dimanche 2 novembre 2025

Tout est éphémère

 



" Tout est éphémère,

Tout,

Vraiment tout,

Alors putain Vivez

Et arrêtez de tout compliquer "


Ce n'est pas la durée pendant laquelle ...

 



"cCe n'est pas la durée pendant laquelle 

Nous avons connu quelqu'un

 Qui le rend si spécial,

C’est ce qu'il a apporté dans nos vies. "


Sandra Kring


Nous devons être Prêts à





Indécence au Grand Air,

 






















Être à la hauteur Les Murmures du Jour de Vongotha

 





Être à la hauteur  Les Murmures du Jour de Vongotha

 

Je ressens, chaque fois qu’une femme s’avance vers moi,

 Un profond sentiment de responsabilité.

Ce n’est pas une rencontre ordinaire, ni un simple jeu.

C’est un passage, presque initiatique, entre deux êtres

 Qui vont se frôler au bord de l’ombre.

 

Révéler une soumise, ce n’est pas la posséder.

C’est la recevoir avec humilité, 

Comme on accueille une vérité fragile.

C’est la regarder, non pas comme un corps à plier, 

Mais comme une âme à comprendre, à guider, à éveiller.

Être Dominant, c’est être dépositaire de ce 

Qu’elle ne dit pas, gardien de ce qu’elle ose enfin offrir.

 

Je connais trop bien les imposteurs.

Ces hommes creux qui s’érigent en Maîtres

 Pour mieux cacher leur vide.

Ils se pavanent dans des postures d’autorité, 

Flattés par l’idée de dominer sans jamais

 Comprendre la beauté de la soumission.

Ils profitent de la crédulité, abusent de la confiance,

et croient que le BDSM se limite à la brutalité du geste.

Mais ce ne sont que des marionnettes du désir,

 Sans respect, sans fondation, sans âme.

 

Être à la hauteur d’une Femme soumise, 

c

C’est tout l’inverse.

C’est accueillir une présence.

C’est honorer sa démarche  parfois timide, 

Parfois fière de celle

 Qui a traversé des kilomètres,

 Seule dans la nuit, avec le désir

Mais aussi la peur l'appréhension pour 

Oser venir rencontrer celui qui saura peut-être

 Lui faire entrevoir ce qu’elle est réellement.

Je n’oublie jamais ce que cela représente.

Le courage de venir, d’oser, de s’exposer.

Et je sais que cela exige, de ma part,

 Le respect absolu de son geste.

 

Former, initier, révéler une soumise…

C’est un art de lenteur, de patience et de clairvoyance.

Chaque mot, chaque silence, chaque contact est une empreinte.

On apprend à la guider dans ses peurs, à la protéger de ses excès,

A lui donner confiance dans la beauté de sa propre noirceur.

 

Car le BDSM n’est pas une conquête, c’est une construction.

Un temple invisible bâti sur la confiance et le respect.

Ceux qui l’ignorent ne connaissent que la surface.

Mais ceux qui le vivent savent que

 Ce lien n’est ni charnel ni brutal :

Il est spirituel, viscéral, total.

 

Je ne me suis jamais pris pour un dieu,

Mais j’ai conscience du pouvoir que me confie

 Une Femme quand elle s’agenouille devant moi.

Et c’est justement parce que je le sais

Que je ne joue pas avec ce don.

Je le protège, je l’honore, je le guide,

Car c’est dans cette vigilance que se

 Mesure la vraie noblesse 

De l'homme enfin du Maître.

Maître mot que je n'aime pas

Je préfère Partenaire 

 

Être à la hauteur, c’est cela :

savoir que dans chaque rencontre,

Il y a un serment silencieux,

Celui du respect, de la bienveillance

Du savoir vivre,  et de la vérité.

Et si la soumise doit apprendre à se livrer,

le Maître, lui, doit apprendre à mériter.


© Copyright Novembre  2025 Marc Vongotha 63


Captures de Désir D'antan,

 

 

Lettre de Gustave Courbet datée du 16 ou 17 mars 1873.

 

"Chère putain de mon cœur, de mes rêves, de mes désirs ! Ma tête, mes nuits, mes jours sont pleins de ton image, de tes charmes si exubérants, si puissants par leurs formes, leur poids, leurs couleurs, leurs sensualités.

 

Fouteuse sans pareille, déchargeuse énivrante si délicate au toucher, si accessible à la jouissance. Je sens que ton foutre s'augmente de jour en jour, qu'il acquiert de la blancheur et qu'il s'épaissit. Qu'il me tarde de l'entendre clapoter dans sa belle gogotte aux poils dorés ; quel bruit charmant, quelle musique d'amour !! Toi qui décharges si bien maintenant, comme tu vas recommencer facilement, quel bain charmant et doux ma pine va prendre dans ce grand con adoré, dans ces languettes fines et bandantes, dans ces grandes lèvres rebondies. Pourvu que nous puissions y faire entrer mes couilles aussi, que je te remplisse le ventre, que tu me sentes selon tes désirs et ta volupté.

 

Ah ! Cette belle grande gogotte, comme nous allons en avoir soin, comme nous la tiendrons fraîche et rose, toujours ferme, avec des petits bains astringents pour la maintenir dans sa belle forme. Dis-moi encore si ses poils croissent jusqu'au bord de ses lèvres, ou si elles sont dégagées de ta motte, dis-moi si ta motte a beaucoup d'ampleur, si ses poils te montent bien haut sur le ventre.

 

Qu'il me tarde de la voir, de l'étudier, de la sucer, de lui mordre son bouton rose et bandant, de jouer avec ses petites langues dans ma bouche, de les agiter, de sentir ton foutre couler dans ma barbe; de te voir séparer tes belles fesses avec tes petites mains et ouvrir ton beau petit trou du cul jusqu'à ce qu'il soit rose et rond comme un con d'enfant.

 

Qu'il me tarde de te voir me suçant la pine en la parcourant de tout son long parfois, et d'autres fois lui suçant seulement son gland, le faisant entrer et ressortir puis enfin l'enfoncer profondément avec ardeur aussi profond que possible afin de recevoir son foutre."

 




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