Sensualité et Soumission : Récits SM Classiques de A à Z
Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique.
Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.
Bienvenue dans un univers où la plume caresse l’interdit et explore les méandres des fantasmes inavoués. Cette rubrique est une ode à l’art de raconter, un espace où les récits SM prennent vie, entre sensualité brute et soumission totale.
Vous y découvrirez des textes qui capturent l’essence même du BDSM, qu’ils soient nés sous ma plume ou glanés dans les recoins les plus audacieux du web. De l’élégance des jeux de pouvoir aux pulsions les plus obscures, chaque histoire vous invite à plonger dans des scénarios intenses, libérés de toute censure.
Laissez-vous emporter par des récits où le désir se mêle à la douleur, où la domination et la soumission deviennent un langage à part entière. Qu’il s’agisse d’un hommage aux classiques intemporels ou de créations originales, ces textes sont conçus pour éveiller vos sens et nourrir vos rêves les plus profonds.
J’espère qu’ils sauront éveiller en vous des émotions puissantes et vous offrir autant de plaisir cérébral que physique. Laissez votre imagination s’envoler, et que chaque mot devienne une clé pour déverrouiller les portes de vos désirs.
Les
Premiers émois d'un Couple Mur Bdsm
Je
m’appelle Mélanie, j’ai 42 ans, mariée, et parfaitement heureuse dans ma vie
personnelle et professionnelle. Physiquement, je suis brune aux cheveux mi-
longs, je mesure 1,69 m pour 65 kg. Je suis un peu ronde (mais avec de belles
formes comme apprécie mon mari), ma poitrine généreuse contribuant certainement
à ce léger sur poids.
Je
travaille dans une grosse PME à la comptabilité, ou je m’occupe des comptes
clients. J’ai une petite équipe de trois personnes qui travaillent pour moi.
Mon mari
de 45 ans, Stéphane, est artisan menuisier. Il travaille beaucoup, mais cela ne
l’empêche pas d’être présent tout de même. Si quelques cheveux gris colorent un
peu sa chevelure, il n’en conserve pas moins le charme de sa jeunesse qui m’a
fait craquer.
Nous
avons une fille, Cloé, une splendide (mais si, mais si) jeune femme de 19 ans
qui a hérité des seins de sa mère.
Voilà, le
décor est planté. Je vais maintenant vous raconter notre histoire.
Cela a
commencé il y a quelques mois.
Depuis
mon adolescence, j’avais des tendances soumises. J’aimais l’idée d’être à la
merci d’un ou plusieurs hommes, ou de couples.
Mais
quand on est jeune, on n’ose pas aller au bout de ses fantasmes. L’âge aidant,
j’ai poursuivi mes investigations de manière plus sereine. Cependant, je ne
voulais pas mettre en danger ma vie de famille car j’étais très heureuse comme
ça, le jeu n’en valant pas la chandelle. Je me contentais de sillonner la toile
sur des sites de SM, et de fantasmer quand j’étais seule.
Je me
faisais des scénarii ou j’étais obligée de me faire baiser par plusieurs
hommes, ou les insultes pleuvaient. L’excitation associée à ces pensées me
menait dans des états pas possibles ou je me claquais les seins et la chatte,
en tirant sur mes tétons. Cela finissait par une branlette effrénée avec mes
doigts dans ma chatte trempée, et des cris d’extase.
Jusqu’à
ce jour.
Mon mari
et moi avions chacun notre PC portable, notre fille ayant sa tablette. Ce
n’était pas par cachotterie, mais parce que nous trouvions cela plus pratique,
chacun ayant ses sujets d’intérêt.
L’informatique
n’étant pas le fort de mon mari, il me demandait parfois de regarder sa machine
quand il avait une difficulté.
Donc, ce
jour-là, Stéphane me demanda de regarder son PC, il craignait d’avoir fait une
fausse manipulation sur un fichier. En regardant son disque, par hasard, je
suis tombée sur une vidéo au titre évocateur : « La soumission une perversion ?
».
Ma
curiosité m’a poussé à la regarder, ou on voyait un homme faire une déclaration
sur son penchant de soumis qu’il assumait complètement.
Vous
pensez bien que cela m’a interloqué. Je décidais de consulter son historique
internet.
Quelle ne
fut pas ma surprise de voir que mon cher et tendre mari allait régulièrement
sur des sites SM, tout comme moi.
Pour
compléter mon information, j’allais voir dans ses historiques Skype les
conversations, s’il y en avait. Et la de nouveau, surprise. Une conversation
particulière attira mon attention. Il parlait avec un pseudo masculin de son
envie d’être soumis avec sa femme. Cela l’excitait beaucoup d’imaginer que nous
soyons tous les deux, ensembles, sous la coupe d’un Maître.
Je
tombais de haut, et en même temps, je commençais à ressentir plus qu’une
excitation qui se traduisait par une chatte qui s’humidifiait au fur et à
mesure de mes découvertes.
Captivée
par ces révélations, je n’ai pas entendu Stéphane arriver derrière moi.
Un petit
toussotement, puis un « euh, écoute, chérie, je vais t’expliquer » me ramena à
la réalité.
« Oui,
j’aimerais bien. Mais saches que je n’ai pas fouillé ton ordi, je suis tombé la
dessus pas hasard » lui ai-je répondu, avec un air le moins sévère possible.
« Bon,
alors, voilà. Comme tu as pu le voir, cela fait longtemps que j’ai ces envies.
Je ne t’en ai jamais parlé parce que j’avais peur de ta réaction, et que je ne
voulais pas mettre en danger notre couple, notre famille. Je te jure que c’est
toujours resté au niveau du fantasme, je n’ai jamais pensé à réaliser quoique
ce soit dans ton dos. Je t’aime, ma chérie, et je veux finir ma vie avec toi. »
Cette
dernière phrase m’a fait fondre. Je connais mon mari, je sais qu’il est
sincère, et qu’il est très embêté.
Skype les
conversations, s’il y en avait. Et la de nouveau, surprise. Une conversation
particulière attira mon attention. Il parlait avec un pseudo masculin de son
envie d’être soumis avec sa femme. Cela l’excitait beaucoup d’imaginer que nous
soyons tous les deux, ensembles, sous la coupe d’un Maître.
Je
tombais de haut, et en même temps, je commençais à ressentir plus qu’une
excitation qui se traduisait par une chatte qui s’humidifiait au fur et à
mesure de mes découvertes.
C’est le
soir, dans l’intimité de notre chambre, que nous avons repris notre
conversation.
Nous
sommes tout avoué, nos envies, nos fantasmes, jusqu’où nous étions prêts à
aller.
Et
surtout notre désir commun d’appartenir ensemble à un Maître exigeant. Devenir
ses esclaves sexuels et SM, sans aucune restriction.
Bien sûr,
cela allait être certainement compliqué d’arriver à combiner notre vie « réelle
» et celle que nous voulions vivre, surtout avec notre famille.
Nous
avons décidé de mettre notre projet à exécution le plus tôt possible. Pour
cela, nous allons passer une annonce sur plusieurs sites, en explicitant
clairement notre recherche.
Tout cela
nous avait très émoustillés. Nous avons fini la soirée par une partie de baise
fantastique. Je n’avais jamais autant joui de ma vie, et mon mari aussi. Nous
avons inauguré une pratique dont nous n’avions jamais parlé auparavant. Mon
mari m’a joyeusement enculé en me traitant de tous les noms, salope, putains,
garage à bites. Pour ma part, j’ai défloré son petit cul avec mes doigts, en
lui trayant sa belle bite avec mon autre main, et en le traitant de cocu
minable.
Ce soir
va être un grand soir.
Pour la
première fois, nous allons avoir un chat webcam avec celui qui sera peut-être
notre Maître.
Nous
avons passé une annonce sur plusieurs sites SM pour faire connaitre notre
recherche.
Dans
cette annonce, nous précisions que nous étions un couple uni, désireux de
devenir les soumis, voir plus d’un Maître exigeant, mais aussi courtois et
éduqué. Bien que nous soyons débutants, nous étions très motivés et prêts à
envisager une belle évolution.
Nous
avions reçu pas mal de réponses, la majorité provenant de fantasmeurs, faux
pseudo, ou obsédés.
Une
réponse avait retenu notre attention. Le ton du message, la maîtrise du
langage, et surtout peu d’allusions graveleuses. Plutôt une prise de
connaissance.
Au fur et
à mesure du temps, une affinité s’est dégagée et, voyant que nous étions
d’accord sur beaucoup de points, nous avons convenu de ce rendez-vous virtuel.
Pour ce
chat, nous avions accordé à notre fille la permission d’aller passer la nuit
chez sa meilleure amie pour un pyjama partie. Les parents de son amie étaient
aussi partis de notre cercle d’intime, ce qui facilitait les choses. Ainsi,
nous serions tranquilles à la maison pour cette rencontre virtuelle.
La
journée avait été longue. J’avais en tête cette soirée et mes pensées n’étaient
pas du tout au travail. Ma chatte se mouillait régulièrement, et je fréquentais
régulièrement les toilettes pour soulager ma tension. Pour l’occasion je
n’avais pas mis de culotte ce matin et avoir mon sexe à l’air augmentait mon
excitation. J’ai plus que bien doigté mon trou de pisse, me retenant pour ne
pas crier à chaque orgasme. Je me sentais de mieux en mieux dans mon état de
chienne lubrique.
Une
collègue, Christine, avec qui j’étais très intime (mais ceci est une autre
histoire) me demanda si tout allait bien en voyant mes fréquentes allées aux
toilettes.
Nous nous
confions tous nos petits secrets, comme des ados, et je ne puis retenir mon
envie de lui avouer la raison exacte de mes visites aux WC. Un peu choquée,
elle me dit : « et bien dis donc, j’ai compté, cela fait cinq fois depuis le
début de la matinée que tu vas te branler. ».
En fin
d’après-midi, en partant, je suis allé lui faire une bise. Christine m’a
souhaité une bonne soirée, avec un grand sourire et un clin d’œil, en me
faisant promettre de tout lui raconter lundi.
Heureusement,
le début de soirée a été occupé. Bain, maquillage, habillage avec des dessous
sexy, un chemisier fin et une jupe 10 cm au-dessus des genoux. Ensuite le
repas, partage avec mon mari Stéphane de nos journées respectives. Le pauvre,
mon récit l’a fait bander comme un cheval, surtout quand je lui ai dit que
j’avais tout avoué à Christine.
À neuf
heures pétante, nous étions dans notre chambre, connectés sur le chat.
Attendant avec impatience l’apparition de notre contact. D’un commun accord,
nous avions décidé que je mènerais le début de conversation.
La
sonnerie de demande de connexion retentit et c’est avec un picotement entre les
cuisses que je cliquais sur OK en lançant la caméra.
- Bonsoir
Mélanie et .Stéphane.
- Bonsoir
Monsieur, nous sommes heureux de vous rencontrer.
- Moi
aussi, très satisfait de pouvoir constaté de visu que vous êtes bien réels.
Alors, comment vous sentez vous ?
- Un peu
nerveux, mais surtout contents et excités tous les deux.
-
Parfait. Je vous reprécise ce que je vous ai déjà dit. J’attends de mes soumis
une appartenance totale et sans restriction. Aussi bien sexuelle que SM,
physique que moral. Si nous nous entendons, vous devrez respecter toutes mes
directives et mes envies. Êtes-vous toujours d’accord ?
- Oui,
c’est ce que nous désirons. Nous voulons devenir des esclaves obéissants et
respectueux de notre Maître. Nous voulons nous livrer entièrement. Mais nous
sommes débutants, alors nous demandons une certaine progression. En
contrepartie, nous sommes très motivés et nous le désirons profondément.
- Ne vous
inquiétez pas, on peut être Dominateur et en même temps gentleman.
L’échange
s’est poursuivi, mon mari et moi nous nous sentions de plus en plus en
confiance. À un moment mon mari me glissa discrètement que nous avions fait le
bon choix. C’est lui me dit-il. Moi aussi je me sentais complètement partante,
et la température montait dans la pièce. Je pouvais voir l’excitation de mon
mari à la taille de la bosse dans son pantalon léger. Ma chatte était de plus
en plus chaude, et je mouillais depuis un moment déjà, mes seins commençant à
jaillir dessous mon chemisier.
-
Monsieur lui dis-je, Stéphane et moi sentons que nous sommes vraiment en phase
avec vous. Nous voulons que vous soyez notre Maître. Nous acceptez-vous comme
vos esclaves, vos salopes ?
- Oui. À
partir de maintenant vous m’appartenez. Je suis votre Maître, je vous possède
entièrement.
- Merci
Maître.
- Je veux
vérifier la marchandise. Mélanie, met à poil ta pute de mari et présentes le
moi.
À ces
mots, je reçus une décharge électrique. Enfin, le dressage de notre couple
commençait.
Je
regardais mon mari. Lui aussi était dans un état second. Il se leva, le bras le
long du corps. Je le plaçais face à la caméra et je commençais à lui retirer
son polo, doucement. Son torse apparu. Ensuite je fis descendre son pantalon.
On voyait nettement sa bite coincée dans son boxer qui ne demandait qu’à
s’échapper. En même temps, sa respiration s’accélérait au rythme de son
excitation. Se sentir dévoilé comme ça le rendait fou. Enfin je retirais son
boxer. Voir sa queue toute dressée me fit émettre un soupir. Mais je savais que
je ne pouvais pas y toucher.
- Belle
queue dit notre Maître. Voilà une petite lope dont je vais avoir plaisir à
m’occuper. Retourne le Mélanie et montre-moi bien son cul de chienne.
Stéphane
se retourna. Je le fis pencher en avant, les jambes écartées. Je saisis son cul
et écarta bien ses fesses pour ouvrir son trou du cul à notre Maître. Voir mon
mari ainsi exhibé sans retenue fit encore monter mon excitation d’un cran. Que
c’était bon.
- Enfile
tes doigts dans son cul pour commencer sa formation.
- Toi,
Stéphane, demande à ta femme de t’enculer.
- S’il te
plait, encule la pute qui te sert de mari.
Ces mots
ont déclenché une irrésistible envie de lui défoncer son cul. Je fis pénétrer
un doigt puis deux et je commençais à lui branler son cul en le traitant de
salope. Mes seins devenaient durs et les tétons pointaient à travers mon
chemisier. Mon string était tout mouillé de la bave qui s’échappait de ma
chatte.
Au bout
de cinq minutes d’enculage de mon mari, le Maître m’ordonna d’arrêter, à mon
grand regret.
- À ton
tour Mélanie de faire la pute. Stéphane met à poil ta femme qui est maintenant
ma salope.
Je
regardais mon mari, et je vis une étincelle dans ses yeux. C’est avec un désir
fou que je m’abandonnais dans ses mains.
Debout,
face à la caméra en fixant celle-ci intensément, je laissais Stéphane m’exposer
à notre Maître. Il commença par remonter ma jupe pour découvrir mes cuisses
rondes. Puis il tira d’un coup dessus. Je me retrouvais en string, la fente
trempée et fier de me montrer ainsi. Je découvrais le plaisir de l’exhibition.
Sans prendre le temps de déboutonner mon chemisier, mon mari l’arracha. Je le
sentais très excité d’exposer sa femme ainsi. Sa bite était bien dressée vers
le plafond. La violence de son geste me surprit. Mes seins apparurent,
uniquement tenus par un soutien-gorge pigeonnant, mes tétons dressés comme si
eux aussi étaient fiers de se montrer. Stéphane prit une paire de ciseaux sur
la table à coté, et, sans hésitation coupa mon string et mon soutien-gorge. Mon
mari était décidément bien inspiré ce soir. Il faut croire que cette séance lui
plaisait beaucoup.
Enfin,
j’étais complètement nue devant un étranger, et devant mon mari. Je ressentis
un sentiment de bien-être et de plénitude.
Stéphane
me fit écarter mes jambes et pris ma chatte entre ses mains. Les doigts sur les
lèvres, il les écarta pour bien ouvrir mon trou. Sur l’écran de contrôle de
notre caméra du chat, je pouvais voir ma chatte écartée, la couleur blanche de
la peau tranchant avec le rose de mon vagin ouvert. Je pouvais voir aussi mon
trou du pipi. Je pensais qu’une table de gynéco aurait été la bienvenue.
-
Retourne la que je vois son cul, dis le Maître.
Aussitôt
dit, aussitôt fait. Stéphane me pris les épaules, me tourna, et me fit pencher
en avant à 90 degrés. Je sentis ses mains sur mes fesses. Il écarta celles-ci
et mon trou du caca s’est ouvert, accueillant. Sans attendre l’ordre du Maître,
il planta deux doigts dedans et me laboura consciencieusement mon trou. Je
l’encourageais en remuant mon cul, ce qui fit vibrer les deux globes de mes
fesses.
Au bord
de la jouissance, j’entendis le maître dire :
-
Parfait. Cela n’était pas prévu, mais cette séance me prouve que vous êtes
vraiment ce que je cherchais. Je vous félicite.
- Merci
Maître, nous répondîmes en cœur. Nous sommes très contents que vous nous
considériez à la hauteur. Nous sommes très excités, et décidés à poursuivre
avec vous. S’il vous plait, acceptez-nous comme vos esclaves, nous le désirons
vraiment.
- Oui, je
vous prends comme esclaves. À partir de maintenant vous m’appartenez. Mais je
vais vous laisser 48 heures pour vraiment vous décider. Parlez-en entrevous, en
sachant que votre décision sera irréversible, et que vous vous engagerez
entièrement.
La nuit
qui a suivi notre premier chat avec notre Maître a été chaude. Mon mari m’a
ramoné mes trous avec sa bite, mais aussi avec tout ce qu’il a pu trouver sous
sa main. J’étais remplie comme jamais, et je criais ma jouissance en disant que
j’allais devenir la putain de la terre. Lui me suppliait de l'enculer le plus
fort possible. Il clamait haut et fort qu’il voulait sucer toutes les chattes
et les bites qui passeraient à sa portée, et de se faire défoncer le fion.
Le Maître
nous avait donné 48 heures de réflexion, mais notre décision était prise. Nous
étions devenus ses salopes soumises. Dès le lendemain, je lui envoyais un mail
dans ce sens.
Le lundi,
ma collègue Christine me sauta dessus dès mon arrivée au travail.
- Viens
me dit-elle. On va aller se prendre un café, et tu vas me raconter.
Je lui
racontais dans les grandes lignes not soirée chat.
- Toi, tu
ne me racontes pas tout, grande cachotière. Aller, ne soit pas timide.
Alors je
suis entré dans les détails. Il faut dire que cela m’excitait de mettre au
courant Christine. Je lui ai décrit notre exposition, nos enculages mutuels,
mon mari et moi, et la suite de la nuit avec mon mari.
Heureusement
que nous étions dans un coin reculé de la cafétéria, car au fur et à mesure de
mon récit, je vis la main de Christine descendre sous la table. À la vue des
mouvements de son bras, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner qu’elle
était en train de se branler.
- Et bien
dis donc, on dirait que ça t’excite grave. Sois discrète quand même. Sinon tu
vas avoir des surprises. Ça te fait envie ?
- Heu, je
ne sais pas. Oui peut-être. En tous cas j’adore t’entendre et suivre votre
évolution à distance, par ta bouche. Ça oui ça m’excite.
-
Confidence pour confidence, savoir que tu sais, ça me rend folle aussi. Et si
ça te donne des idées, on ne sait jamais, n’hésites pas.
Sur ce,
il fallait quand même travailler. Nous sommes allés dans nos bureaux respectifs
en nous faisant des bisous sages mais tendres.
Le soir
en rentrant à la maison, ma fille se précipita sur moi.
- Maman,
la batterie de ma tablette est à plat et j’ai oublié mon chargeur chez Corinne
vendredi, et j’ai un truc à voir sur le net pour demain. Tu me prêtes ton PC ?
-
D’accord, il est dans notre chambre. J’arrive.
Je ne
voulais pas laisser Cloé seule sur mon PC. Connaissant ses talents de
fouineuse, elle est de nature très curieuse, et sachant ce qu’il y avait sur le
disque, je ne voulais pas tenter le diable.
Donc,
postée en mode garde barrière, je regardais Cloé faire ses recherches.
Le
téléphone sonne.
Aie,
j’allais être obligée de répondre. Je descendis quatre à quatre les escaliers
vers ce foutu téléphone. C’était mon mari qui avait besoin d’une référence de
facture pour un de ses clients. J’expédiais la chose le plus rapidement
possible, et je retournais à mon poste de garde. Et là, arroseur arrosé.
Bien au
milieu de l’écran, Cloé lisait attentivement notre annonce.
Comment
allais-je m’en sortir ???
Ma fille
ayant senti ma présence, elle tourna lentement la tête vers moi et dit :
- Et bien
mamoune, quelle surprise !!
- Alors
comme ça, tu fouilles mon ordi ?
-
D’abord, je n’ai pas fouillé. J’ai ouvert ton éditeur de texte pour taper un
petit mémo vite fait, et je suis tombé sur ton historique de fichiers. Pure
hasard. Et puis il n’y a pas de quoi en faire un scandale. Papa et toi avez le
droit de vivre votre vie.
J’étais
interloqué qu’elle le prenne si bien. C’est vrai que nous avons toujours été
proche de notre fille, pas cool tout le temps, mais compréhensif. Disons que
les choses de la vie n’ont jamais été un mystère pour elle, et que nos
discussions portaient quelques fois sur des sujets libres.
Perdue
dans mes pensées, elle continua :
- C’est
vrai que j’ai été un peu surprise, au début, mais bon, à partir du moment où
c’est librement consenti, je ne vois pas de quoi crier au loup. D’ailleurs je
dois t’avouer que ce n’est pas pour me déplaire. J’ai aussi ce petit penchant,
ma petite maman. Tels parents, telle fille.
Et elle
éclata de rire.
Complètement
déstabilisée par ses paroles, mon cerveau tournait à cent à l’heure pour
trouver la réponse adéquate. Je décidais de pousser plus loin pour avoir le
cœur net sur ses intentions.
- Et
bien, nous sommes une belle famille de salopes ! fis-je.
- Ah ça,
ma petite maman chérie, nous le découvrons ensemble.
Et là,
elle me sortit l’argument imparable :
- Comme
ça, vous n’aurez plus à vous cacher pour vos rendez-vous éventuels. Ce sera
plus facile pour nous tous.
- Ah
bravo !! (je ne pus m’empêcher de sourire). Au moins tu vois le bon côté des
choses ma chérie.
- Vous
avez trouvé un Maître ?
- Oui.
Nous avons un très bon contact.
- Et vous
allez le rencontrer ?
- Sans
doute, Enfin oui, bien sûr. Il faut savoir ce que l’on veut.
- Oh
mamounette, je pourrais venir avec vous ?
Alors là
c’est le bouquet ! Voilà que ma fille s’y met aussi. Quelle soirée ! En fait,
je n’étais qu’au début de mes découvertes concernant Cloé, mais je découvrirais
cela plus tard.
-
Écoutes, je ne sais pas. D’abord il va falloir que j’en parle avec ton père,
ensuite que nous en parlions avec le Maître. Je ne peux pas savoir leurs
réactions comme ça. En ce qui me concerne, je dois dire que, même si la
situation semble m’échapper, cette idée m’émoustille grandement.
Pourquoi
mentir ? De nouveau, cette conversation avait alimenté la chaudière qui se
tenait entre mes cuisses. Être soumise avec mon mari, délicieuse idée, mais
avec et en présence de notre fille, grandiose !! Cela devenait salace et
pervers, comme Stéphane et moi l’avions envisagé. Même au-delà de nos rêves les
plus fous. Vive la dépravation !!
Je fis
promettre à ma fille la plus grande discrétion, en échange de quoi, je ferais
mon possible pour accéder à ses (nos ?) désirs. Elle se précipita vers moi pour
me prendre dans ses bras et me faire de gros poutous. Ah l’amour filial !
Ma fille
partie, je n’en pouvais plus. Je me suis allongée sur notre lit, pantalon et
culotte sur le sol, cuisses largement écartées, bien face à notre miroir pour
voir parfaitement mon trou de pute, et je me suis branlé furieusement. Je n’ai
jamais ramoné ma chatte comme cela auparavant, en me claquant mes lèvres
jusqu’à l’orgasme. J’avais en tête l’image de ma fille me regardant.
Classiquement,
le soir, dans notre quartier général qui nous servait de chambre, j’informais
mon adorable mari de l’évolution de la situation. J’étais à peu près sûr de sa
réaction. Bien sûr il donna son accord, ravi que notre famille soit sur la même
longueur d’onde. Je décidais d’envoyer un mail à notre Maître pour avoir son
avis. Complètement excitée par notre conversation je lui dis :
- Encules
moi chéri, défonces moi le cul. J’ai besoin que tu déchires la putain qui te
sert de femme. Fais-moi salope. Réveille la connasse qui sommeille en moi
Sans
attendre, il me retourna d’un geste sec. Sans préparation, il enfila sa bite
dans mon cul, d’un coup en poussant un cri.
- Tiens
connasse, prends ça dans ton cul de chienne. Tu n’es qu’une putain qui vend sa
fille au premier venu. Tu vas le payer quand notre Maître va le savoir.
Je
sentais sa bite aller et venir dans mon cul. J’avais mal, et en même temps je
sentais le plaisir monter. Le l’aidais en reculant le plus possible mes fesses
vers lui, pour bien sentir ses couilles contre ma raie.
- Plus
fort criais-je, encore, baise le cul de la pute. Elle ne mérite que ça. Je suis
un garage à bite. Remplis-moi de ton foutre.
Je
m’écroulais sur le lit dans un orgasme fantastique, en espérant que ma fille
avait entendu sa mère se faire baiser comme la belle salope qu’elle me savait
être.
Petit
rappel pour les absents :
Mélanie,
la mère, 42 ans, comptable dans une entreprise, soumise,
Stéphane,
le père, 45 ans, artisan menuisier, soumis,
Cloé, la
fille, 19 ans, étudiante, soumise,
Christine,
51 ans, collègue de travail de Mélanie.
D’autres
personnages vont entrer dans cette histoire dans les prochains chapitres.
Deux
semaines s’étaient écoulées. Suite à la révélation de ma fille (voir le chapitre
3), je sentais bien que nous étions en train de déraper. Mais mon mari et moi y
trouvions un vrai plaisir pervers. Cette montée aux enfers nous excitait
grandement, et la dépravation qui se profilait à l’horizon nous faisait très
envie.
Nous
avions recontacté le Maître pour l’informer de la nouveauté, à savoir, le désir
de notre fille de participer à la fête. Il donna son accord, après s’être
assuré que Cloé était majeure et décidée. Nous avons pris rendez-vous pour le
premier contact tant désiré.
C’était
un samedi en fin d’après-midi. Nous nous étions préparé avec soin, aussi bien
Cloé que mon mari. Une tenue sexy pour les filles, mais raisonnable tout de
même, et un style sport décontracté pour Stéphane. À la demande de notre
Maître, nous avions revêtu des dessous, culotte et soutien-gorge. Bien sûr, les
classiques portes jarretelles et bas. Nous avons dû en acheté pour Cloé,
ceux-ci ne faisant pas encore parti de sa panoplie vestimentaire.
Heureusement,
nous habitions pas très loin de chez notre Maître, à peine plus d’une heure de
trajet. Nous étions plus qu’excité à la pensée de cette première rencontre, et
le voyage fut animé.
Nous
sommes arrivés vers 17 heures trente. La maison de notre Maître était un peu
isolée, ce qui nous plut beaucoup. Stéphane gara la voiture dans la petite cour
intérieure. À peine garés, le Maître apparu à la porte, et se dirigea vers
nous.
Il était
encore mieux que ce que nous avions aperçu lors de nos discussions sur le net.
Pas très grand, mince, avec une grande prestance, et une autorité naturelle qui
se lisait dans son regard.
- Bonjour
nous dit-il. La route a été bonne ?
Sans
attendre notre réponse, il vint en face de moi, et d’un geste sûr, il
m’embrassa sur la bouche, sa langue fouillant la mienne. Je lui rendis son
baiser avec fougue. Quelle belle entrée en matière.
Le Maître
alla vers Cloé et lui appliqua le même traitement. Je regardais mon mari qui
avait les yeux grands ouverts. Il appréciait ce spectacle, les deux chiennes
mises au pas dès le début. Le Maître se contenta de lui serrer la main.
Stéphane
sortis les quelques bagages que nous avions pris, et nous sommes entrés.
Nous nous
sommes installés dans le salon. Le Maître était assis en face de nous dans un
fauteuil, Cloé et moi dans le canapé, Stéphane dans un fauteuil également.
- Comme
je vous l’ai dit, je vais vous donner votre contrat de soumises et de soumis.
Lisez-le, et s’il vous convient, signez-le, précédé de la mention « lu et
approuvé ». À partir de là, vous serez mes esclaves et vous ne pourrez plus
revenir en arrière, sauf à rompre ce contrat et cesser nos relations.
C’était
un document établissant les règles de soumission, nos devoirs et obligations,
en 17 chapitres. La lecture m’échauffait, et je sentais Cloé et Stéphane monter
en température également. Nous avons signé avec un immense plaisir. Notre
soumission prenait un tour concret.
- Allé
Cloé, tu ne t’es pas présentée à ton Maître. Tes parents y ont u droit par cam
interposée, alors tu vas commencer. Mélanie, tu vas mettre à poil ta fille
devant nous et bien l’exposer.
- Oui
Maître répondis-je avec un regard gourmand.
Ma fille
portait une robe moulante s’arrêtant 10 cm au-dessus de ses genoux, avec un
décolleté mettant sa belle poitrine héritée de sa mère en valeur.
Elle se
leva pour aller au milieu de le pièce avec une démarche lascive. Je la suivais,
et vint derrière elle pour atteindre la fermeture éclair de sa robe. Mettre ma
propre fille à poil m’excitait, et m’humiliait en même temps. Ma gorge devenait
sèche.
Je pris
les bretelles de sa robe et les fit glisser lentement le long de ses bras. Sa
robe tomba pour découvrir ses seins tenus par son soutiens gorge transparent.
Cloé regardait notre Maître droit dans ses yeux, avec un petit sourire de
satisfaction. Je ne savais que ma fille pouvait être aussi salope, mais elle a
de qui tenir.
Je fis
glisser sa robe sur ses fesses, puis ses cuisses, dans un mouvement lent.
Finalement elle tomba sur ses chevilles, dévoilant ma fille en culotte, bas et
porte jarretelles. Qu’elle était belle avec ses cuisses rondes et son cul
rebondit. Je sentais ma chatte se mouiller, et mes seins commençaient à pointer
sous mon chemisier. Mon mari n’en perdait pas une miette.
Notre
Maître avait l’air satisfait aussi. Il regardait Cloé, mais aussi moi et
Stéphane, pour s’assurer que notre excitation grandissait au fur et à mesure
que Cloé perdait sa dignité et ses vêtements.
Je
dégrafais son soutien-gorge d’un geste sec. Ses seins pointèrent immédiatement.
Il faut dire que, contrairement à ma poitrine, ma fille possédait des tétons
conséquents. Je dus me retenir pour ne pas prendre ses nichons à pleine main.
J’en avais très envie, mais ce n’était l’ordre que m’avait donné mon Maître.
Presque
nue, ma fille bougeait un peu, faisant peser son corps d’une jambe sur l’autre.
Ce mouvement de balancement était très érotique, et mettait en lumière son
superbe cul. Je la pris par les épaules pour la faire tourner de manière à ce
que notre Maître puisse en profiter.
Je mis
mes doigts dans sa culotte sur les bords, et je fis descendre celle-ci
lentement, très lentement pour découvrir sa chatte complètement rasée.
J’arrêtais à mi-cuisses et lui fit ouvrir ses jambes en tendant au maximum sa
culotte. Ma fille était presque nue, son sexe et ses seins à la vue de tout le
monde. Je la mettais bien en face du Maître, la laissant plusieurs secondes
dans cette position. Je lui retirais sa culotte enfin. D’un geste élégant, elle
jeta celle-ci d’un mouvement de la jambe en gardant ses cuisses bien écartées.
Mon mari commençait à en plus tenir en place. Voir la chatte et les seins de sa
fille ainsi le mettais dans un état pas possible. D’un geste alternatif de
l’index, le Maître lui fit comprendre qu’il lui était interdit de succomber à
son envie.
Je me
plaçais derrière ma fille et je passais mes mains sur sa chatte en lui écartant
ses lèvres. Son trou était ouvert découvrant les chairs de son vagin. Ma fille
avait la peau blanche et le rose de son trou contrastait fortement.
- Maître
dois-je lui retirer ses bas ou laisser ma fille qui vous sers de pute comme
cela ?
-
Laisse-lui ses bas et son porte-jarretelles cela la fait bien plus salope.
Je
retournais Cloé. Son cul apparu dans toute sa beauté. Je pensais que le Maître
serait content de lui claquer ces deux beaux globes. Une main sur son cou, je
la fis se courber. Je dis à ma fille d’écarter ses fesses avec ses mains. Ce
qu’elle fit sans hésitation. Comme nous l’avions fait lors de notre
présentation mon mari et moi, j’insérais un doigt dans son cul et je commençais
un mouvement de va et viens. Cloé ne s’y attendais pas et elle eue un petit
mouvement de surprise, puis elle se laissa faire.
- Parfait
dit le Maître, Tu as de bonnes dispositions Cloé. Tes parents ont eu raison de
me vanter tes qualités. Va t’assoir maintenant, et puisque ta mère est en
place, elle va se mettre à poil aussi.
Je
compris pourquoi le Maître nous avait dit de mettre des sous-vêtements. Il
voulait profiter d’un effeuillage complet.
J’étais
vêtue d’un chemisier et d’une jupe à la même longueur que celle de la fille.
Je décidais
de remuer mes hanches dans un balancement lascif en me déshabillant. J’étais
très excitée par l’exhibe de ma fille, et je désirais être nue le plus vite
possible. Je voulais que ma fille voie sa mère à poil et comprenne à quel point
j’étais salope. Cette pensée me rendait folle.
Mon
chemisier disparu assez vite, découvrant ma poitrine avec mon soutien-gorge
ouvert sur mes tétons. J’avais mis du rouge à lèvres dessus pour les mettre en
valeur.
Me mains
se dirigèrent vers ma culotte. Je la fis glisser sur mes cuisses en faisant
passer ma langue sur mes lèvres. Ma culotte à mes chevilles, j’écartais
largement mes jambes et je me plantais d’un seul coup deux doigts dans ma
chatte. Ma fille fit un petit « oh » et fixa son regard sur mes doigts qui
ramonaient mon trou. C’est vrai qu’elle n’avait pas vu sa mère à poil depuis
des années, et surtout pas celle-ci se branler la chatte comme une putain que
j’étais en train de devenir.
Sentant
le plaisir monter, je me rassis bien en face du Maître, les cuisses bien
écartées, comme il était demandé dans le contrat que nous venions de signer. A
cette vue, ma fille m’imita immédiatement. Le Maître avait une vue imprenable
sur les deux trous de la mère et la fille déjà bien huilés par l’excitation.
Ce fut au
tour de mon mari. Il se leva et se plaça au milieu de la pièce.
- As-tu
déjà vu la bite de ton père Cloé ?
- Non
répondit-elle, je n’en ai aucun souvenir.
- Cela
t’excites de la voir. De voir cette queue qui a baisé ta mère pour te concevoir
?
- Oui,
beaucoup.
- Alors
vas-y cocu, fais ce plaisir à ta fille.
Stéphane
était passablement chauffé par les précédents spectacles que moi et ma fille
lui avions offerts. Cela se voyait à travers son pantalon léger. Il retira sa
chemise d’abord, laissant le principal pour plus tard. Voir mon mari, le père
de ma fille se mettre à nu devant nous me chamboulait complètement. Nous étions
bien sur le chemin de la soumission totale dont nous rêvions.
Le
pantalon a suivi le même chemin que sa chemise, faisant apparaître mon mari
avec son petit slip. Sa bite tendait tellement le slip que les bords étaient
décollés faisant apparaître le bas de ses couilles. Enfin, Stéphane fit tomber
le slip sur ses chevilles, libérant sa belle bite bien droite. Cloé avait le
regard hypnotisé par ce bâton bien droit. Mon mari prit sa bite à pleine main
et commenças à se branler doucement en la tirant au maximum entre ses cuisses
vers son cul.
- Tu vois
Cloé dans quel état tu as mis ton père ? dit le Maître. Tu n’as pas le droit de
le laisser ainsi. Tu vas sucer ton père, et ensuite il va te baiser comme la
pute que tu es.
Je dois
dire que cette pensée m’avait effleurée, sans m’y attarder. Je savais que le
Maître nous ferait pratiquer l’inceste, mais y être confrontée dans la réalité
est autre chose. Après un moment de panique, je me suis calmée. Cela faisait
partie du contrat. Et mon esprit s’habituait à cette idée, la perversion
prenant le dessus sur le tabou. Quand je déshabillais Cloé, j’avais eu des
envies de la toucher, voire de la baiser. Alors …
- C’est
ta mère qui va introduire la bite de ton père dans ta chatte, et qui va
l’assister pour qu’il te baise, ajouta le Maître.
Je
regardais Cloé. Elle n’avait pas l’air dérangée par cette idée. Je dirais même
que celui lui faisait très envie.
Ma fille
se leva et se mit à genoux devant son père. Elle prit délicatement la queue
paternelle entre ses mains, sortit sa langue et lécha délicatement le bout le
la bite de son père. Puis, ses lèvres ont entouré le gland dans un mouvement de
succion. Mon mari avait les yeux fermés, sans doute pour mieux gouter le
plaisir d’être sucer par sa fille. Puis Cloé descendit le long de la tige
doucement jusqu’à engloutir pratiquement jusqu’aux couilles la bite de son
père. Elle commença un mouvement de va et vient sur la tige avec sa bouche bien
fermée. Mon mari commençait à gémir, en regardant la tête de sa fille aller et
venir. Je ne savais pas ma fille si douée pour les pipes. A priori elle avait
de l’expérience, à moins que le fait de sucer son père lui donnait de
l’inspiration.
La voix
du Maître retentit :
-
Stéphane, insultes ta fille pour apprécier de sucer son père.
- Tu n’es
qu’une salope Cloé. Tu n’attendais que ça de me sucer. Tu es une putain, comme
ta mère qui regarde ça avec un grand sourire. Vous êtes deux grandes salopes.
Je ne
puis m’empêcher d’ajouter :
- Et toi
tu n’es qu’un vieux pervers de donner en spectacle ta femme et ta fille comme
ça.
Depuis
notre arrivée, l’ambiance devenait de plus en plus électrique. Notre excitation
montait graduellement, sous la direction de notre Maître. Nous devenions chaque
minute, tous plus soumis, plus pervers, plus dépravés. J’aimais ça ! J’adorais
ça ! Chacun à notre manière, nous devenions accros.
Le Maître
ordonna à Stéphane de s’allonger sur le dos. Sa bite était dressée bien droite
vers le plafond, suite au traitement que lui avait fait subir Cloé. Il me dit
d’amener Cloé sur son père à cheval et de procéder à l’insertion incestueuse.
Je savais que ma fille n’était plus vierge, donc pas de soucis de ce côté.
J’amenais
Cloé sur son père, plaçant sa chatte au-dessus de sa queue. J’étais fier du
corps de ma fille, des formes et des rondeurs que j’avais créées, faites pour
faire bander un régiment d’impuissants. Je pris la bite de son père d’une main,
et je mis l’autre sur son épaule. Je fis descendre doucement ma fille sur la
queue de son père pour qu’elle puisse profiter de l’intromission, et que notre
Maître puisse apprécier notre perversité. Cloé émit un petit soupir quand elle
sentit le gland toucher les lèvres de sa chatte. Quelle pute ma fille ! Elle
n’attendait que ça que de se faire mettre par son père. Le gland avait disparu
dans son trou. Alors, d’un seul coup, je la fis s’assoir sur la queue
paternelle. Celle-ci avait complètement disparue dans la chatte de Cloé. Les
couilles de son père touchant son cul rebondit. Cloé se mit à jouer le yoyo sur
son père. Elle mouillait tellement que je voyais une crème blanche se former
sur la bite de mon mari. J’étais dans un état second. Voir le père de ma fille
baiser celle-ci me rendait folle. Je me déplaçais devant Cloé, pris sa tête
entre mes mains et complétais l’inceste père fille par l’inceste mère fille en
lui prenant sa bouche. Elle ouvrit la sienne aussitôt et enfonça profondément
sa langue dans ma bouche. Nous avions les lèvres grandes ouvertes, nos dents
s’entrechoquant et nos langues fouillant au plus profond. J’aurais voulu que la
terre entière nous voit tous les trois en train de se baiser. D’un même
mouvement, nos mains se sont retrouvées sur nos nichons. Nous nous malaxions
nos seins, en tirant sur nos tétons. Cloé continuais son ramonage de chatte sur
la bite de son père. Elle laissa un de mes seins pour venir sur ma chatte.
J’écartais mes cuisses pour lui faciliter l’accès à mon trou de pute. Elle rentra
facilement un puis deux et trois doigts dans ma chatte, et commença à me
branler.
Stéphane
gémissait de plus en plus. Sa fille lui baisait la bite avec beaucoup de
maîtrise. Cloé approchait aussi de l’orgasme en disant tout ce qu’il lui
passait par la tête :
- Baise-moi
papa, baise ta salope de fille. Remplis-moi de ton foutre. Je veux sentir to
sperme tapisser mon trou. Plus fort, démontes la chatte de ta fille.
Ces mots
et les doigts de Cloé dans ma chatte m’amenaient au paroxysme. Dans un grand
râle je m’écroulais sur le sol en jouissant comme jamais. J’avais les jambes
qui tremblaient et j’étais dans une demi-conscience. Cloé se mit à jouir
bruyamment à ce moment en sentant son père éjaculer en elle. Nous étions tous
trois sur une autre planète en attendant de reprendre nos esprits.
Le
Maître, lui était resté assis dans son fauteuil, savourant le spectacle de
cette famille qui venait de s’abandonner complètement à lui.
Et ce
n’était pas finit, nous ne devions repartir que le lendemain.
Nous
étions assis en train de siroter le champagne que nous avais offert. Cette
séance, la toute première, nous avait ravis. L’entrée en matière avait été
conduite de main de maitre par notre Maître. Débuter par l’inceste entre nous
avait été une excellente initiative, nous permettant de nous libérer. Nous
avons dit toute notre satisfaction au Maître, la récompense étant le sourire
qui est apparu sur son visage.
Il nous
confirma qu’il était également très satisfait de notre prestation et qu’il
sentait que nous serions d’excellents esclaves. Nous devions nous attendre à de
beaux développements, étant donné que nous étions doués. Simplement, il nous
indiqua que la prochaine fois que nous nous ferions remplir nos trous, quels
qu’ils soient, nous devrions nous nettoyer réciproquement, ce que nous avons
accepté avec joie.
Nous
avons demandé, Stéphane et moi la permission d’aller prendre une douche.
- Pour
cette fois oui, allez-y.
Cette
réponse alluma des étincelles dans mon esprit, suggérant que nous devrions
conserver nos effluves à l’avenir.
Cloé
décida de rester ainsi.
Après
avoir pris ma douche, je revins dans le salon. Je m’asseyais, nue et cuisses
écartées, comme ce serait dorénavant ma tenue en présence du Maître. J’avais
remarqué en entrant que le Maître et Cloé étaient en grande discussion.
Discussion qui s’est arrêtée lors de mon entrée.
Cloé
s’éclipsa, pour refaire son maquillage dit-elle.
J’avais
éprouvé une certaine gêne à la vue de cette connivence entre le Maître et ma
fille. Bien sûr ; elle était plus jeune, et son corps n’avait pas encore les
marques des années que le mien pouvait avoir. Je décidais de m’en ouvrir à mon
Maître.
- Maître,
puis-je vous parler ?
- Oui,
Mélanie, vas-y, qu’est ce qu’il y a ?
- Je sais
que Cloé est jeune, sexy et belle, et que vous pourriez avoir une préférence
pour elle.
Le Maître
éclata de rire.
-
Rassures toi Mélanie. Oui, ta fille est jeune, belle et sexy. Comme tu dis.
Serais tu un peu jalouse ?
-
Jalouse, peut-être pas, mais inquiète d’être délaissée, un peu.
-
Mélanie, écoutes bien ce que je vais te dire. Tu es une très belle femme, une
excellente MILF suivant l’expression. En plus tu es une soumise née, comme tu
le sais. Ton corps, ton esprit, ton âme n’ont rien à envier Cloé. Je t’apprécie
autant, sinon plus que ta fille. Alors, ça va mieux ?
Ces
paroles ont tinté joliment à mes oreilles. J’avais besoin d’être rassurée, je
ne voulais pas que cette relation naissante entre notre famille et notre Maître
soit entachée d’une quelconque ombre.
Le Maître
vint s’assoir près de moi, et me pris dans ses bras.
- La
discussion que j’ai eue avec Cloé doit rester entre nous pour le moment. Toi et
Stéphane serons au courant en temps et en heure. Je suis sûr que vous
apprécierez à ce moment. En aucun cas le sujet n’était une histoire de
préférence ou quelque chose dans le genre. Je te le promets. D’accord ?
- Oui
Maître, j’ai confiance en vous.
Ses
paroles et le sentiment de sécurité que je ressentais entre ses bras m’ont
détendue. Ses lèvres sont venues sur les miennes et nous avons échangé un
baiser presque chaste. Le Maître plaqua sa main sur la chatte, à plat, puis la
serra pour emprisonner mon sexe.
- Oh oui
Maître. Prenez votre chienne. Prenez votre salope. Prenez votre putain.
Faites-moi devenir ce que j’ai toujours eu envie.
Le
traitement infligé à ma chatte me rendit folle. J’ouvrais le plus possible mes
jambes pour montrer au maître que j’étais prête et désireuse de subir sa
domination.
Sans rien
dire, en plantant ses yeux dans les miens, il sortit sa bite de son pantalon.
Je
regardais son engin, plus court que celle de mon mari, mais plus épais. Je lui
souris en ayant un regard plein de reconnaissance. J’allais lui appartenir,
enfin.
Sans
préliminaire, il m’enfila d’un coup. Ma chatte était déjà bien mouillée et
s’ouvrit à sa bite facilement. Je le sentais bien en moi, sa peau frottant
contre les parois de mon vagin. Il me baisait comme j’en avais envie. Sans
s’occuper de moi, ne pensant qu’a son plaisir. J’étais une chose, un objet, qui
ne devait servir qu’à être remplie par un male. La sensation était si agréable
que mon excitation grandissait naturellement. On dit que le premier organe
sexuel est le cerveau, et je me rendais compte à quel point c’était vrai. Me
sentir humiliée ainsi m’amenait à l’orgasme.
Le Maître
continuait à me ramoner avec sa belle queue. Je me sentais pleine comme une
vache. Il travaillait en même temps mes tétons qui étaient très sensibles. La
douleur ressentie ajoutait au plaisir de se faire baiser sauvagement.
- Oui
Maître. Plus fort. Servez-vous de votre pute comme vous le voulez. Baiser moi,
enconnez-moi ! Plongez votre queue en moi. S’il vous plait, donnez-moi votre
sperme. Remplissez le trou de votre putain avec votre jus.
Dans un
grand râle il éjacula dans ma chatte. Ce jet de sperme déclencha mon orgasme,
le deuxième en peu de temps. Je jouissais en criant mon bonheur d’être remplie
et d’avoir servi le Maître.
La soirée
se déroula agréablement, entre le diner, et les discussions diverses et variées
sur tous les sujets. J’aimais bien cette ambiance faite de convivialité, de
complicité, voire d’amitié qui était en train de se mettre en place. Ce qui
n’empêchait pas les relations de Maître à esclave. Conformément au contrat,
nous sommes restés tout trois à poil, nous exhibant volontiers à chaque
occasion qui se présentait, et en servant notre Maître comme il se devait.
Le Maître
nous conseilla de passer une bonne nuit en prévision du lendemain.
C’est sur
ce conseil, plein de mystère et de promesses que nous sommes allés nous
coucher.
Je ne
sais pas si c’est la plénitude d’être en train de réaliser notre fantasme, mais
Stéphane et moi avons passé une nuit très reposante. Cloé nous a dit la même
chose au matin, lorsque nous l’avons retrouvé au petit déjeuner. Décidément,
notre Maître savait recevoir. Nous étions bien sûr nus, et cette nudité
permanente stimulait notre libido. Être exposé ainsi titillait nos envies.
Le petit
déjeuner expédié, ainsi que le brossage de dents, notre Maître nous fit passer
dans le salon. Le souvenir des événements d’hier remonta dans ma mémoire. Cela
ne fit pas descendre mon excitation, ni celle de mon mari et de ma fille.
Le Maître
pris la parole.
-
Aujourd’hui, je vais tester votre résistance à la douleur. Je sais que vous
êtes débutants. Ainsi, si vous sentez que cela devient insupportable, vous
aurez le droit de demander d’arrêter. Sachant que cette autorisation n’est que
provisoire.
- Oui
Maître, répondîmes-nous en cœur.
Au fond
de nous, cette attention nous toucha et ne fit que renforcer la confiance que
nous avions envers notre Maître. Il était dominant, certes, mais pas un boucher
pour autant. Cela nous confortait dans l'idée de nous abandonner plus encore,
et de progresser avec lui.
Il nous
installa à genoux, les coudes sur le sol, le cul bien remonté. Nous étions,
dans l’ordre, Mon mari, Ma fille et moi. Le Maître ouvrit un tiroir derrière
nous et chercha quelque chose dedans. Il revint vers nous.
Stéphane
sentit les mains du Maître sur son cul. Puis il sentit quelque chose de froid
se mettre à l’entrée de son trou. Sous la poussée du Maître cette chose
s’enfonça dans son cul. Stéphane comprit vite qu’il s’agissait d’un plug. De
taille moyenne, mais qui écartait bien son intestin. Il ne put s’empêcher de
pousser un petit soupir. Une fois la rainure passée le plug était en place. Son
cul était bien rempli pour son plus grand plaisir. Le Maître lui donna un
claque sur son cul, et sur sa bite qui commençait à se dresser.
Puis il
s’approcha de Cloé. Comprenant ce qui était en train de se passer, je craignais
un peu pour ma fille. Sa chatte avait été déverrouillée depuis un certain
temps, mais son cul était vierge. Je la savais, elle me l’avait dit.
- Cloé,
ma petite salope, je sais que ton cul n’est pas encore formé. Alors je vais
t’aider un peu pour cette fois en utilisant du gel.
Ouf,
pensais-je, heureusement qu’il y a pensé.
Une fois
le plug et l’anus de ma fille lubrifiés, le Maître commença l’introduction.
Cloé gémit un peu, mais se montra courageuse. Elle encouragea même le Maître à
continuer.
- Allez-y
Maître, faites de moi un bonne enculée comme papa et maman.
Ma fille
me surprenait par ses envies. Je ne la connaissais pas aussi salope. Et j’en
devenais assez fière.
Une fois
ma fille bien bouchée, le Maître s’occupa de moi. Je n’eus pas droit au gel,
mais le Maître introduit en premier le plug dans ma chatte. Comme celle-ci
était en transe depuis l’enculage de mon mari et celui de Cloé, le plug entra
dans mon trou de merde sans problème. Le soupir qui sortir de ma bouche exprima
ma satisfaction d’être ainsi remplie par le cul. Nous étions maintenant une
famille d’enculés.
- Vous
allez conserver ces plugs dans vos culs tous le temps pour vous former. Quand
vos trous de cul de putain seront bien élastiques, vous pourrez vous en passer.
Mais cela n’empêchera pas de pratiquer des exercices de maintien régulièrement.
Vous devrez toujours veiller à ce qu’on puisse vous enculer sans difficultés.
Vous devrez acheter des plugs plus gros pour bien ouvrir vos trous de chienne.
Le « on »
employé par notre Maître nous fit comprendre qu’il fallait nous attendre à être
partagé, prêté ou loué. Belle perspective !
Le maître
retourna dans son tiroir. Ce tiroir semblait être une caverne d’Ali Baba. Je
jetais un œil et je vis qu’il en sortait un martinet dont le manche était en
forme de god de belle taille. Les lanières étaient longues, carrées et épaisse.
Je n’étais pas sûr qu’elles étaient en cuir, mais cela y ressemblait. Nous
allions être fouettés.
Ce fut
Cloé qui bénéficia de la primeur.
Le
premier coup qu’elle reçut lui fit pousser un cri et elle fit un mouvement en
avant. Pourtant, le Maître faisait attention à ne pas trop appuyer ses
mouvements. Puis, dans un mouvement régulier, il appliqua sur le cul de ma
fille une série de coups. Je regardais le cul de ma fille rougir petit à petit,
avec de petites marques de lanières. Cloé émettait de petits gémissements. Je
n’arrivais pas à savoir si c’était de la douleur ou du plaisir.
Puis ce
fût mon tour. Avoir vu ma fille se faire fouetter m’avait mis l’eau à la
bouche. J’allais enfin assouvir mon fantasme de soumise. Je dois dire que ces
derniers temps, je penchais doucement vers des envies masochistes.
Le
premier coup arriva, comme un coup de semonce annonçant la suite. Je ne dis
rien, ni ne bougea pas. Je me contentais de fermer les yeux. La cadence
augmenta, et je me rendais compte que les coups de Maître étaient plus appuyés
par rapport à ma fille. Peut-être la considérait-il comme plus fragile ? En
tous cas je ne me plaignais pas. Sentir la douleur sur mon cul rebondi, les
lanières cuisant ma peau me faisait mouiller. J’en avais envie, très envie. Je
me surpris à m’entendre dire :
- Plus
fort Maître, s’il vous plait.
Ma fille
me regarda, avec une lueur d’envie dans ses yeux.
Le Maître
ne se fit pas prier. Il augmenta la force et la fréquence. En même temps, je me
penchais le plus en avant possible, ma joue sur le sol, et je relevais le plus
possible mon cul pour l’offrir au fouet du Maître. Je me sentais comblée.
Enfin,
Stéphane, mon mari fût l’objet des attentions de notre Maître. Il n’y avait
qu’a regarder sa bite, bien dure, bien droite vers le sol, pour comprendre que
ce spectacle, et cette attente l’avait excité. Suite au fouettage de notre
fille et de moi-même, le Maître commença directement par les coups réguliers et
prononcés. Stéphane ne dit rien, mais la façon dont il se tenait, le cul bien
haut, les coudes à plat sur le sol, montrait qu’il appréciait.
Une fois
le cul de mon mari traité comme il se doit, le Maître nous passa en revue en
remontant sur nos dos. Nous étions rouges du cou jusqu’à nos culs, toujours
ouvert par les plugs, bien en place. Nous faisions tos les trois des mouvements
d’ondulations en poussant des petits cris, et des « oui » de satisfaction.
Le Maître
passait de l’un à l’autre derrière nous en maintenant constamment la pression.
Puis il
nous fit retourner sur le dos, cuisses bien écartées. Stéphane eut droit à
l’inauguration de cette position. Le fouet s’abattait sur sa bite, ses cuisses
et son ventre. Je voyais sa queue osciller de droite à gauche suivant la
direction du fouet. Stéphane serrait les dents, les mains derrière la tête et
les yeux fermés. Mais il ne débandant pas.
Cloé vit
le Maître s’avancer vers elle. Elle garda les yeux ouverts sur sa chatte, et
écarta encore plus ses cuisses, comme pour montrer son approbation. A chaque
fois que le fouet s’abattait sur sa chatte, elle soulevait son cul. Plus les
coups arrivaient, plus sa chatte s’ouvrait et se mettait à briller. Le Maître
savait ce qu’il faisait. Les lanières frappaient sa chatte et son clito. Je
sentais Cloé monter vers l’orgasme sous les coups expérimentés du Maître. D’un
coup, elle éclata en criant, ses jambes se relâchant sur le sol.
J’étais
moi aussi au bord de l’extase, en pensant à ce que j’allais subir. Avoir ma
chatte frappée était un de mes fantasmes récurrents. Je pris ma chatte entre
mes doigts pour bien l’ouvrir. À cette vue, le Maître souris et commença à me
frapper.
Sentir
les lanières sur mes lèvres, me sentir à la merci de mon Maître me rendit
folle, et je fus au bord de l’orgasme. Le Maître appliqua un dernier coup
précis sur mon clito qui me fit rendre l’âme. Le plaisir ressenti à ce moment
était divin.
Lorsque
je repris mes esprits, nous « étions toujours allongés sur le dos, le Maître
étant assis en face de nous, nous observant.
- Les
deux putains ont jouis, mais pas la lope qui leur sers de père et de mari.
Alors Cloé, tu vas branler ton père, pendant que ta mère va le sucer.
Cloé se
tourna vers son père et pris sa bite dans sa main. Elle commença à le branler
doucement avec gourmandise. Je m’approchais et je pris son gland dans ma bouche
en passant ma langue autour. Cloé accéléra ses mouvements de va et viens sur la
queue de son père pendant que je suivais sa main en engloutissant au plus
profond la bite. Cloé et moi étions à genoux. Je sentis des doigts se frayer un
chemin vers ma chatte. Cloé voulait me branler aussi. J’écartais mes cuisses pour
lui faciliter le passage pendant que je lui rendais la pareille. Le bruit de
nos doigts dans nos trous trahissait notre excitation. Je me représentais cette
scène. Cloé branlant son père, pendant que la bouche de sa mère enfournait sa
bite. Ma fille branlant sa mère pendant que je lui astiquais son trou. Le tout
sous le regard satisfait de notre Maître. Notre famille était réellement sur le
chemin de la dépravation, et c’était bien.
Stéphane
ne put se retenir longtemps. Il faut dire que Cloé le branlait de plus en plus
vite, et en serrant de plus en plus fort sa bite. J’essayais de suivre comme je
le pouvais ses mouvements hiératiques. Stéphane éjacula dans un cri dans ma
bouche. Je gardais tout lorsque moi aussi je jouis sous les doigts de ma fille.
J’accélérais le mouvement des miens dans sa chatte pour la faire jouir aussi.
Une fois
calmés, je pris Cloé par les épaules, et je lui roulais un patin profond.
J’avais tout le sperme de mon mari dans la bouche et je voulais le partager
avec ma fille. Nos langues se sont mélangées pour gouter la semence de Stéphane
dans nos deux bouches. Puis, nous nous sommes penchées sur Stéphane, chacune
notre tour, pour partager aussi avec lui.
Nous
allions repartir. Cette première rencontre nous avait comblés au-delà de nos
espérances. Nous aimions l’emprise qu’il avait pris sur nous, et la façon dont
il nous amenait vers ses buts secrets, qui étaient en même temps nos désirs.
Avant de
se quitter, notre Maître nous dit :
- Ce
matin Mélanie, tu m’as vu en grande conversation avec Cloé. Je vais te dire ce
que j’ai décidé à cette occasion. Nous sommes un peu éloignés ce qui fait que
je ne pourrais pas conduire votre soumission en direct. Alors, j’ai décidé de
déléguer mes pouvoirs à Cloé pour tous ce qui vous concerne. Cloé m’a confié
qu’elle était désireuse de rester soumise lorsque vous serez ensemble avec moi.
Mais elle avait aussi des envies de domination. Et l’idée de dominer ses
parents l’excitait énormément. Donc en mon absence, Cloé sera votre Maîtresse à
tous deux, en suivant mes directives.
- Bien
Maître, nous l’acceptons avec plaisir, répondîmes tous ensemble.
Je me
demandais comment allions nous continuer notre soumission loin de notre Maître.
Celui-ci a résolu le problème avec élégance, et avec perversité en transférant
ses pouvoirs à notre fille. Cette nouvelle vie était pleine de promesses.
Quelque
temps s’était écoulé depuis les événements relatés dans le chapitre précédent.
Nous restions bien sûr en contact avec notre Maître, mais nos occupations
respectives ne nous laissaient pas forcément le temps de nous retrouver. En
fait cet espacement augmentait l’envie et le plaisir des retrouvailles.
Nous
reçûmes un mail de notre Maître nous demandant nos disponibilités pour les
prochains week end. Rendez-vous pris pour dans quinze jours, il nous communiqua
ses instructions : nous devrions venir chez lui le samedi matin, Cloé et moi
nues avec seulement bas, porte jarretelles et talons aiguilles, Stéphane nu
avec chaussures basses. Chacun nous devrions porter nos colliers
d’appartenance. Il nous fallait prévoir également de rester la nuit. Le reste
est du domaine de la surprise. Pour le voyage il fallait aussi un vêtement qui
couvre notre nudité.
C’est
ainsi que nous nous présentions chez notre Maitre.
Passablement
excités par l’inconnu qui nous attendait, le Maître inspecta chacun d’entre
nous, puis nous informa qu’après un déjeuner rapide, il nous amènerait ensuite
dans un lieu pour le reste du week end.
Le
déjeuner expédié, nous partîmes dans sa voiture vers cette destination
prometteuse, non sans avoir été affublé, chacun, d’une laisse accrochée à nos
colliers. Le Maître était resté étrangement silencieux, ne parlant qu’avec le
stricte nécessaire. Nous adorions cette pression psychologique qu’il savait si
bien distillé avec l’addiction physique dont nous étions maintenant dépendants.
Au bout
d’une grosse demi-heure de voyage, le Maître s’engagea sur un chemin forestier.
Au bout de ce chemin, nous arrivions à une grille en fer forgé délimitant
l’entrée d’une propriété. Une caméra au-dessus du portique semblait nous fixer.
La grille s’ouvrit comme par magie, et nous avons parcouru une allée qui nous
amena vers une grande maison de maitre style 19 ième siècle. L’ambiance
devenait de plus en plus mystérieuse à notre plus grande satisfaction.
Serions-nous dans un roman de ce cher Marquis ?
Une fois
descendus, le Maître nous fit pénétrer dans la maison, tous trois tenus en
laisse.
Le hall
d’entrée était haut de plafond et en forme de carré. Une porte s’ouvrit et un
couple apparu. Tous deux vêtus de noir, dans la cinquantaine, bien entretenus
et visiblement les propriétaires de cette demeure.
- Bonjour
Jacques. Nous vous attendions avec impatience.
- Bonjour
Marie et Pierre. J’étais aussi impatient que vous de venir vous rendre cette
petite visite, répondit notre Maître. Comme promis, voilà mes esclaves dont je
vous ai parlé. Les parents et leur fille. Ils sont de très grande qualité, et
je compte sur vous pour leur rendre ce week end inoubliable.
Le Maître
nous fit aligner en rang d’oignon avec nos laisses.
- Merci
pour cette confiance, Jacques répondit celle qui se faisait appeler Marie.
Marie
ouvrit une prote qui donnait sur un boudoir. Nous entrâmes et le Maître retira
nos manteaux qui nous couvraient. Le couple nous inspecta du regard en hochant
la tête.
- Soumis
de premier choix dit Pierre. Vous faites honneur à votre réputation. Vos
apparitions sont rares mais de qualité. En plus, une famille, cela ne court pas
les rues.
- Ils
sont à vous, chers amis. Je sais que vous en ferez bon usage. Répondit le
Maître avec un sourire entendu.
Marie
prit la laisse de Stéphane, et Pierre celle de Cloé et moi. Ils nous firent
entrer dans une pièce où se tenait une quinzaine de personnes. Certaines
semblaient en couple, d’autre non. Mais la parité était respectée.
Nous
commencions à comprendre ce qui allait se passer. La nouveauté créait un peu
d’appréhension, mais la présence de notre Maître était rassurante.
- Mes
amis, commença Marie, voici les esclaves de Jacques. Il s’agit du père, de la
mère, et de la fille. Tous trois sont soumis et consentant. Je compte sur vous
pour assouvir leur perversité et la vôtre. Vous pouvez les utiliser
sexuellement comme bon vous semble, Jacques étant le garant de leur intégrité.
Marie et
Pierre nous ont placés au centre de la pièce, jambes écartées et mains sur la
tête. Les invités se sont mis en cercle autour de nous. Toute appréhension
avait disparue, laissant la place à une excitation sauvage. Je remarquais que
certain étaient fixés sur ma fille, d’autres sur son père. Quant à moi,
j’appréciais d’être au centre de ‘attention d’autant de males que de femelles.
Un homme
s’approcha de Cloé et l’amena cers un canapé. Il la fit s’installer à quatre
pattes, genoux sur l’assise et les mains sur le dossier. Il commença à
inspecter ses trous, introduisant ses doigts alternativement dans sa chatte et
son cul. Bientôt rejoint par une femme qui pinça et malaxa les tétons de ma
fille, celle-ci commença par onduler ses hanches au rythme du doigté qu’elle
subissait.
J’aurais
bien voulu profiter de ce spectacle, mais un couple s’approcha de moi. La femme
m’embrassa goulument, tandis que je sentais la main de l’homme se plaquer sur
ma chatte et la serrer fortement.
-
Regardes cette salope dit-il, elle n’en peut plus de mouiller. C’est une grosse
baveuse.
Il
introduisit facilement trois doigts dans ma chatte en me ramonant le trou
durement, tandis que ce que je supposais être sa femme me triturait mes
nichons. J’avais une folle envie de me faire prendre, mais la consigne était de
ne rien dire, sauf à exprimer notre plaisir.
Suivant
mes souhaits muets, je me suis retrouvé sur le dos, à même le sol. La femme
tenant mes cuisses écartées. L’homme sortit une bite énorme de son pantalon et
la planta en moi sans autre forme de procès. Me sentir pénétrée ainsi par son
pieu déclencha un cri de surprise, vite étouffé par la main de sa compagne. Une
claque suivit, sur mon visage et sur mes seins.
L’homme
continuait à me défoncer la chatte en m’insultant. Je fus surprise par son
endurance et sa cadence. Mes seins bringuebalaient en même temps, au grand
plaisir de sa femme qui fouillait ma bouche avec sa langue.
D’un œil,
je pu voir ma fille se faire empaler le trou du cul avec ardeur, premier
enculage d’un belle série.
A propos
d’enculé, mon mari se faisait former son cul par un god tenu par une femme. En
même temps, sa bouche était remplie par une bite âgée, mais néanmoins solide.
Une jeune femme, profitant de la situation, se mit à fesser mon mari comme si
c’était son petit garçon.
Je ne pus
regarder plus longtemps car une femme vint s’assoir sur mon visage en
m’ordonnant de lui lécher sa chatte. Elle ne semblait pas satisfaite, car elle
me gifla jusqu’à ce que je lui rende le bon service. Je me sentais exploitée et
remplie. Une onde de plaisir commença à parcourir mon corps.
Pendant
ce temps, Cloé était assise sur une bite qui la limait copieusement. Une autre
queue se présenta à l’entrée de son cul, et ne tarda à s’enfoncer dans son trou
accompagné par un râle de ma fille. Décidément, j’avais enfanté une sacrée pute.
Son râle a été vite arrêté par une troisième bite qui s’enfonça dans sa bouche
jusqu’aux amygdales. Pour compléter le tableau, elle fut obligée de branler
deux autres queues de passage. On ne pouvait faire mieux, trois trous remplis
et deux mains occupés.
Son père
était aussi au turbin. Il avait la lourde tâche de sucer ou lécher tous ce qui
se présentait devant lui, aussi bien les chattes que les bites ou les culs,
féminins ou masculins. Cela semblait le combler d’aise. D’autant plus que son
cul ne restait jamais longtemps vide. Il avait le visage barbouillé de foutre
et de sperme. Ses cheveux commençaient à devenir gluants sous l’effet des
différentes décharges.
Cloé
dirigea les deux bites qu’elle branlait vers son visage et ses cheveux. Ce qui
n’était pas facile en se faisant bourrer la chatte et le cul. La queue dans sa
bouche la gênait aussi. Dans un superbe synchronisme, les trois bites
éjaculèrent en même temps. Les jeunes queues déchargèrent un flot de sperme
salissant ma fille comme une vielle putain.
Je
pouvais voir tout cela car j’étais maintenant à quatre pattes avec deux femmes
qui avaient décidés de me doigter la chatte et le cul. Comme ma position s’y
adaptait, un homme m’ordonna de le branler en même temps.
J’avais
déjà jouis sous les coups de bite du premier Monsieur, mais je sentais la
jouissance de nouveau venir. Il faut dire que les femmes avaient réussi à
m’enfiler quatre doigts dans mes trous. Je me sentais de plus en plus
distendue. Le fist n’était plus loin. J’étais fière de mes progrès.
Et la
soirée n’était pas terminée.
Source
internet