"
Tout est éphémère,
Tout,
Vraiment
tout,
Alors putain Vivez
Et arrêtez de tout compliquer "
Vongotha63 est un blog consacré à l'exploration des multiples facettes du BDSM, mêlant art, histoire, conseils pratiques et récits captivants. Ce projet s'adresse autant aux initiés qu'aux curieux, en mettant en avant une approche cérébrale et respectueuse de ces pratiques. Le blog propose des rubriques variées : Histoire récit et culture BDSM : exploration des pratiques comme la fessée, l'électrostimulation, ou encore l'usage des instruments de torture de l'Inquisition. Art BDSM
"cCe n'est pas la durée pendant laquelle
Nous avons connu quelqu'un
 Qui le rend si
spécial, 
C’est ce
qu'il a apporté dans nos vies. "
Sandra
Kring
Être à la
hauteur  Les Murmures du Jour de Vongotha
Je ressens, chaque fois qu’une femme s’avance vers moi,
 Un profond sentiment de
responsabilité.
Ce n’est
pas une rencontre ordinaire, ni un simple jeu.
C’est un passage, presque initiatique, entre deux êtres
 Qui vont se frôler au bord de
l’ombre.
Révéler
une soumise, ce n’est pas la posséder.
C’est la recevoir avec humilité,
Comme on accueille une vérité fragile.
C’est la regarder, non pas comme un corps à plier,
Mais comme une âme à comprendre, à
guider, à éveiller.
Être Dominant, c’est être dépositaire de ce
Qu’elle ne dit pas, gardien de ce
qu’elle ose enfin offrir.
Je
connais trop bien les imposteurs.
Ces hommes creux qui s’érigent en Maîtres
 Pour mieux cacher leur vide.
Ils se pavanent dans des postures d’autorité,
Flattés par l’idée de dominer sans jamais
 Comprendre la beauté de la soumission.
Ils
profitent de la crédulité, abusent de la confiance,
et
croient que le BDSM se limite à la brutalité du geste.
Mais ce ne sont que des marionnettes du désir,
 Sans respect, sans fondation, sans âme.
Être à la hauteur d’une Femme soumise,
c
C’est tout l’inverse.
C’est
accueillir une présence.
C’est honorer sa démarche parfois timide,
Parfois fière de celle
Qui a traversé des kilomètres,
 Seule dans la nuit, avec le désir
Mais aussi la peur l'appréhension pour
Oser venir rencontrer celui qui saura peut-être
 Lui faire entrevoir ce qu’elle est
réellement.
Je
n’oublie jamais ce que cela représente.
Le
courage de venir, d’oser, de s’exposer.
Et je sais que cela exige, de ma part,
 Le respect absolu de son geste.
Former,
initier, révéler une soumise…
C’est un
art de lenteur, de patience et de clairvoyance.
Chaque
mot, chaque silence, chaque contact est une empreinte.
On
apprend à la guider dans ses peurs, à la protéger de ses excès,
A lui
donner confiance dans la beauté de sa propre noirceur.
Car le
BDSM n’est pas une conquête, c’est une construction.
Un temple
invisible bâti sur la confiance et le respect.
Ceux qui
l’ignorent ne connaissent que la surface.
Mais ceux qui le vivent savent que
 Ce lien n’est ni charnel ni brutal :
Il est
spirituel, viscéral, total.
Je ne me
suis jamais pris pour un dieu,
Mais j’ai conscience du pouvoir que me confie
 Une Femme quand elle s’agenouille devant
moi.
Et c’est
justement parce que je le sais
Que je ne
joue pas avec ce don.
Je le
protège, je l’honore, je le guide,
Car c’est dans cette vigilance que se
Mesure la vraie noblesse
De l'homme enfin du Maître.
Maître mot que je n'aime pas
Je préfère Partenaire
Être à la
hauteur, c’est cela :
savoir que dans chaque rencontre,
Il y a un serment silencieux,
Celui du respect, de la bienveillance
Du savoir vivre,  et de la vérité.
Et si la
soumise doit apprendre à se livrer,
le
Maître, lui, doit apprendre à mériter.
© Copyright Novembre 2025 Marc Vongotha 63
Lettre de
Gustave Courbet datée du 16 ou 17 mars 1873.
"Chère
putain de mon cœur, de mes rêves, de mes désirs ! Ma tête, mes nuits, mes jours
sont pleins de ton image, de tes charmes si exubérants, si puissants par leurs
formes, leur poids, leurs couleurs, leurs sensualités.
Fouteuse
sans pareille, déchargeuse énivrante si délicate au toucher, si accessible à la
jouissance. Je sens que ton foutre s'augmente de jour en jour, qu'il acquiert
de la blancheur et qu'il s'épaissit. Qu'il me tarde de l'entendre clapoter dans
sa belle gogotte aux poils dorés ; quel bruit charmant, quelle musique d'amour
!! Toi qui décharges si bien maintenant, comme tu vas recommencer facilement,
quel bain charmant et doux ma pine va prendre dans ce grand con adoré, dans ces
languettes fines et bandantes, dans ces grandes lèvres rebondies. Pourvu que
nous puissions y faire entrer mes couilles aussi, que je te remplisse le
ventre, que tu me sentes selon tes désirs et ta volupté.
Ah !
Cette belle grande gogotte, comme nous allons en avoir soin, comme nous la
tiendrons fraîche et rose, toujours ferme, avec des petits bains astringents
pour la maintenir dans sa belle forme. Dis-moi encore si ses poils croissent
jusqu'au bord de ses lèvres, ou si elles sont dégagées de ta motte, dis-moi si
ta motte a beaucoup d'ampleur, si ses poils te montent bien haut sur le ventre.
Qu'il me
tarde de la voir, de l'étudier, de la sucer, de lui mordre son bouton rose et
bandant, de jouer avec ses petites langues dans ma bouche, de les agiter, de
sentir ton foutre couler dans ma barbe; de te voir séparer tes belles fesses
avec tes petites mains et ouvrir ton beau petit trou du cul jusqu'à ce qu'il
soit rose et rond comme un con d'enfant.
Qu'il me
tarde de te voir me suçant la pine en la parcourant de tout son long parfois,
et d'autres fois lui suçant seulement son gland, le faisant entrer et ressortir
puis enfin l'enfoncer profondément avec ardeur aussi profond que possible afin
de recevoir son foutre."