un samedi matin, alors que son mari était parti toute
la journée, une nouvelle enveloppe l’attendait.
« Cet
après-midi, chaleur prévue. Ne me décevez pas. Vous savez ce que je veux. »
À 15 h,
comme programmée, Marie-Jeanne verrouilla l’appartement, retourna dans la
chambre, se déshabilla jusqu’au dernier fil, et s’allongea en travers du lit,
jambes grandes ouvertes, sa chatte rasée offerte à l’immeuble d’en face. Elle
resta ainsi longtemps, doigts jouant paresseusement entre les lèvres. Puis elle
sentit la démangeaison. L’appel. Elle attrapa une vieille brosse à cheveux au
manche arrondi, l’enduis de salive, puis la glissa lentement dans sa chatte, sa
main gauche pinçant son téton jusqu’à ce qu’il devienne violet. La tension
monta brutalement. Elle s’enfonça le manche plus profond, le bassin agité de
tremblements, et jouit en imaginant les yeux du voyeur fixés sur son sexe
empalé.
À peine
avait-elle fini de se laver qu’on sonna à l’interphone. Une voix masculine,
rauque, familière :
« Vous
avez du courrier. »
Fébrile,
elle dévala l’escalier. Personne. Mais dans la boîte : une enveloppe. À
l’intérieur, un préservatif noué, gonflé de sperme chaud. Elle hésita… puis
sourit. De retour dans la chambre, elle rouvrit la fenêtre, s’agenouilla nue
sur le lit, dénoua le latex, et versa lentement la semence sur son pubis. Elle
s’enduisit la chatte de foutre comme d’une crème sainte, enfonça deux doigts,
puis un gode en verre épais, et se força à jouir de nouveau. Cette fois, plus
lentement. Plus sale. Elle hurla dans l’oreiller, trempée de foutre et de
cyprine.
Le soir,
elle confessa tout à son mari, dans le noir. Elle murmura les lettres, le
préservatif, le foutre, la masturbation… Elle avait honte. Et pourtant, elle
sentit contre sa cuisse la bite de son mari durcir, gonfler, comme une bête en
cage.
‒ Tu as
joui ?
‒ Oui.
Fort. Très fort…
‒ Et tu
veux recommencer ?
‒ Oui.
C’est sale. C’est dégueulasse. Et c’est ça que j’aime.
Il la
pénétra alors avec une violence nouvelle. Une brutalité fière. Et pendant qu’il
la baisait, il grogna :
‒
Montre-lui ta chatte autant que tu veux… Mais après, tu me racontes tout. En
détail. Tu me promets ?
‒ Je te le
jure… Empale-moi comme il me regarde.
Les
semaines suivantes, le rituel s’installa. Le voyeur déposait ses messages
chaque vendredi, exigeait une nouvelle pose :
« Samedi,
15 h. À quatre pattes, cul offert, gode visible. »
Ou encore
:
«
Dimanche. Porte-jarretelles et bas-résille. Doigts dans l’anus, regard vers la
fenêtre. »
Marie-Jeanne
s’exécutait, docile. Chaque fois, elle recevait en remerciement un nouveau
préservatif rempli de foutre. Elle s’en tartinait les seins, ou se l’enfonçait
dans le vagin pour en vider le contenu tout au fond.
Après
chaque séance, elle faisait un compte-rendu minutieux à son mari. Ce récit
était devenu leur aphrodisiaque. Le mari la baisait ensuite, la gorge nouée de
jalousie et de fierté, mordait ses tétons, lui bandait les yeux, et parfois la
faisait lécher le préservatif usagé.
Avec le
temps, Marie-Jeanne apprit à repérer la fenêtre d’où il l’espionnait. Elle
guettait les mouvements d’ombre, la forme floue d’un homme derrière un rideau.
Et
pendant tout l’été, la perversion s’installa. À chaque message, à chaque
branlette, à chaque giclée d’un autre que son mari, Marie-Jeanne se transforma.
Elle devint putain consentante. Soumise partagée. Et le soir, c’est dans les
bras de son mari qu’elle se fondait, épuisée et sale, l’odeur du foutre encore
sur les doigts.
Le voyeur
et la salope soumise – Chapitre 2 : L'inconnu partout
Depuis
que les lettres anonymes avaient commencé à pleuvoir dans sa boîte, la vie de
Marie-Jeanne avait changé. Elle ne dormait plus, elle guettait. Elle ne
marchait plus, elle déambulait, offerte, humide, en attente.
Chaque
vendredi, une nouvelle lettre arrivait. Toujours sans timbre, toujours glissée
discrètement. Et à chaque fois, une consigne, plus précise, plus dégradante.
«
Vendredi soir. Branlez-vous, avec du gros sel de la farine piquez vous les
seins les levres de votre chatte avec une fourchette pointue Et dormez avec la fenêtre ouverte. »
«
Dimanche. Placez une pince à linge sur chaque téton. Sur chaque lèvres de votre
vulve, Restez nue, à genoux. Les mains derrière la tête Baisez-vous avec votre
plus gros god . »
Marie-Jeanne
obéissait. Docile. Son mari, d’abord choqué, était désormais complice. Il la
baisait plus fort, plus souvent, comme s’il s’emparait de la salope que l’autre
éveillait en elle. Il lui disait, entre deux coups de reins :
‒ Tu es à
moi… mais je te prête. Juste les yeux. Juste pour qu’il bande. Et moi, je
t’ouvre. Je t’use. Je te dévore.
Mais très
vite, un nouveau trouble s’insinua dans l’esprit de Marie-Jeanne : qui était ce
voyeur ? Elle se mit à scruter les fenêtres, les allées, les escaliers. À
chaque fois qu’elle sortait, elle imaginait des scénarios tordus, obscènes.
Un samedi
matin, elle descendit faire quelques courses. Il faisait chaud, elle ne portait
pas de soutien-gorge sous sa robe d’été légère. Sa chatte, nue sous le tissu,
collait à ses cuisses, encore moite de la veille. À chaque pas, elle sentait
les plis de sa vulve frotter doucement, la rappelant à son statut de soumise
offerte.
Dans la
rue, elle observa les gens avec une lueur trouble dans les yeux.
Et si
c’était lui, ce jeune homme au regard fuyant, qui la reluquait près des bananes
?
Ou ce
père de famille, un peu trop propre, qui la frôla en s’excusant ?
Ou cette
femme blonde, froide, qui fixait étrangement sa poitrine ? Était-ce elle qui la
faisait se masturber ? Une voyeuse sadique qui jouissait de la voir s’humilier
chaque soir ?
Et si
c’était pire encore ?
Un vieux.
Un voisin à la retraite, qui bandait encore en silence, sa bite flasque entre
deux photos de famille.
Ou une
vieille, une perverse ridée, solitaire, qui se frottait lentement sur un
coussin, en observant sa chair molle s’exhiber dans la lumière de l’après-midi.
Marie-Jeanne
jouit intérieurement rien qu’en y pensant.
Elle
imagina la vieille, assise sur un tabouret, pince sur le clitoris, se branlant
lentement avec le manche d’un crucifix pendant que Marie-Jeanne écartait les
cuisses devant la fenêtre.
Elle
imagina l’odeur du foutre rance d’un vieillard, recueilli dans un gant de
toilette, puis versé dans la boîte aux lettres.
Dans le
magasin, elle frôla un inconnu à lunettes et se demanda : « Est-ce que c’est sa
bite que j’ai goûtée l’autre soir, dans ce foutre épais qu’il m’a laissé ?
Est-ce qu’il me suit ? »
Cette
pensée la fit couler. Elle dut s’appuyer un instant contre une étagère,
prétendant chercher un paquet de riz.
Ce
soir-là, elle rentra chez elle, la culotte trempée. Elle la mit soigneusement
dans un sac plastique qu’elle plaça sous le lit, avec les autres. Le voyeur
l’avait demandé dans une lettre : « Garde toutes tes culottes souillées. Un
jour, je viendrai les sentir. »
Puis elle
alla se doucher, nue, offerte, se caressant lentement sous le jet tiède. Elle
ouvrit la fenêtre de la salle de bain et se pencha un peu, les fesses dehors.
Juste au cas où.
En
sortant, elle trouva une nouvelle enveloppe.
« Tu es
parfaite. Et tu ne sais même pas à quel point je suis proche. »
Elle
sursauta. Le message était plus direct. Plus inquiétant. Mais aussi plus
bandant. Elle sentit un frisson remonter le long de sa colonne.
Elle se
retourna. Rien. Juste le couloir, le silence.
Le soir
venu, elle s’allongea sur le lit, nue, et commença à écrire. Pas à lui. À
elle-même. Une confession. Une liste. Tous les hommes (et femmes) qu’elle
soupçonnait. Tous les fantasmes qu’elle avait eus cette semaine. Elle écrivit :
– Le
boucher, à cause de ses gants noirs.
– La
caissière, à cause de son rouge à lèvres salement étalé.
– Le
vieux voisin du 5e, qui l’a regardée une seconde trop longtemps.
– La
fille du fleuriste, avec ses ongles rouges et son air de salope passive.
Puis elle
ajouta :
« Je suis
prête. Qui que tu sois. Vieux, vieille, jeune, dégueulasse ou sublime. Viens.
Et regarde-moi. Je suis ta salope. »
Chapitre
3 — Les soirs de supplice
Chaque
soir, dès que la lumière baissait, Marie-Jeanne commençait à s’agiter.
Elle
n’attendait plus l’heure du dîner, ni celle du film. Ce qu’elle attendait,
c’était le moment où son corps allait devenir spectacle.
Un
théâtre obscène. Une offrande. Une scène.
Sa
chambre, son salon, sa salle de bain — elle les avait réaménagés comme des
plateaux. Les rideaux restaient entrouverts. Elle ne savait pas s’il ou elle
regardait. Mais elle se montrait.
Chaque
soir un peu plus crue. Chaque soir un peu plus abîmée.
Elle
s’asseyait nue sur la chaise en face de la fenêtre. Une lampe allumée juste
derrière elle, pour que son corps se découpe bien. Et elle commençait.
Ce
soir-là, elle avait préparé les pinces. Trois. Deux pour ses tétons — qui
durcissaient déjà sous l’anticipation — et une pour sa lèvre intime.
Elle
s’installa, écarta les cuisses, plaça la première pince sur son téton gauche.
CLAC.
La
douleur la transperça.
CLAC.
Le droit,
à vif déjà. Elle grimaça. Elle adorait cette morsure lente, ce pincement cruel
qui faisait battre sa chatte.
La
dernière, elle la coinça au plus bas, sur la lèvre interne gauche, tirant un
peu pour accentuer la tension.
Elle
haletait.
Le
clitoris, déjà gonflé, palpitait dans l’air tiède.
Elle prit
le petit pot d’huile pimentée qu’elle avait elle-même préparé : piments rouges,
gingembre râpé, poivre noir, et un soupçon d’essence de menthol. Une mixture
infernale qu’elle réservait à ses moments les plus obscènes.
Un
coton-tige. Une seule goutte.
Elle
l’approcha de son sexe, en tremblant.
Et elle
l’appliqua directement sur le bord du clitoris.
La
brûlure fut immédiate.
Elle
sursauta, les jambes écartées, et hurla sans bruit, la main crispée sur le
dossier de la chaise. Le feu l’envahit. Un feu sale, brûlant, insoutenable.
Mais elle
ne bougea pas. Elle garda les bras le long du corps, offerte. Soumise.
Elle
savait — ou plutôt, elle espérait — que quelqu’un la voyait.
Quelqu’un,
quelque part, dans la pénombre d’un immeuble voisin.
Un
inconnu qui se branlait en silence.
Une
vieille femme perverse, peut-être, qui se pinçait les tétons avec des pinces à
linge sales.
Un enfant
dégénéré. Un voyeur quadriplégique. Un clochard planqué dans un grenier. Elle
ne savait plus. Elle s’en foutait.
Tout ce
qu’elle voulait, c’était être vue. Être filmée mentalement. Être possédée du
regard.
Elle ne
toucha pas son clitoris.
Trop
douloureux.
Elle se
contenta d’écarter ses lèvres encore plus, pour que la brûlure se répande, pour
que la moindre goutte de sueur descende et réactive la morsure.
Puis elle
se pencha.
Se pencha
vers la fenêtre, les fesses hautes, les cuisses largement ouvertes.
Elle
resta ainsi vingt minutes.
Les yeux
fermés.
Elle ne
voulait pas jouir.
Elle
voulait brûler pour l’autre.
Quand
elle se releva, les pinces avaient creusé des sillons profonds.
Ses
lèvres étaient rouges, gonflées, tremblantes.
Son clito
battait, comme un cœur vivant, douloureux, sali.
Elle
souffla les bougies.
Éteignit
la lampe.
Et
murmura, en caressant sa propre gorge :
‒ Tu me
regardes, hein ? Je suis ta chienne. Et demain, je ferai pire.
Chapitre
4 — La cire, les larmes, et le regard de l’homme
Marie-Jeanne
avait retrouvé un rythme. Chaque soir, elle allumait ses lumières, tirait les
rideaux au deux-tiers, et préparait son autel.
Ce
n’était plus un jeu.
C’était
une vocation.
Une
religion du supplice.
Elle se
rasait intégralement chaque matin.
Tout
était lisse, implacablement nu.
Ses
grandes lèvres gonflées, presque charnues comme une bouche de chair vive,
béantes d’attente, bordaient un clitoris énorme, dix centimètres à pleine
érection, toujours en train de battre, comme s’il avait une vie propre.
Ses
seins, deux masses lourdes, marquées par le temps, 105D affaissés, retombaient
en larges gouttes, mais ses tétons, eux, avaient durci au fil des jours :
larges, noirs, toujours saillants.
Ils
réclamaient.
Ils
appelaient la morsure.
Ce
soir-là, elle n’était pas seule.
Son mari
était rentré plus tôt. Il avait trouvé la lumière dans la salle, le tapis au
sol, les pinces en croix posées sur le tabouret, les bougies épaisses alignées
comme des soldats.
Il
n’avait rien dit.
Il
s’était assis, dans l’ombre du fauteuil, à trois mètres. Il n’était ni acteur,
ni juge, ni bouche.
Il était
regard.
Un regard
avide, sidéré, fasciné.
Un regard
d’homme qui retrouvait enfin sa chienne.
Marie-Jeanne
savait qu’il était là.
Elle
n’avait pas besoin de le voir.
Elle le
sentait dans ses reins.
Elle
s’agenouilla, nue, face à lui, dos à la fenêtre. Le projecteur de salon
l’éclairait de côté, sculptant son corps comme une statue impure.
Elle
saisit la bougie noire, l’alluma. Elle attendit.
Puis,
lentement, elle écarta ses seins — tirant de chaque main les deux mamelles
tendues, lourdes, offertes.
Elle
pencha la bougie au-dessus.
Une
goutte de cire brûlante tomba juste au sommet du téton gauche.
Elle
hurla.
Mais ne
bougea pas.
Une autre
tomba. Puis une troisième.
Le téton
droit, plus nerveux, plus pointu, reçut le flot suivant.
La peau
frissonnait, la chair se contractait.
Son mari,
silencieux, avait passé une main sur sa braguette.
Il
regardait, impassible.
Mais son
sexe durcissait.
Il se
souvenait. Il revivait.
Marie-Jeanne,
elle, haletait, les bras encore tendus.
Ses seins
étaient rayés de cire, comme marqués au fer.
Elle
écarta les jambes. Lentement. Très lentement.
Son sexe
s’ouvrit.
Lèvres
écartées. Gorges mouillées. Clitoris gonflé.
Elle
approcha la bougie. Très près.
Le
souffle chaud caressa la chair.
Puis elle
fit couler directement une coulée fine sur l’entrebâillement.
Elle
hurla. Cette fois fort.
Le clito
réagit comme une bête, se tendant, pulsant violemment.
Son mari,
toujours silencieux, se leva.
Il marcha
lentement vers elle.
Il se
pencha.
Il
souffla sur le sexe encore fumant, encore brûlant.
Marie-Jeanne
émit un gémissement, presque animal.
Elle leva
les yeux vers lui, les joues en larmes, les seins ruisselants de cire figée.
— Tu me
regardes... murmura-t-elle.
Il hocha
la tête.
Puis,
d’une voix calme, posée, comme on pose un verdict :
— Et demain, je t’attacherai. Et je verserai moi-même la cire.
Dans ton trou.
Dedans. Jusqu’à ce que tu en pleures.
Elle
jouit sans se toucher.
Le corps
arqué.
La bouche
béante.
A Suivre
©
copyright Marc Vongotha 63